• Sur un siège de bus était assis un vieil homme qui tenait à la main un bouquet de fleurs fraichement cueillies. 

    De l'autre côté de l'allée, il y avait une jeune fille dont le regard revenait sans cesse se poser sur les fleurs du vieil homme.  

    Le moment arriva où il fallait que le vieil homme descende.  

    Soudainement, il déposa le bouquet sur les genoux de la jeune fille " je vois que vous aimez les fleurs, dit-il, et je pense que ma femme aimerait que vous les ayez, je vais lui dire que je vous les ai données".  

    La jeune fille accepta les fleurs, puis regarda les hommes descendre de l'autobus et pousser la grille d'un petit cimetière. 

     

    (histoire racontée par Bennet Cerf dans l'excellent livre :  

    "du côté de la vie" éditions Marabout.) 

      


    votre commentaire
  • La boîte de Dieu

    J'ai dans mes mains deux boîtes que Dieu m'a données.
    Il a dit: ' Mets toutes tes douleurs dans la boîte noire,
    et toutes tes joies dans celle en or. '
    J'ai observé ces mots, et dans les deux boîtes
    j'ai mis mes joies et douleurs.
    Mais bien que l'or soit devenu plus lourd
    chaque jour, le noir était aussi léger qu'avant.

    Avec curiosité, j'ai ouvert la boîte noire,
    j'ai voulu découvrir pourquoi ? et j'ai vu ...
    dans le fond de la boîte un trou
    par lequel mes douleurs étaient tombées.
    J'ai montré le trou à Dieu..
    ' Je me demande où mes douleurs pourraient être ?'
    D'un sourire doux Il a dit:
    ' mon enfant, elles sont toutes ici avec moi.'

    J'ai demandé à Dieu, pourquoi Il m'a donné les boîtes,
    pourquoi l'or et pourquoi la noire avec le trou ?
    ' mon enfant, l'or est pour que vous comptiez
    vos bénédictions,
    le noir est pour que vous
    vous laissiez aller.'

     


    votre commentaire
  •  

    Jamais il n'est trop tard pour devenir comme cette Rose.  

    C'était le premier jour de la rentrée en fac, et notre prof s'était présenté en nous enjoignant de faire connaissance avec quelqu'un que nous ne connaissions pas encore.  

    En me levant pour regarder autour de moi, je sentis une main se poser doucement sur mon épaule. En me retournant, je vis une petite vieille toute fripée qui me regardait avec un sourire radieux irradiant de tout son être.  

    -"Bonjour, ma jolie", me dit-elle. "Je m'appelle Rose. J'ai quatre-vingt- sept ans. Me permets-tu de te donner l'accolade?" 

    En riant, je lui répondis avec enthousiasme,  

    -"Bien sûr que vous le pouvez !"  

    Et elle me gratifia alors d'une formidable étreinte.  

    -"Pour quelle raison une personne si jeune et si candide comme vous est-elle en fac? lui demandai-je.  

    Avec malice elle répondit,  

    -"Je suis là pour rencontrer un riche époux, me marier, faire deux enfants, et ensuite je profiterai de ma retraite pour voyager."  

    -"Non, sérieusement," lui demandai-je. J'étais curieuse de savoir ce qui avait pu la motiver à relever ce défi à son âge.  

    -"J'ai toujours rêvé d'avoir une formation universitaire, et aujourd'hui j'en reçois une !" me dit-elle. Le cours terminé, nous allâmes au foyer des étudiants siroter ensemble un milk-shake au chocolat. Nous étions devenues amies tout de suite. Ces trois premiers mois, nous partions chaque jour après les cours dans d'interminables discussions. J'étais inlassablement fascinée à l'écoute de cette "machine à remonter le temps" qui partageait avec moi sa sagesse et son expérience.  

    Après quelque temps, Rose était devenue la coqueluche du campus et elle n'avait aucun mal à se faire des amis partout où elle allait. Elle adorait se faire élégante et se réjouissait de l'attention que lui portaient les autres étudiants. Elle s'y prêtait de bonne grâce. A la fin du second trimestre, nous avons invité Rose à prendre la parole au banquet de notre équipe de foot. Jamais je n'oublierai les mots qu'elle nous y a dit alors. Après avoir été présentée, elle est montée sur le podium. Alors qu'elle commençait le discours qu'elle avait préparé, elle a fait tomber par terre une partie de ses notes. Frustrée et légèrement embarrassée, elle s'est alors penché sur le micro en disant simplement,  

    -"Excusez ma nervosité. Je ne bois plus de bière depuis le Carême, et ce whisky m'assomme ! Je ne vais jamais retrouver l'ordre de mes notes, alors permettez-moi juste de vous dire ce que je sais." Tandis que tout le monde s'esclaffait, elle s'est éclairci la voix et a commencé :  

    -"Nous ne cessons pas de jouer parce que nous sommes vieux ; nous devenons vieux parce que nous cessons de jouer. Il n'y a que quatre secrets pour rester jeune, être heureux, et connaître le succès. Il vous faut rire et faire preuve d'humour chaque jour. Il vous faut avoir un rêve. Lorsque vous perdez vos rêves, vous mourez. Vous avez tant de gens autour de vous qui sont morts et qui ne le savent même pas ! Il y a une énorme différence entre vieillir et grandir. Si à dix-neuf ans vous restez dans votre lit une année entière sans rien faire d'utile, vous atteindrez vos vingt ans. J'ai quatre- vingt-sept ans, et si je reste au lit toute une année sans faire quoi que ce soit, j'atteindrai mes quatre-vingt-huit ans. Tout le monde sait vieillir. Cela ne nécessite ni compétence ni disposition particulières. L'idée est de grandir en trouvant toujours l'opportunité pour le changement. N'ayez aucun regret. Les personnes âgées n'ont habituellement pas de regrets pour ce qu'elles ont fait, mais bien plutôt pour ce qu'elles n'ont pas fait. Les seules à avoir peur de la mort sont celles qui ont des regrets."  

    Elle a terminé son discours en chantant bravement "La Rose".  

    Elle a enjoint chacun de nous à en apprendre les paroles et à les mettre en application dans notre vie quotidienne.  

    A la fin de l'année, Rose a terminé la licence qu'elle avait entreprise durant toutes ces années. 

    Une semaine après avoir obtenu son diplôme, Rose est morte paisiblement pendant son sommeil.  

    Plus de deux mille étudiants ont assisté à ses funérailles en hommage à la femme merveilleuse qui prêchait par l'exemple qu'il n'est jamais trop tard pour devenir tout ce qu'il vous est possible d'être. 

    Si vous lisez ceci, songez à envoyer ces sereines recommandations à vos amis et à votre famille, ils les aimeront sûrement !  

    Nous transmettons ces paroles en souvenir de ROSE. 

    Lise Tremblay.  

    ROSE

     

     


    votre commentaire
  • LE CHAPEAU

     

    A la sortie d'une messe, une dame interpelle le prêtre et lui dit :

    "Monsieur le curé, je ne vous comprends pas, comment pouvez-vous donner la communion à un homme qui porte un chapeau ? Ce n'est pas respectueux pour Jésus ! "

    Le prêtre répondit :

    "Lorsque cet homme vient communier, son coeur est tellement heureux de rencontrer le Christ, qu'il rayonne de joie, tandis que vous, quand vous venez derrière, vous êtes tellement absorbée par votre indignation, que vous ne pensez qu'à son chapeau.

    A laquelle de ces personnes croyez-vous que je ne devrais pas donner la communion ?.... "

     

    Joéliah,

     


    votre commentaire
  •  

    L'Épicerie du Ciel

     

    Je marchais sur le chemin de la vie, quand j'ai vu une enseigne  

    " Épicerie du Ciel "  

    Étonné, je jette un coup d'œil à l'intérieur et vois toute une armée d'anges. 

    L'un d'eux m'a tendu un panier et m'a dit : " Bon magasinage, achetez avec soin".  

    Tout ce dont un chrétien a besoin était en vente.  

    J'ai tout d'abord acheté un peu de patience.  

    Puis l'amour était tout près sur l'étagère…un peu plus loin la compréhension.  

    Je me suis pris une boîte ou deux de sagesse, quelques sacs de foi.  

    Je n'ai pu manquer l'Esprit Saint, il était sur toutes les tablettes.  

    J'ai aussi pris un peu de force et de courage pour continuer ma course.  

    Puis, je me suis rappelé que j'avais besoin de grâce, et je n'ai pas oublié le salut.  

    Il était gratuit.  

    J'ai alors pensé que j'avais tout ce dont j'avais besoin.  

    Je me suis dirigé vers la caisse pour régler mes achats.  

    J'ai alors vu la prière et l'ai mise dans mon panier.  

    La paix et la joie étaient juste là devant moi.  

    J'ai demandé à l'ange combien je lui devais.  

    Avec un beau sourire il me dit :  

    " Ami, Jésus a déjà tout payé, il y a longtemps ! "   

    Auteur inconnu 

     


    votre commentaire
  • TON TRÉSOR, C’EST TA VIE 

    Il était une fois un jeune homme très pauvre. Il n’avait que ses yeux pour voir le ciel et l’horizon. Il n’avait rien que ses mains pour cueillir ce qu’il pouvait trouver pour se nourrir. 

    Il n’avait rien que ses jambes pour courir les chemins et gravir les montagnes. 

    Lors d’une nuit d’été pleines d’étoiles, assis sur un rocher sur le bord du sentier, alors qu’il se lamentait sur son existence misérable et qu’il rêvait de fortune, une étoile filante, sans doute égarée se posa sur la cime d’un if tout proche et s’adressa au vagabond d’un air tout effronté 

    «  - Cherche le trésor et tu deviendras riche ! » 

    Puis elle disparut. 

    Le jeune homme très pauvre et n’ayant donc rien à perdre obéit aussitôt et partit se mettre en quête du trésor. 

    Il parcourut tous les continents.  

    Il traversa toutes les mers et tous les océans. 

    Il fouilla toutes les îles. 

    Il sillonna tous les déserts. 

    Il fit la rencontre de toues sortes de gens, de toutes les idées, de tous âges et de toutes les couleurs. 

    Mais jamais il ne put mettre la main sur le trésor convoité. 

    De retour à son point de départ, longtemps, longtemps plus tard, il retrouva son rocher, plein de désespoir d’avoir tant cherché sans pouvoir rien trouver. 

    L’étoile filante réapparut alors et lu dit : 

    « - Regarde comme tu est devenu riche aujourd’hui de tous ses voyages, 

         De toutes ces découvertes, 

         De toutes ses rencontres, 

         De tous ces rêves partagés … 

         Ton trésor mon ami, 

          C’est ta VIE ! 

     

    TON TRESOR, C’EST TA VIE


    votre commentaire
  • Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant
    bien haut un billet de 20 $. Il demande aux gens :
    Qui aimerait avoir ce billet ?
    Les mains commencent à se lever alors il dit :
    Je vais donner ce billet de 20$ à quelqu'un de vous mais
    avant, laisser moi faire quelque chose avec.
    Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :
    Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ?
    Les mains continuent à se lever.
     

    Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela. Il
    jette le billet froissé par terre et saute à pied joints
    dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant
     des poussières du plancher. Ensuite il demande :
    Qui veut encore avoir ce billet ?
     Évidemment, les mains continuent de se lever !

    - Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon ...Peu
     importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez
     toujours parce que sa valeur n'a pas changé, il vaut
     toujours 20 $.

     

    Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés,
     souillés par les gens ou par les  événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus
     rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé. Elle ne change pas aux
     yeux des gens qui vous aiment ! La valeur d'une personne ne
     tient pas à ce l'on fait ou pas.  Vous pourrez toujours  recommencer et atteindre vos objectifs. Cela ne change rien, votre valeur  intrinsèque est toujours intacte.

    La valeur de la personne


    votre commentaire
  • Un enfant demande à son père :
    - Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?
     

    Alors le père demande à son fils de le suivre ; ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied.
    Et les gens du village de dire :
    - Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d'aller à pied !
    - Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.
     

    Le lendemain ils sortent de nouveau, le père ayant installé son fils sur âne et lui marchant à côté. Les gens du village dirent alors :
    - Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !
    - Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
     

    Le jour suivant ils s'installent tous les deux sur l'âne avant de quitter la maison. Les villageois commentèrent en disant :
    - Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi !
    - Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
     

    Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l'âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire :
    - Voilà qu'ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C'est le monde à l'envers !
    - Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.
     

    Arrivés à la maison, le père dit à son fils :
    - Tu me demandais l'autre jour le secret du bonheur. Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu'un pour y trouver à redire.
     

    Fais ce qui tu aimes et tu seras heureux

     

    Christiane Kolly 

    Le père, l'enfant et l'âne


    votre commentaire
  • La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle.
    Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa :

    * On joue à cache-cache ?
    * Cache-cache ? C'est quoi, ça ? - demanda la Curiosité.
    * Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez.
    * Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le
    prochain à compter.

    Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse. 1, 2, 3,... - la Folie
    commença à compter.

    L'Empressement se cacha le premier, n'importe où. La Timidité, timide comme
    toujours, se cacha dans une touffe d'arbre. La Joie courut au milieu du
    jardin. La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit
    approprié pour se cacher. L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près
    de lui derrière un rocher. La Folie continuait de compter tandis que ses
    amis se cachaient. Le Désespoir étaient désespéré en voyant que la Folie
    était déjà à nonante-neuf.

    * CENT ! cria la Folie.
    * Je vais commencer à chercher...

    La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher
    de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert. En
    regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture ne
    sachant pas de quel côté il serait mieux caché. Et ainsi de suite, elle
    découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité... Quand ils étaient tous
    réunis, la Curiosité demanda

    * Où est l'Amour ?

    Personne ne l'avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle chercha
    au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle
    ne trouvait pas l'Amour. Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier,
    pris un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque
    soudain elle entendit un cri. C'était l'Amour, qui criait parce qu'une
    épine lui avait crevé un oeil. La Folie ne savait pas quoi faire. Elle
    s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui
    promettre de le suivre pour toujours. L'Amour accepta les excuses.

    Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours
     

     

    rose réduite 4g

     


    votre commentaire
  • Il était une fois quatre individus qu'on appelait

    TOUT LE MONDE
    QUELQU'UN
    CHACUN
    et PERSONNE
     


     

    Il y avait un important travail à faire
    et on a demandé à TOUT LE MONDE de le faire.
     

    TOUT LE MONDE était persuadé que QUELQU'UN le ferait.  

    CHACUN pouvait l'avoir fait
    mais ce fut PERSONNE qui le fit.
     

    QUELQU'UN se fâcha car c'était le travail de TOUT LE MONDE !  

    TOUT LE MONDE pensa que CHACUN pouvait le faire  

    et PERSONNE ne doutait que QUELQU'UN le ferait.  

    En fin de compte, TOUT LE MONDE fit des reproches à CHACUN
    parce que PERSONNE n'avait fait
    ce que QUELQU'UN aurait pu faire
     

    MORALITE......  

    Sans vouloir engueuler TOUT LE MONDE,
    il serait bon que CHACUN fasse ce qu'il doit faire
    sans nourrir l'espoir que QUELQU'UN le fera à sa place
    car l'expérience montre que là où on attend QUELQU'UN
    généralement on ne trouve "PERSONNE".
     

     

    scan959

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique