• Extraits de livres lus

    29 pages d'extraits de livre, prenez le temps de les consultés !!!

  • Extraits du livre « Le singe et la fleur de lotus »

    De JINPA SHERAB

    Souvent, nous ressentons un malaise ou une souffrance, pas nécessairement à cause de la situation elle-même, mais à cause de notre résistance à celle-ci. Si nous apprenons à accepter nos circonstances, nous pouvons trouver la paix intérieure et la satisfaction. Nous avons souvent tendance à interpréter nos situations de manière négative. Mais si nous changeons de perspectives et voyons les aspects positifs de notre situation, cela peut contribuer à atténuer nos souffrances.

     

    Souvent, nous ne percevons le monde qu’à travers la lentille de nos expérience et idées personnelles, ce qui peut nous amener à ne voir que des reflets de des échos de la réalité. Il faut regarder plus profondément et chercher la vérité plus profonde derrière nos suppositions et nos perceptions. En ouvrant notre cœur, nous pouvons favoriser la compassion, la compréhension et l’acceptation de nous-mêmes et des autres, ce qui nous aide à percevoir les aspects les plus profonds de la réalité.


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  • Extraits du livre « Le singe et la fleur de lotus »

    De JINPA SHERAB

    Il faut respecter et reconnaître les forces et les différences des autres. Les personnes ont des caractéristiques et des capacités uniques qui les rendent précieuses et uniques. Il est important de ne pas considérer ces différences comme des facteurs de division, mais comme un enrichissement qui apporte de la diversité  et de l’unicité dans la vie.

    La coopération et le soutien mutuel, en particulier dans les moments difficiles, sont essentiels à la survie du bien-être de tous.

     


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  • Extraits du livre « Le singe et la fleur de lotus »

    De JINPA SHERAB

     

    Chaque moment est précieux et unique. Si nous nous concentrons pleinement sur le présent et le vivons avec joie et gratitude, l’univers nous comblera de beauté et de merveille.

    Que se soit la danse, la peinture, le jardinage ou toute autre expression créative, il est important de trouver une voie qui nous parle et nous permette d’entrer en contact avec nous-mêmes et avec l’univers.

    La joie et la beauté se trouvent souvent dans les choses les plus simples. Cela nous rappelle de reconnaître et d’apprécier les petits moments de joie et de beauté dans notre propre vie également.

     


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  • Extraits du livre « Le singe et la fleur de lotus »

    De JINPA SHERAB

    La beauté

    Il faut reconnaître la reconnaissance de la beauté et de la valeur intérieures. Souvent, nous mesurons notre valeur ou notre beauté en fonction de la reconnaissance et l’appréciation des autres, mais notre vraie valeur et notre vrai beauté viennent de l’intérieur. Elles sont ancrées dans notre existence et dans notre être, indépendamment de la manière dont elles sont perçues de l’extérieur. Cela nous apprend à nous apprécier et à reconnaître notre propre valeur, indépendamment de l’opinion des autres.

     Le singe et la fleur de lotus


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  • Extraits du livre « Le singe et la fleur de lotus »

    De JINPA SHERAB

    La véritable valeur des choses ne réside souvent pas par leur apparence, mais dans leur fonction ou leur utilité. Dans le contexte de notre propre vie, cela peut nous rappeler d’apprécier la vraie valeur des choses, des personnes ou des expériences, plutôt que de nous laisser aveugler par des aspects superficiels ou matériels. Cela peut également nous inciter à pratiquer davantage la durabilité et la consommation consciente dans notre propre vie.

    Le partage et le don de ce que nous avons peuvent non seulement aider les autres, mais aussi nous apporter joie et satisfaction.

     

    Le singe et la fleur de lotus


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  • Extraits du livre « Le singe et la fleur de lotus »

    De JINPA SHERAB

    La solitude

    La solitude n’est pas nécessairement causée par le manque de compagnie, mais par le manque de connexion. Souvent, dans les moments de solitude, nous nous sentons isolés et séparés, à la fois des personnes qui nous entourent et du monde en général. Nous avons toujours la possibilité de tisser des liens avec la nature, avec les personnes qui nous entourent, et peut être plus important encore, avec nous-mêmes.

    L’acceptation et de l’amour et de soi est très important. Dans notre propre vie aussi, la pratique de l’acceptation et de l’amour de soi peut contribuer à augmenter notre bien-être et notre satisfaction

     

     


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  • Extraits du livre « Le singe et la fleur de lotus »

    De JINPA SHERAB

     

    Résumé : « Le singe et la fleur de lotus » n’est pas seulement un livre, c’est un outil pour la vie de tous les jours dans un monde moderne où tout va  très vite. Les histoires de ce livre transmettent de précieuses leçons de vie pour plus de vigilance, de bonheur et de réussite. Ce livre invite les lecteurs à réfléchir et à se trouver eux-mêmes. C’est justement à notre époque pleine de stress et de distractions que les histoires bouddhistes sont un véritable trésor. Elles nous montrent ce qui est vraiment important et comment influencer positivement notre vie. Elles nous permettent de découvrir d’autres points de vue et nous donnent de précieuse pistes de réflexion pour une vie plus épanouie.

    L’instant présent

    Nos pensées peuvent s’écouler vers le passé, vers les souvenirs et les regrets. Elles peuvent s’écouler vers le futur, vers les projets et des soucis. Mais où nous sommes-nous vraiment ? Comme l’eau du ruisseau, nous sommes ici, en ce moment. La clé est de réaliser que, même si nos pensées peuvent s’écouler vers le passé ou le futur, nous restons toujours dans le présent. Comme l’eau du ruisseau, nous sommes toujours là. Souvent, nous sommes tellement absorbés par notre passé ou notre avenir que nous ne voyons pas le présent. Or, c’est précisément ici, dans le moment présent que joue la vie. Il ne s’agit pas d’ignorer ou de rejeter votre passé ou votre avenir. Il s’agit plutôt de reconnaître que la vie se déroule dans le moment présent et qu’en apprenant à rester dans le présent, nous pouvons trouver une paix et une satisfaction plus profonde dans notre vie. Cette pratique demande du temps et de la patience.

    Le singe et la fleur de lotus (L'instant présent)

    Château des Evêques dans la Vienne..

     


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  • Extraits du livre « Juste après la fin du monde »

    De Fréderic Lenoir

    La joie est le suprême désirable. A travers tout ce que nous espérons ou désirons, c’est la joie que nous recherchons. La joie d’aimer et d’être aimer, la joie de contempler, la joie de créer, la joie d’être utile, la joie de consoler, la joie de vivre. Mais la joie, à l’inverse du plaisir, ne se décrète pas. Nous pouvons chercher le plaisir, et l’obtenir presque à coup sûr, par la satisfaction d’un besoin ou d’un désir : manger, boire, faire l’amour, s’adonner à une activité que nous aimons. La joie est une émotion beaucoup plus intense que le plaisir et elle nous tombe dessus, comme une grâce. Elle transporte note cœur, notre esprit et notre corps. Certes nous ne pouvons pas programmer le plaisir, mais nous pouvons créer un terrain favorable à l’émergence de la joie. En étant présents et attentifs à ce que nous faisons, la joie peut survenir. Si nous contemplons avec attention la beauté d’un paysage ou d’un sourire, une joie immense peut soudain inonder notre âme. De même, la joie jaillit souvent dans un cœur reconnaissant envers la vie. Si nous passons notre temps à nous plaindre et que notre cœur est plein de ressentiment, aucune joie profonde ne pourra subvenir. A l’inverse, si nous pratiquons la gratitude, si nous savons remercier la vie et les autres chaque jour pour ce qu’ils nous apportent de beau, de bon, ou d’utile, parfois même au milieu de nos difficultés ou des épreuves, alors la joie envahira souvent notre âme.

    La joie est aussi l’expression de l’augmentation de notre puissance vitale. Plus nous sommes capables d’agir et d’agir librement, plus notre esprit est joyeux. A l’inverse, plus nous subissons notre vie, plus nous sommes enchaînés à la prison de nos passions et de nos idées ou croyances erronées, plus nous sommes dans la tristesse. La joie accompagne la croissance de notre être, de notre intelligence, de notre cœur, de notre créativité, de notre conscience. La joie est d’autant plus forte que l’effort a été intense pour y parvenir ou combler nos espoirs.

    FIN des extraits de ce beau livre que je vous conseille vivement.

     Juste après la fin du monde (la joie)

     


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  • Extraits du livre « Juste après la fin du monde »

    De Fréderic Lenoir

     

    La souffrance  est le lot commun de l’humanité et je n’ai rien à répondre à cela. Mais je peux te dire deux choses d’après ce que j’ai compris de la vie. La première, c’est  que le refus de la souffrance nous fait souffrir davantage encore. Tu es malade et ta maladie fait souffrir ton corps. Mais à cette douleur, tu ajoutes celle du ressentiment envers la vie d’être malade. A la souffrance de ton corps, tu ajoutes celle de ton esprit qui refuse la maladie et qui est triste et en colère. Refuser la souffrance nous fait souffrir deux fois. Accepter  la souffrance, lorsque rien ne peut la soulager, renforce notre esprit. Nous pouvons alors conserver une paix intérieure qui nous aidera à mieux lutter contre les maux du corps. Car le corps et l’esprit sont intimement liés : tout ce qui se produit dans notre esprit affecte notre corps.

    Juste après la fin du monde (la souffrance)

     


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  • Extraits du livre « Juste après la fin du monde »

    De Fréderic Lenoir

    Ce qui ne dépend pas de nous : les évènements du monde extérieur sur lesquels nous n’avons aucune prise. Le détachement nous conduit à l’acceptation de ce que nous ne pouvons pas changer.

    Il faut apprendre à se résigner lorsque notre volonté est contrariée par la vie ?

    Non, la résignation est passive. Nous nous résignons lorsque nous subissons une situation, et cette résignation nous plonge dans la colère ou la tristesse. Tandis que l’acceptation est active, car elle nous fait adhérer à la vie et au réel, même lorsque ceux-ci vont à l’encontre de nos souhaits. Ce « oui » à la vie nous plonge dans un état de paix, voire parfois de joie, car notre cœur se réjouit d’avoir été capable d’adhérer au réel, plutôt que de lui avoir résisté par la contrariété, le déni, la colère, la tristesse ou le ressentiment.

    Juste après la fin du monde

     


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  • Extraits du livre "Juste après la fin du monde"

     

    De Frédéric Lenoir

     

    Ce qui ne dépend pas de nous : les évènements du monde extérieur sur lesquels nous n’avons aucune prise. Le détachement nous conduit à l’acceptation de ce que nous ne pouvons pas changer.

     

    Il faut apprendre à se résigner lorsque notre volonté est contrariée par la vie ?

     

    Non, la résignation est passive. Nous nous résignons lorsque nous subissons une situation, et cette résignation nous plonge dans la colère ou la tristesse. Tandis que l’acceptation est active, car elle nous fait adhérer à la vie et au réel, même lorsque ceux-ci vont à l’encontre de nos souhaits. Ce « oui » à la vie nous plonge dans un état de paix, voire parfois de joie, car notre cœur se réjouit d’avoir été capable d’adhérer au réel, plutôt que de lui avoir résisté par la contrariété, le déni, la colère, la tristesse ou le ressentiment.

     

     


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  • Extraits du livre "Juste après la fin du monde"

    De Frédéric Lenoir

     

    Le désir est un bien précieux. Sans désir, ta vie vaudrait-elle la peine d’être vécue ? Nos désirs sont les moteurs de nos existences. Nous désirons vivre, manger, grandir, aimer, travailler, être heureux, échanger, connaître, découvrir, nous accomplir. Ce qui nous rend malheureux et ce qui devient destructeur pour les autres, ce n’est pas le désir en tant que tel, mais le désir-attachement. C'est-à-dire un désir désordonné, sur lequel nous n’avons pas prise, et qui affecte tellement nos vies que nous en devenons esclaves. Lorsque le désir nous lie à une passion, il nous asservit et finalement nous rend malheureux et dangereux pour les autres. A l’inverse, lorsque que le désir reste sous la maîtrise de notre cœur et de notre intelligence, lorsque nous savons le limiter quand cela est nécessaire et l’orienter vers des choses ou des personnes qui sont bonnes pour nous, il nous apporte les plus grandes joies de l’existence.

    Le désir-attachement nous pousse à vouloir absolument posséder une chose ou une personne et sa non-possession nous plonge dans la souffrance. De même, le désir-attachement nous pousse à vouloir conserver à tout prix une chose ou une personne et sa perte nous rend malheureux, tristes ou en colère. Apprenons donc à désirer et à posséder sans attachements.

    Juste après la fin du monde"  (le désir)

    vue du bar au 40 eme étage de la Tour Pleyel

     


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  • Extraits du livre "Juste après la fin du monde"

    De Frédéric Lenoir

    Les courants de la sagesse de l’Ancien monde enseignent que se connaître soi-même est au fondement d’une vie bonne et heureuse. Car comment bien mener sa vie si on ne sait pas qui l’on est ? Comment faire les choix justes ? Comment discerner les bonnes et les mauvaises rencontres, celle qui peuvent nous élever et celles qui peuvent nous diminuer ? Comment bien orienter notre vie si nous sommes ignorants de ce qui est bon et mauvais pour nous ? Chaque être humain est différent, possède des dons, de qualités, des fragilités, de parts d’ombre qui lui sont propres. Il convient à chacun de les identifier.

    Connaître note nature singulière, notre tempérament,  nos forces et nos faiblesses, les pièges de notre égo et de notre mental : tout cela nous aide à devenir lucide et conscients, mais ce n’est pas suffisant pour grandir en humanité et nous épanouir pleinement. Nous avons autant besoin de devenir les créateurs de nous-mêmes et de notre propre existence. Chacun d’entre-nous possède de nombreuses potentialités, des dons, des talents, des ressources qu’il nous faut cultiver et développer. Nous pouvons agir sur nos failles et nos fragilités pour ne plus être handicapés ou conditionnés par elle, voir nous appuyer sur elles pour grandir davantage encore en sensibilité, en compassion, en compréhension de l’humain. C’est tout cet effort de croissance de notre être  que j’appelle le processus créatif. Nous cherchons, à partir de ce que nous sommes et découvrons de nous-mêmes, à nous accomplir dans notre être et à faire de notre vie une œuvre d’art.

    Juste après la fin du monde

     


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  • Extraits du livre "Juste après la fin du monde"

    De Frédéric Lenoir

    L’univers est gouverné par ces deux grandes lois universelles complémentaires : la loi de la causalité et celle de l’amour. Cette dernière est plus puissante encore. La contrition profonde d’un cœur le sauve d’une grande partie de ses dettes envers la justice immanente du monde. L’amour, la compassion et le pardon sont plus fort que tout : se sont les énergies les plus puissantes de l’univers visible et invisible.

     


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  • Extraits du livre « Juste après la fin du monde «

    De Frédéric Lenoir

     

    L’être humain n’est pas tout à fait un animal comme les autres. Il possède cette singularité d’avoir un esprit immortel qui récolte d’une vie à l’autre ce qu’il a semé. 

     

    La seule chose dont je suis certaine, et dont parlaient les grands sages du monde ancien, c’est que notre esprit, ou notre âme, est immortel, et qu’il récoltera dans cette vie, ou sur autre plan d’existence, ce qu’il a semé de positif ou de négatif. Il est donc dans son intérêt, comme je te le disais, de ne pas apporter de souffrances aux autre, mais au contraire de les respecter du mieux que tu peux, si tu ne veux pas tôt ou tard, subir  les conséquences de tes actions négatives.

     

    Juste après la fin du monde (4)

     


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  • Extraits du livre « Juste après la fin du monde «

    De Frédéric Lenoir

    En fait nous sommes tellement habitués à être en relation avec d’autres humains que la solitude nous angoisse comme quelque chose d’inconnu. Mais dès que nous l’apprivoisons, nous découvrons ces merveilleuses expériences intérieures qu’elle procure et nous n’en avons plus peur. Certes, une trop grande solitude n’est pas bonne non plus. L’être humain a besoin d’être en communion avec ses semblables pour s’épanouir. Même si nous sommes tous différents dans nos besoins, il est toujours en quête de liens. Mais a tout autant besoin de se retrouver régulièrement seul avec lui-même. Comme pour tout, c’est une question d’équilibre. Le bonheur tient à cet équilibre entre relation et solitude, entre amour des autres et amour de soi.

     


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  • Extraits du livre « Juste après la fin du monde «

    De Fréderic Lenoir

     

    Nul être humain n’est supérieur à un autre du fait de ses possessions, de sa taille, de son sexe, ou de son origine. Nul ne peut s’arroger le droit de dominer un autre humain et de l’étouffer sous la coupe de sa volonté. Pour maintenir l’harmonie, nous devons apprendre à vivre avec nos différences, en comprenant qu’elles sont une richesse, car nous avons besoin de nos complémentarités pour vivre bien.

     

    La confiance et la foi sont au fondement de notre survie, de notre croissance et de notre épanouissement. Alors, cultivons-les tout au long de notre existence, tant pendant les moments favorables que pendant les moments de découragement et de doute.

     

     


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  • Extraits du livre « Juste après la fin du monde «

    De Fréderic Lenoir

     

    Harmonies

    Dans notre relation au monde et aux autres, recherchons toujours la justice et l’harmonie. Ce sont les deux phares qui doivent éclairer toutes nos actions. Les lois qui régissent l’univers tendent vers l’harmonie.

     

    Ne faisons aucune discrimination entre les humains. Nous sommes tous différents par nos qualités et nos tempéraments, mais nous méritons tous le même respect et aspirons aux mêmes droits. Ne considérons jamais que certains êtres humains sont, par nature, inférieur aux autres et moins dignes de respect. N’accordons aucun privilège à certains que nous ne pourrions accorder à tous. Agissons  toujours dans le respect de la vérité et du bien des personnes. Et si l’un vient à commettre une iniquité, jugeons-le avec droiture et appliquons-lui une peine proportionnée à son acte, mais qui peut lui laisser tout de même une chance de se racheter, car nous sommes tous faillibles.

     

    Pour parvenir à vivre en harmonie entre nous et avec le monde, il nous faudra constamment observer notre cœur et veiller à ne pas laisse ces quatre mauvaises herbes y prendre racine : l’esprit de possession, l’esprit d’avidité, l’esprit de convoitise et l’esprit de domination.

     

    N’oubliez pas que l’harmonie que vous souhaitez voir dans le monde et dans vos communautés commence par l’harmonie que vous aurez su créer dans votre propre cœur.

     


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  • Extraits du livre « Juste après la fin du monde «

    De Fréderic Lenoir

     

    Émotions

    Il est très important d’accueillir les émotions qui surviennent dans notre cœur : que se soit la joie, la peur, la colère ou la tristesse. Ce sont ces émotions qui nous rendent vraiment humains et capables de comprendre les autres et de ressentir ce qu’ils peuvent ressentir. Aucune émotion n’est négative. Toutes sont nécessaires et ont une grande utilité. La peur nous avertit des dangers. La tristesse nous permet de traverser de traverser pleinement nos chagrins et de compatir à ceux des autres. La colère nous invite à ne pas accepter les injustices et à nous affirmer contre ceux qui ne nous respectent pas. La joie dilate notre cœur et nous permet de savourer la vie. Ce sont ces émotions qui nous rendent pleinement vivants et il convient de toujours  les accueillir et les vivres lorsqu’elles se présentent.

    En revanche, mieux vaut apprendre à ne pas vous laisser submerger par une émotion au point de perdre pied et de ne plus avoir de prise sur elle. La peur peut être fort utile, mais elle ne doit pas nous inhiber, nous rendre incapable d’agir et nous paralyser. La tristesse doit rester une émotion passagère, parfois très intense, mais il faut pas qu’elle se transforme en un sentiment durable.  La colère doit rester sous notre contrôle : lorsque ce n’est pas le cas, nous pouvons commettre des actes violents, ou prononcer des paroles, que nous finiront par regretter. Et la joie, même si elle ne sera jamais excessive, doit être discernée par notre raison : il peut y avoir des fausses joies liées à des idées fausses, trompeuses. Notre esprit doit donc toujours agir de concert avec nos émotions pour les accompagner, les modérer, les éclairer, parfois les maîtriser.

    Raison et émotion, esprit et cœur, intelligence et affectivité, sont les deux grandes dimensions de notre être. Cultivons-les et apprenons-leur à vivre ensemble, pour se soutenir et se développe harmonieusement. C’est ainsi que nous devenons des être humains équilibrés, c'est-à-dire à la fois raisonnable et vibrants, intelligents et aimants.

    Juste après la fin du monde

     


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  • Extraits du livre « Juste après la fin du monde «

    De Fréderic Lenoir

     

    Il y a de nombreuses qualités à développer pour grandir en humanité. Mais la mère de toutes est sans doute l’émerveillement. Un homme ou une femme qui ne savent plus s’émerveiller et s’étonner perdent ce qu’il y a peut-être de plus essentiel dans leur humanité : la conscience de l’éclat du monde et du miracle de la vie.

    Si vous  ne réveillez pas votre cœur d’enfant, si vous perdez l’émerveillement, vous passerez à côté du sel de la vie vos existences seront bien remplis, mais sans saveur. Elles seront efficaces, mais dénuées de joie et de poésie, car vous ne serez plus reliés à la magie de la vie.

     


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