• Le vieux sage de la montagne
    Écrit par Radio Son de l'Espoir



    Un très vieux sage vivait là-haut dans une montagne aux pentes très abruptes. Les gens d'en bas, dans la plaine, allaient régulièrement le consulter lorsque se présentait un problème insoluble pour eux. Et vous savez quoi? Le vieux sage avait toujours la solution juste.
    Pour se faire, les gens d'en bas devaient escalader cette montagne aux pentes très abruptes pendant trois jours et trois nuits. Aller le consulter était une tâche très ardue.
    Un beau jour, les gens d'en bas se réunirent pour parler du vieux sage.
    Un jeune homme de forte tête leur dit qu'il en avait assez d'avoir à grimper la montagne chaque fois qu'il avait une question d'ordre existentielle. Il en avait assez. Il voulait que cela cesse. Il ne voulait plus devoir grimper là-haut pour consulter le vieux sage, il voulait tenter de mettre celui-ci en déroute avec une question piège. En fait, il demanda aux gens qui étaient avec lui de l'aider.
    Il imagina toutes sortes de questions et chaque fois que quelqu'un en proposait une nouvelle, une autre personne disait :
    – Je lui ai déjà demandé cela et il m'a répondu.
    Alors le jeune homme entêté à réussir son exploit, à intimider le vieux sage, dit :
    Je sais, je vais attraper un oiseau à l'aide d'une cage et, lorsque je serai en face du vieux sage, je lui demanderai : "Est-ce que l'oiseau que je tiens dans mes mains est mort ou vivant?" S'il répond qu'il est mort, je le laisse s'envoler et, s'il répond qu'il est vivant, je le tue et lui montre l'évidence de sa méprise.
    Alors tous les habitants d'en bas escaladèrent la montagne pendant trois jours et trois nuits pour voir la défaite du vieux sage. Ils arrivèrent en haut avec les vêtements déchirés un peu partout. Et voilà que le jeune homme dit :
    – Bonjour, vieux sage, comment allez-vous?
    Le vieux sage regarda chacun, un par un, dans les yeux en les scrutant de haut en bas. Notre jeune homme dit alors : «Vieux sage, nous avons une question pour toi.»
    – L'oiseau que je tiens dans mes mains, est-t-il mort ou vivant

    Alors le vieux sage regarda chacun encore dans les yeux, un par un, en prenant son temps et en les scrutant de haut en bas. Ensuite, le vieux sage regarda le jeune homme et dit :
    Mon jeune ami,... la vie de cet oiseau est entre vos mains.

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    Histoire d’un petit violon 


     

    Un jour, un enfant avait eu un petit violon en cadeau. Il essaya d’en jouer, mais voyant qu’il n’y arrivait pas, il le rangea sous son petit lit, et le violon resta là pendant des années. 

    L’enfant devint un homme. Un jour, il parla incidemment de cette histoire de violon à un de ses amis. Il lui dit « Mon envie de jouer de ce violon est demeurée absolument intacte depuis toutes ces années... mais maintenant c’est trop tard : franchement, de quoi aurais-je l’air ? Tu m’imagines, maintenant, à 40 années passées, essayant laborieusement de tirer des sons de ce petit instrument ? J’ai horriblement peur du ridicule... que diraient les autres en entendant mes fausses notes ? 

    Non, j’aurais dû faire cela étant enfant, je le comprends bien maintenant... mais maintenant il est trop tard ! 

    Son ami lui répondit alors « Ah, et qu’est-ce qui t’empêche d’aller t’inscrire à un cours de violon, ou encore de jouer tout seul dans ton coin, juste pour le plaisir, ne serait-ce que quelques minutes par jour, sans aucun témoin ? Tu pourrais alors profiter d’un plaisir que tu t’es interdit, sans raison aucune, pendant trop longtemps... ». 

    Après avoir chaleureusement remercié son ami pour cette si bonne suggestion, l’homme repartit, le sourire aux lèvres et le cœur en paix. Un grand changement venait d’avoir lieu dans sa vie. 

    Raconté par Guy Corneau sur France Inter, août 2003. 

     

     

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  • Le perroquet savant 

    Le perroquet savant

    Il était une fois un marchand qui possédait un perroquet savant. 

    Un jour le marchand décida d’aller voyager en Inde et demanda aux siens quels cadeaux ils aimeraient qu’il leur rapporte de son voyage… 

    Quand il posa cette question à son perroquet, celui-ci répondit : 

    « En Inde il y a beaucoup de perroquets. Va les voir de ma part. Décris leur ma condition, ici, dans cette cage, dits leur « Mon perroquet pense à vous avec une immense nostalgie. Il vous salue. 

    Croyez-vous que ce soit juste qu’il soit prisonnier tandis que vous, vous volez dans des jardins de roses ? Il vous demande de penser à lui tandis que vous vous ébattez avec joie au milieu des fleurs ». 

    Arrivé en Inde, le marchand se rendit dans un lieu ou il y avait des perroquets. Mais à peine eut-il communiqué les paroles de son perroquet, que l’un des oiseaux tomba à terre sans vie. Le marchand en fût très surpris et se dit : 

    « Ceci est très étrange. J’ai causé la mort d’un perroquet. Je n’aurais jamais du lui transmettre ce message ». 

    Puis quand il eut terminé les achats de souvenirs pour les siens, il s’en retourna chez lui le cœur plein de joie. Il distribua les cadeaux à ses serviteurs et à ses femmes. 

    Le perroquet lui dit : « Raconte moi ce que tu as fait afin que moi aussi je sois content ». 

    A ces mots le marchant commença à se plaindre et à exprimer sa tristesse. « Dis mois ce qui est arrivé, insista l’oiseau, d’où vient ta douleur ? ». 

    Le marchand répondit : « Quand j’ai rapporté tes mots à tes amis, un d’entre eux est tombé à terre sans vie, et c’est pour cela que je suis triste ». 

    A ce moment là le perroquet du marchand tombe aussi dans sa cage, inanimé. Le marchand, extrêmement triste, se mis à crier : 

    « Oh, mon perroquet au langage si doux. Oh, mon ami qu’est il donc arrivé ? Tu étais un oiseau tel  que même Salomon n’en eut pas de meilleur. J’ai perdu mon trésor ». 

    Après avoir pleuré longtemps, le marchand ouvrit la cage et jeta le perroquet par la fenêtre. 

    Immédiatement, celui-ci pris son envol et alla se poser sur la branche d’un arbre. 

    Le marchand, encore plus surpris, lui dit : « Explique moi ce qui se passe» 

    Le perroquet répondit : « Ce perroquet que tu as vu en Inde m’a enseigné la façon de sortir de ma prison. Avec son exemple, il m’a donné un conseil. 

    Il a voulu me dire « tu es en prison parce que tu parles ... fais donc le mort, et tu seras immédiatement libéré de ta prison. Adieu, Oh mon maître, maintenant j’ai compris, alors je m’en vais. Toi aussi un jour tu rejoindras ta patrie ». 

    Le marchand lui dit : « Que Dieu soit avec toi, toi aussi tu m’as guidé. Cette aventure me suffit par le fait que mon esprit et mon âme ont pris part à ces événements. » 

     


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  • Mauvaises herbes 

      

    Le vieux moine se rendait au village, lentement, l'air était doux et parfumé. Lorsqu’il arriva aux premières maisons son attention fut attirée par un jeune garçon, assis, seul alors quel es autres enfants jouaient. Son regard semblait vide. Le vieil homme s'approcha et sans rien dire s'assit à côté de lui. Le jeune garçon tourna la tête et observa le moine mais ne dit rien. Imitant l'enfant, le vieux moine posa ses mains sur ses genoux, le regard fixe devant lui. De temps en temps il avait un regard de biais. Au bout d'un moment la situation devint comique. Devant ses mimiques l'enfant sourit, le vieux moine aussi, puis ils se mirent à rire. C'était comme si un robinet venait de s'ouvrir... 

    - Mon père dit que je ne vaux rien, je ne sais pas lire, tout ce qu'il me demande de faire je le rate... 

    Le vieux moine sourit... 

    - tu te trompes, tu m'as fait rire, tu m'as donné de la joie et je t'en remercie... 

    L'enfant fit une moue de doute. 

    Le vieil homme montra des plantes qui poussaient le long du chemin et des murs des maisons... 

    - Sais-tu ce que c'est ?... 

    - Oui, je ne sais pas lire mais je sais ce que c'est ! Ce sont des mauvaises herbes, mon père m'a demandé de les arracher et même ça je n'ai pas réussi... 

    - Sans doute parce qu'en toi tu sais !... 

    - Que je sais quoi ? dit l'enfant perplexe... 

    - Que ce ne sont pas de mauvaises herbes, elles se cachent passent inaperçu, tout le monde les arrache, mais elles sont spéciales... 

    - Qu'ont elles de spécial ?... 

    - Vois-tu celle ci qui pousse dans la fissure du mur ?... 

    - Oui je la vois... 

    - Et bien ces racines séchées et réduites en poudre combattent la fièvre, celle ci qui pousse au milieu du chemin, adoucit la gorge et calme la toux... 

     

     

     

    L'enfant écoute étonné... 

    - Celle là encore calme les maux de ventre et les coliques des très jeunes enfants... 

    Le vieux moine lui montra tout un tas de "mauvaises herbes" autour d'eux et toutes avaient un rôle...Toutes ces plantes qu'on appelle souvent "mauvaises herbes" ont un trésor en elles. Celui qui connait leur secret est capable de soulager et guérir beaucoup de choses. Toutes elles ont un richesse en elles, il ne faut pas regarder leur apparence mais ce qu'elles ont au plus profond d'elles mêmes... 

    - C'est vrai elles peuvent soigner ?... 

    - Oui, je pense qu'au fond de toi tu le savais et que c'est pour ça que tu ne les a pas arrachées. Si tu viens au temple tu pourras apprendre si tu le souhaites... 

    L'enfant accepta, le père aussi cela fera une bouche de moins à nourrir. L'enfant apprit, grandit et devint un jeune homme costaud et intarissable sur les plantes. Le vieux moine se rendait au village, lentement, l'air était doux et parfumé. Lorsqu'il arriva aux premières maisons, il se dirigea vers l'une d'elles. C'était une échoppe où l'on vendait des plantes pour soigner les maux, son enseigne : "Pas de mauvaises herbes ici". 

    Un jeune homme costaud en sorti et avec lui mille et une senteurs. Les deux hommes se firent face puis s'asseyèrent sans dire un mot. Le vieux moine imita le jeune homme, posa ses mains sur ses genoux, le regard fixe devant lui. De temps en temps il jetait un œil de côté. Tout à coup le jeune homme éclata de rire ainsi que le vieux moine... 

    Ceux qui savent voir avec les yeux de l'amour elles ouvrent leurs cœurs et livrent leur trésor caché..."Pas de mauvaises herbes ici". 

     

    Le vieux moine sourit... 

     

                               (Serge offert à swadisthana ) 

     

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  • " Cherchez et vous trouverez " !

    Un brahmane très pieux, tous les jours à son réveil, prenait son bain rituel et partait aussitôt vers le temple, son panier d'offrandes à la main. Il allait assister à la prière du matin. De même le midi et le soir, il retournait au temple. Ainsi, trois fois par jour, il rendait un culte à Dieu. Avec ferveur il priait : " Seigneur, je viens te rendre visite chez toi, sans que j'aie manqué un seul jour. Matin et soir, je te fais des offrandes. Ne peux-tu pas venir chez moi ? " Attentif à cette prière quotidienne, Dieu lui répondit enfin : " Demain, je viendrai. "

    Tout heureux il se met à laver à grande eau sa maison. Il fait tracer devant le seuil des dessins en pâte de riz. À l'aube, il attache une guirlande de feuilles de manguier à l'entrée de sa maison. Dans la salle de réception, des plateaux de fruits, de galettes sucrées et de fleurs s'étalent à profusion. Tout est prêt pour recevoir Dieu. Il se tient debout pour l'accueillir.
    L'heure de la prière matinale approche. Un petit garçon qui passe par là aperçoit, par la fenêtre ouverte, les plateaux de galettes. Il s'approche : " Grand-père, tu as beaucoup de galettes, là-dedans, ne peux-tu m'en donner une ? " Furieux de l'audace du gamin, il réplique : " Veux-tu filer, moucheron. Comment oses-tu demander ce qui est préparé pour Dieu ? " Et le petit garçon effrayé s'enfuit.
    La cloche du temple a sonné. La prière est terminée. " Dieu viendra après le culte de midi, attendons-le. " Fatigué, il s'assoit sur le banc. Un mendiant arrive et lui demande l'aumône. Le brahmane le chasse vertement. Puis il lave soigneusement la place souillée par les pieds du mendiant. .. Et midi passe . . . Dieu n'est toujours pas au rendez-vous.

    Le soir vient. Tout triste, il attend toujours la visite promise. Un pèlerin se présente à l'heure de la prière. " Permettez-moi de me reposer sur le banc et d'y dormir cette nuit... " " Jamais de la vie ! C'est le siège réservé à Dieu ! " La nuit est tombée. Dieu n'a pas tenu sa promesse, pense-t-il tout triste.
    Le lendemain, revenu au temple pour la prière, il renouvelle ses offrandes et fond en larmes : " Seigneur, tu n'es pas venu chez moi comme tu me l'avais promis ! Pourquoi ? " Une voix lui dit alors : " Je suis venu trois fois et chaque fois tu m'as chassé. "


    Légende indienne.

     

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    L'éléphant et les quatre aveugles

     

    Il y avait autrefois à Bénarès un Roi très sage. Il convoqua un jour dans son palais quatre aveugles de naissance. Puis il fait introduire un éléphant dans la grande salle du trône.

    Il dit alors aux aveugles :

    - vous allez toucher cette grosse chose et me dire ce que c'est.

    Le premier toucha la queue et dit :

    - Bien sûr, c'est une corde !

    Le deuxième toucha la trompe et déclara avec assurance

    - C'est un serpent !

    Le troisième toucha une patte et affirma sereinement :

    - C'est de toute évidence un tronc de bananier !

    Le quatrième toucha le ventre et s'exclama :

    Mais c'est une barrique !

    Et ils se mirent à se disputer et à en venir aux mains...

    L'insensé ne perçoit qu'une part des choses. Seul le sage connaît le tout. Ouvre ton esprit et ton cœur à la paix ! Et la paix règnera sur la terre

     

    d’un apologue hindou

     

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  • Parabole de Chine

     

    LAO TSEU voyageait un jour avec ses disciples. Ils rencontrèrent des bûcherons qui venaient d'abattre tous les arbres d'un bois, à l'exception d'un seul. L'arbre qui avait échappé au massacre était immense, si grand qu'une foule pouvait s'asseoir à son ombre. Lao Tseu envoya ses disciples s'enquérir de la raison du privilège accordé à cet arbre. Les bûcherons expliquèrent qu'il ne valait rien. Il était inutilisable en menuiserie, son tronc et ses branches étant trop noueux. Comme combustible il était également sans intérêt, en brûlant il dégageait une fumée qui irritait les yeux. Voilà pourquoi nul ne se donnait la peine de le couper.

      Cela amusa beaucoup Lao Tseu.

    - Soyez comme cet arbre, dit-il a ses disciples. Ne cherchez pas les performances exceptionnelles. Si vous êtes utiles, on vous abattra et vous servirez de mobilier dans la maison de quelqu'un d'autre. Si vous êtes beau, on vous achètera comme élément décoratif. Suivez l'exemple de cet arbre. N'ayez aucune utilité particulière. Vous grandirez en paix et un jour des milliers de personnes savoureront l'ombre que vous projetterez...

     


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  • Le jeune moine s'occupait du jardin avec soin et attention. Il aurait être plus souvent au temple pour recevoir l'enseignement du vieux moine. Le jardin demande beaucoup de temps. Ce fut avec cette gêne au fond de lui qu'il reçut la visite du vieux moine....Quel cailloux gêne l'écoulement de ton esprit?...Le jeune disciple ne sut s'il devait oser.J'aimerai pouvoir écouter et entendre votre enseignement plus souvent, mais le jardin demande beaucoup de temps...Le vieux moine sourit...Au début, je t'ai montré comment jardiner, comment faire, tu m'as écouté. Puis petit à petit tu as fait ta propre expérience, tu as vu que ce que je disais pouvait être différent. Tu as remis en cause mes indications. Tu as fait ce qu'il te semblait approprié et juste. Tu as fait ton jardin. La graine qui pousse imite celles qui l'ont devancée, mais la plante qu'elle donnera sera unique...Le jeune moine comprit, l’enseignement est partout, au temple, au jardin, dans la forêt, en chemin, dans le silence, dans les petites et les grandes choses. Toutes les graines ne donnent pas d'immenses arbres mais chacune d'elles à sa raison d'être, sa place, son rôle....Le vieux moine souriait, comme s'il avait entendu les pensées du jeune homme. Tous deux gardèrent le silence, leurs regards enveloppant l'espace...Quel magnifique jardin, dit le vieux moine...  (Serge)
     

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  • Introuvable dans le commerce
     
    Un jeune couple entra dans le plus beau magasin de la ville. L’homme et la femme regardaient les nombreux jouets colorés, alignés sur les étagères, suspendus au plafond ou présentés en un gai désordre sur les rayonnages. Il y avait des poupées qui pleuraient, d’autres qui riaient. Il y avaient des jouets électriques, des cuisines miniatures où l’on pouvait confectionner des gâteaux ou des pizzas.
        Ils n’arrivaient pas à se décider, quand une gracieuse vendeuse s’approcha d’eux.
    « Voyez », explique la jeune femme, « nous avons une petite fille, toute jeune encore, mais nous sommes absents toute la journée et souvent le soir. »
    « C’est une petite fille qui ne sourit pas beaucoup », ajouta l’homme.
    « Nous voudrions quelque chose qui la rende heureuse, reprit la femme, même quand nous ne sommes pas là. Quelque chose qui la rende heureuse aussi quand elle est seule. » « Je regrette », dit la vendeuse avec un gentil sourire, « mais nous ne vendons pas de parents. »
     
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  • Histoire d’une petite fille
     
    Un couple américain eut une fille. Ce couple ne lui parla jamais de Dieu. Un soir quand la petite fille avait 5 ans, les parents se disputèrent et le père tua la mère en lui tirant dessus, juste devant sa fille. Puis le père se tua lui même. La petite fille avait tout vu. Plus tard elle fut placée dans une famille d'accueil. 
    Sa mère adoptive était chrétienne et emmena l'enfant à l'Église. Le premier jour du catéchisme, la mère adoptive alla voir la responsable et lui demanda d'avoir de la patience avec cette fille car elle n'avait jamais entendu parler de Jésus. La dame montra une image de Jésus et dit : « Est ce que quelqu'un sait qui c'est ? » 
    La petite fille répondit : « Moi je sais : c'est le monsieur qui me portait le soir de la mort de mes parents ». 
     
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