• Vivez en harmonie.

    Partager votre amour, votre sagesse et votre fortune, soyez autant que possible au service des autres. Vivez en harmonie avec les autres et soyez un exemple de paix, d'amour, de compassion et de sagesse. Essayez d’être heureux dans votre pratique, d’être satisfait de votre vie. Soyez raisonnable dans la manière dont vous grandissez, ne pensez jamais qu’il est trop tard. N'ayez pas peur de la mort. Même si vous mourez demain, aujourd'hui au moins restez droit, pur et clair et soyez un être humain heureux. LAMA THUBTEN YESHE


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  • Histoire de trois étudiants devenus moines

     

    Je vais vous raconter l'histoire de trois étudiants qui devinrent moines. Chacun prit une bonne résolution ;  Le  premier voulut ramener la paix entre les combattants, obéissant en cela à la parole de l'Écriture : Heureux les artisans de paix.  Le deuxième désira rendre visite aux malades  et le troisième alla dans le désert, pour y vivre en paix.  Le premier essaya de résoudre les conflits, mais il ne put réconcilier tout le monde. Abattu et découragé, il rejoignit le deuxième et le trouva assombri. En effet, lui non plus n'avait pas pu mener sa tâche à bien. Ils se mirent d'accord pour aller voir le troisième. Ils lui firent part de leur désarroi et le prièrent de bien vouloir leur dévoiler, en toute sincérité, ce qu'il avait trouvé dans le désert. Celui-ci se tut un instant, puis versa de l'eau dans un récipient et leur dit de regarder à l'intérieur. L'eau était encore agitée, puisqu'il venait de la verser. Après quelques instants, il leur demanda de regarder à nouveau : Observez comme l'eau est calme à présent. Ils regardèrent et virent leur visage se refléter à la surface de l'eau. Il poursuivit : Il en est ainsi pour celui, qui reste parmi les hommes : Il ne peut pas voir ses péchés à cause du trouble et de l'agitation. Celui qui, au contraire, se tient à l’écart et au calme, peut comprendre ses erreurs.( Anselm Grün)

     


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  • Ecoute ce que je ne dis pas, je t'en prie

     

    Ne te laisse pas tromper par moi.
    Ne te laisse pas tromper par le visage que je porte,
    car je porte un masque, mille masques,
    masques que j'ai peur d'enlever,
    et je ne suis aucun d'entre eux.

    Faire semblant est un art qui est une seconde nature pour moi,
    mais ne sois pas dupe,
    pour l'amour de Dieu, ne sois pas dupe.
    Je te donne l'impression que je suis sûr,
    que tout est bien et sans problème avec moi, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur,
    que je suis la confiance même et que je plane au-dessus de tout,
    que l'eau est calme et que je suis bien aux commandes
    et que j'ai besoin de personne,
    mais ne me crois pas.
    A la surface, je suis lisse et sans faille, mais ce n'est que mon masque,
    toujours différent et toujours caché.
    En dessous, il n'y a aucune complaisance.
    En dessous résident la confusion, la peur et la solitude.
    Mais je les cache. Je ne veux pas que quiconque le sache.
    Je panique à l'idée que ma faiblesse soit exposée.
    C'est pourquoi, je crée avec frénésie un masque pour me cacher derrière,
    une façade nonchalante et sophistiquée,
    pour m'aider à faire semblant,
    pour me protéger des regards qui savent.

    Mais ce regard est précisément mon salut, mon seul espoir,
    et je le sais.
    S'il est suivi par l'acceptation,
    et s'il est suivi par l'amour.
    C'est la seule chose qui puisse me libérer de moi-même,
    des murs de la prison que j'ai érigés moi-même,
    des barrières que j'ai dressées avec tant d'efforts.
    C'est la seule chose qui puisse m'assurer
    de ce que je ne peux m'assurer par moi-même,
    que j'ai vraiment une valeur.
    Mais je ne te le dis pas. Je n'ose pas, j'ai peur de le faire.
    J'ai peur que ton regard ne soit pas suivi d'acceptation,
    ne soit pas suivi d'amour.
    J'ai peur que tu penses moins de moi,
    que tu ries et tes rires me tueraient.
    J'ai peur, qu'au fond, je ne sois rien,
    que tu le voies et me rejettes.

    Donc, je joue mon jeu, un jeu désespéré à faire semblant,
    portant sans assurance une façade
    et un enfant tremblotant à l'intérieur.
    C'est ainsi que débute la belle, mais irréelle parade des masques,
    et ma vie devient une façade.
    Je bavarde avec toi de manière suave de sujets éphémères.
    Je te dis tout de rien,
    et rien de ce qui est tout,
    de ce qui pleure à l'intérieur de moi.
    Alors, quand je passe à travers mon scénario
    ne te laisse pas berner par cette sérénade.
    S'il te plaît, essaye d'écouter attentivement et écoute ce que je ne te dis pas,
    ce que j'aimerais être capable de te dire,
    ce que j'ai besoin de te dire pour survivre,
    mais ce que je ne peux dire.

    Je n'aime pas me cacher.
    Je n'aime pas jouer les jeux superficiels.
    Je veux arrêter de jouer.
    Je veux être authentique, spontané et moi-même,
    mais tu dois m'aider.
    Tu dois me tendre la main
    même si c'est la dernière chose que je semble vouloir.
    Tu es la seule personne qui puisse effacer de mes yeux
    le regard vide d'un mort vivant.
    Tu es la seule personne qui puisse m'inviter à la vie.
    Chaque fois que tu es aimable, doux et encourageant,
    chaque fois que tu essaies de comprendre parce que tu portes attention,
    mon cœur commence à avoir des ailes qui poussent -
    de très petites ailes,
    de très faibles ailes,
    mais des ailes ! <

    Avec ton pouvoir de toucher et de me faire sentir,
    tu peux m'insuffler la vie.
    Je veux que tu le saches.
    Je veux que tu saches combien tu es une personne importante pour moi,
    comment tu peux être un créateur - un créateur fidèle à Dieu -
    de la personne que je suis
    si tu le choisis.
    Toi seul peux briser le mur derrière lequel je tremble,
    toi seul peux enlever mon masque,
    toi seul peux me libérer de mon monde ombragé par la panique,
    de ma prison solitaire,
    si tu le choisis.
    S'il te plaît, choisis-le.

    Ne passe pas à côté de moi.
    Ça ne sera pas facile pour toi.
    Plusieurs années à croire que je ne vaux rien ont érigé des murs très solides.
    Plus tu approches de moi
    plus je peux combattre aveuglément.
    C'est irrationnel, mais en dépit de ce que les livres disent sur l'homme,
    je suis souvent irrationnel.
    Je lutte précisément contre la chose dont j'ai besoin.
    Mais on dit que l'amour est plus fort que les murs
    et c'est là que réside mon espoir.
    S'il te plaît, essaye d'enfoncer les murs
    avec une main ferme, mais douce,
    car un enfant, c'est très sensible.

    Qui suis-je, tu te demandes peut-être ?
    Je suis quelqu'un que tu connais très bien.
    Car je suis chaque homme que tu rencontres
    et je suis chaque femme que tu rencontres.

    Charles C. Finn, Septembre


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  • La vie s'apparente à un jardin.

    Les feuilles flétrissent et les fleurs se fanent naturellement.
    C'est seulement si nous éliminons les déchets que nous profiterons pleinement de la beauté des nouvelles feuilles et fleurs.
    De même, nous devons éliminer de notre esprit les expériences mauvaises, sombres du passé.
    Vivre, c'est se souvenir d'oublier.
    Pardonne ce qui doit être pardonné
    Oublie ce qui doit être oublié.
    Embrasse la vie avec une vigueur renouvelée.
    Nous devrions pouvoir accueillir chaque instant de la vie avec un regard neuf, telle une fleur fraîchement éclose.

    ~Mata Amritanandamay~

     

    (Trouvé sur le blog de swadisthana offert par son amie Pégaze)


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  • Vol de nuit

    J'ai toujours, devant les yeux, l'image de ma première nuit de vol en Argentine, une nuit sombre où scintillaient seules, comme des étoiles, les rares lumières éparses dans la plaine.
    Chacune signalait, dans cet océan de ténèbres, le miracle d'une conscience. Dans ce foyer, on lisait, on réfléchissait, on poursuivait des confidences. Dans cet autre, peut-être, on cherchait à sonder l'espace, on s'usait en calculs sur la nébuleuse d'Andromède. Là, on aimait. De loin en loin luisaient ces feux dans la campagne qui réclamaient leur nourriture. Jusqu'aux plus discrets, celui du poète, de l'instituteur, du charpentier. Mais parmi ces étoiles vivantes, combien, combien de fenêtres fermées, combien d'étoiles éteintes, combien d'hommes endormis...
    Il faut bien tenter de se rejoindre. Il faut bien essayer de communiquer avec quelques-uns de ces feux qui brûlent de loin en loin dans la  campagne".

    Antoine de saint-Exupéry

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  • Quand j'étais bébé

    maman et grand-mère savaient pour moi.

    Plus tard, c'est papa qui savait

    pour maman et pour moi,

    pas pour grand-mère

    qui ne se laissait pas faire !

    En grandissant un peu, j'ai découvert

    que la maîtresse savait pour papa, maman

    et donc pour moi.

    Avec les ans, j'ai voulu savoir à mon tour

    Ça ne marchait pas toujours,

    il y avait de la concurrence.

    Beaucoup prétendaient savoir.

    Aujourd'hui je sais que beaucoup savent peu,

    que certains savent pour eux.

    J'apprends difficilement à savoir pour moi...

    avec le moins de certitudes possibles. »

     

    (Apocryphe du XXe siècle) 

    Quand j'étais bébé


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  • BENOIT XVI ET LE SIDA : ECLAIRCISSEMENTS 

    (Source agence de Presse (Zenit.org) 

     

    Rome, Mercredi 18 mars 2009- Le pape Benoît XVI a demandé les soins gratuits pour les malades du sida dès son arrivée à l’aéroport de Yaoundé au Cameroun, mardi  après-midi. Un appel qui a reçu très peu d’écho. Il appelle les Africains à la responsabilité dans la lutte contre le sida. Les médias ont passé sous silence ce passage de sa conférence de presse dans l’avion de Rome à Yaoundé. 

     

    Mais ce que la presse a retenu, ce sont des propos prêtés au pape. Nous publions ci-dessous le texte intégral de la déclaration. 

     

    Le pape fait également allusion à l’engagement de l’Eglise auprès des malades : quelques 25 % des structures qui les accueillent sont catholiques. Il cite l’engagement de la communauté de Sant’ Egidio  - une allusion au projet « DREAM », sigle anglais pour « Amélioration des ressources en médicaments pour lutter contre les Sida et la malnutrition » par exemple au Malawi  et des religieux de Saint-Camille de Lellis, ou des religieuses(les missionnaires de la Charité par exemple). 

     

    Voici la question du journaliste et la réponse de Benoît  XVI, dans son contexte. 

     

    Question : Votre Sainteté, parmi les nombreux maux qui affligent l’Afrique, il y a également en particulier celui de la diffusion du sida. La position de l’Eglise Catholique sur la façon de lutter contre celui-ci est souvent considérée comme n’étant pas réaliste et efficace. Affronterez-vous ce thème au cours du voyage ? 

     

    Benoît XVI : Je dirais le contraire : je pense que la réalité la plus efficace, la plus présente sur le front de la lutte contre le sida est précisément l’Eglise catholique, avec ses mouvements, avec ses différentes réalités. Je pense à la Communauté de Sant’ Egidio qui accomplit tant, de manière visible et aussi invisible, pour la lutte contre le sida, aux Camelliens, à toutes les religieuses qui sont à la disposition des malades… Je dirais qu’on ne peut pas surmonter ce problème du sida uniquement avec des slogans publicitaires. Si on n’y met pas l’âme si on n’aide pas les Africains, on ne peut pas résoudre ce fléau par la distribution de préservatifs : au contraire, le risque est d’augmenter le problème. La solution ne peut se trouver que dans un double engagement : le premier, une humanisation de la sexualité, c’est à dire un renouveau spirituel et humain qui apporte avec soi une nouvelle manière de se comporter l’un avec l’autre, et le deuxième, une véritable amitié également surtout pour les personnes qui souffrent, la disponibilité, même au prix de sacrifices, de renoncements personnels, à être proche de ceux qui souffrent. Tels sont les facteurs qui aident et qui conduisent à des progrès visibles. Je dirais donc cette double force de renouveler. L’homme intérieurement, de donner une force spirituelle et humaine pour un juste comportement à l’égard de son propre corps et de celui de l’autre, et cette capacité de souffrir avec ceux qui souffrent, de rester présent dans les situations d’épreuve. Il me semble que c’est la juste réponse, et c’est ce que fait l’Eglise, offrant ainsi une contribution très grande et importante. Nous remercions tous ceux qui le font. 

    BENOIT XVI ET LE SIDA : ECLAIRCISSEMENTS


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  •  

    Avant d'être une maman... 

     

    Je n'avais jamais trébuché sur des jouets
    Je n'avais jamais chanté de berceuses
    Je ne m'étais jamais demandé
    Si mes plantes pouvaient être toxiques
    Je n'avais jamais pensé à la vaccination
    J'avais le plein contrôle de mon temps
    Et je dormais mes nuits...
     

    Je n'avais jamais tenu un enfant sur mes genoux
    Pour que le médecin lui fasse un vaccin
    Et je n'étais jamais resté éveillée tard la nuit
    Juste pour regarder dormir un bébé...
     

    Je n'avais jamais gardé un bébé endormi dans mes bras
    Juste parce que je voulais le regarder plus longtemps
    Je n'avais jamais senti mon cœur se briser
    Parce que je ne pouvais pas guérir un bobo
    Je ne savais pas qu'il était même possible
    D'aimer autant...
     

    Je n'avais jamais connu le sentiment
    D'avoir mon cœur à l'extérieur de mon corps
    Je ne connaissais pas ce lien
    Qui unit une mère à son enfant
    Je ne savais pas
    Que quelque chose de si petit
    Pouvais me faire sentir si importante et heureuse...
     

    Je ne m'étais jamais levée la nuit
    Juste pour m'assurer que tout allait bien
    Je ne connaissais pas la joie, l'amour et la douleur
    L'émerveillement et la satisfaction
    D'être une maman...
     

    Et...
    Avant d'être une grand-maman...
    Je ne savais pas
    Que tous ces sentiments de maman
    Sont plus que doublés
    Quand tu vois ce petit être
    Dans les bras de ton Bébé...

     

    Anonyme 


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  • La source témoigne 

    La source qui jaillit témoigne de la mer,
    La feuille dans le ciel témoigne des racines,
    La graine au codeur du fruit témoigne de la fleur,
    La sève de l'aubier témoigne du soleil,
     

    Il y a plus en vous qu'en toutes les forêts :
    Vous avez leur silence et leur monde secret,
    Ne cherchez pas ailleurs ce que le cœur enferme :
    Découvrez vos jardins, vos marais et vos îles.
    Mais cherchez-les très loin, comme font les racines,
    Très loin dans les régions nocturnes de vous-mêmes.
     

    Que pour chaque douleur se lève une tendresse !
    Qu'il y ait plus d'amour qu'il n'y a de misère,
    Qu'il y ait plus de paix qu'il n'y a de colère,
    Et bien plus de bonté qu'il n'y a de détresse.
     

     

    Didier Rimaud 


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  •  

    POEME DU BONHEUR


    > On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure
    > après s'être marié, après avoir eu un enfant, et ensuite,
    > après en avoir eu un autre...
    > Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont
    > pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux
    > quand ils le seront.
    > On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils
    > auront passé cette étape.
    > On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront
    > mieux pour notre conjoint, quand on possédera une plus belle
    > voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en
    > vacances ou quand on sera à la retraite...
    > La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être
    > heureux que le moment présent.
    > Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce?
    > La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de
    > projets à terminer.
    > Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux
    > maintenant qu'il est encore temps.
    > Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin
    > commencer, '
    > La Vrai vie ! 'Mais il y avait toujours un obstacle sur le
    > chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un
    > thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer.
    > Et alors la vie allait commencer ! ! ! !
    > Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient
    > justement ma vie.
    > Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un
    > chemin qui mène au bonheur.
    > Le bonheur est le chemin.
    > Ainsi passe chaque moment que nous avons et plus encore :
    > quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial,
    > suffisamment spécial pour partager notre temps et, que l'on
    > se rappelle que le temps n'attend pas.
    > Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études,
    > d'augmenter son salaire,
    > de se marier,
    > d´avoir des enfants,
    > que ses enfants partent de la maison
    > ou, simplement, le vendredi soir,
    > le dimanche matin,
    > le printemps,
    > l'été,
    > l'automne ou l'hiver,
    > pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que
    > maintenant pour être heureux.
    > LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON PAS UNE DESTINATION !
    > Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux.
    > Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le
    > sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie.<

     

    (Inconnu)

     

    POEME DU BONHEUR


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  •  

    Le manque d'amour dans les foyers

    Paroles de Mère Teresa

    "Je pense qu'aujourd'hui le monde est sans dessus dessous, et souffre autant parce qu'il y a un manque d'amour dans les foyers et dans la vie de famille. Nous manquons de temps pour les enfants, pour les autres et pour s'apprécier les uns les autres." 

     

    "L'amour commence à la maison ; l'amour vit dans les foyers, c'est pourquoi il y a tant de souffrances et de morosité dans le monde d'aujourd'hui...Tous semblent si pressés, entre autre, anxieux de plus d'améliorations et de plus de richesse que les enfants n'ont que peu de temps pour leurs parents. Les parents ont peu de temps l'un pour l'autre, le bris de la paix dans le monde commence dans les foyers."

    "Quelquefois, nous croyons que la pauvreté n'est pas d'avoir faim, d'être dévêtu ou sans abri. La pauvreté la plus grande est celle d'être rejeté, pas aimé et sans soin. Nous devons commencer à remédier à ce type de pauvreté dans nos propres maisons."

    "La pauvreté la plus terrible est la solitude et le sentiment de ne pas être aimé."
    "De nos jours, la lèpre ou la tuberculose ne sont pas les plus graves maladies, mais plutôt le sentiment d'être rejeté."
    "Dans le monde, il y a plus de faim pour l'Amour et la reconnaissance que pour le pain."


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  • Écrire sa vie

     

    Au moment où tu me lis, je te dis que tu es l'auteur de ta propre vie. Chaque jour est une page blanche qu'il t'appartient d'écrire avec l'encre de tes actes et de tes paroles.

    Marche dans ta vie comme tu lis un livre : réfère-toi aux pages que tu as déjà lues, garde-les en mémoire mais ne passe pas ton temps à les relire ! Ne cherche pas non plus à trop anticiper sur ce qui n'est pas encore écrit car c'est inutile de trop vouloir savoir ce qui n'existe pas encore.

    Les lignes de ta vie ne sont pas encore tracées car la vérité vraie s'écrit et se vit au présent. Lâche donc prise par rapport à tes connaissances et par rapport à ton savoir pour mieux les retrouver ensuite.

    Si cette fin d'année ou ce début d'année te semblent durs et que tu te penses fatiguer. Tu es fatigué ! N'ignore pas les signaux que t'envoie ton corps car il est temps de les écouter. Prends donc une journée à ne rien faire et contemple positivement ce que tu as déjà accompli et ce qu'il te reste à faire. Si rien ne te vient, alors médite sur la beauté du jour, sur l'amour ou la nature car la vie est belle et le monde est magnifique ! >

    Sois curieux de tout et avide de rien mais nourris-toi de bons aliments...ne t'empoisonne pas avec des choses inutiles. A titre d'exemple, les choses inutiles sont le matérialisme à haute dose et tout ce qui ressemble aux sept péchés capitaux (émissions de TV abrutissantes avec multiples pages de publicité, films violents qui prônent la guerre et le mal, bavardages et commérages).

    Si ces quelques pensées ont touché ton âme et ton cœur alors tu es prêt pour la grande aventure qui consiste à mieux te connaître à mieux t'aimer et donc à respecter et à aimer les autres hommes.

    Ainsi, tu pourras toi aussi écrire et transmettre la paix, le respect et la charité à travers ton propre livre, lequel viendra agrandir la grande bibliothèque de l'Histoire de l'Homme.

    Anne-Claire  

    Ecrire sa vie


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  •  http://guylouxox.centerblog.net/rub-belles-images-paysages-.html

    Le bonheur de l'innocence : histoire vraie.

     

    Comme ils se préparent à dîner dans un restaurant, un petit garçon de six ans demande à sa maman s'il peut prier le Seigneur et offrir les grâces.

    Comme ils penchent leurs têtes, il dit : " Dieu est bon. Dieu est grand. Merci pour le manger, ... et je te remercierais même plus si maman commandait de la crème glacée pour dessert. Et liberté et justice pour tous ! Amen ! "

    À travers les rires des autres clients, Kim perçoit la remarque d'une dame : " C'est ce qui n'est pas correct dans ce pays. Les enfants aujourd'hui ne savent pas comment prier. Demander à Dieu de la crème glacée ! Pourquoi, je me le demande ! "

    Kim fond en larmes, et demande à sa mère : " Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal ? Est-ce que Dieu est choqué après moi ? " Pendant que la maman le prend contre elle et le rassure, elle lui dit qu'il a fait une prière fantastique et que Dieu n'est certainement pas choqué contre lui.

    Un monsieur plus âgé s'approche alors de leur table, fait un clin d'œil au petit garçon et lui dit : - Je crois savoir que Dieu pense que ce fut une très belle prière.

    - Réellement ? demande Kim.

    - Croix sur mon cœur, reprend le monsieur. Et dans un murmure il ajoute (indiquant la dame qui était intervenue) : - C'est malheureux qu'elle n'aie jamais demandé à Dieu de la crème glacée. Car un peu de crème glacée est bon pour l'âme quelquefois.

    Naturellement, à la fin du repas, la maman commanda de la crème glacée pour son petit garçon.

    Mais ce qui arriva ensuite fut une complète surprise.

    " Mon fils réfléchit un moment et il fit quelque chose dont je me souviendrai le reste de ma vie " explique la maman. " Il prit son sundae et sans un mot, marcha vers la dame et le plaça devant elle.

    Avec un grand sourire, il lui dit " : - Ceci est pour vous. La crème glacée est bonne pour l'âme quelquefois, et mon âme à moi est déjà bonne. 


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  •  

    LE JOUR OU JE ME SUIS AIME POUR VRAI - CHARLY CHAPLIN

     

     Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances, J'étais à la bonne place, au bon moment.
    Et, alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui je sais que ça s'appelle...
    Estime de soi.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n'était rien d'autre qu'un signal quand je vais contre mes convictions.
    Aujourd'hui je sais que ça s'appelle...
    Authenticité.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive, contribue à ma croissance personnelle.
    Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle...
    Maturité.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment...
    Aujourd'hui je sais que ça s'appelle...
    Respect.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire ... Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l'égoïsme.
    Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle...
    Amour Propre.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grand plans, j'ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime, quand ça me plait et à mon rythme.
    Aujourd'hui je sais que ça s'appelle
    Simplicité.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
    Aujourd'hui j'ai découvert l'...
    Humilité.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
    Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.
    Et ça s'appelle...
    Plénitude.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux.
    Tout ceci est....
    SAVOIR VIVRE !

    “ Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter...<


    ...Du chaos naissent les étoiles.

    (offert par MT http://sunyat.free.fr/web_acappella

     


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  • L’histoire de Kyle.

    Un jour, durant mes premières années de secondaire, j’ai aperçu un gars de ma classe qui retournait à la maison après l’école. Il s’appelait Kyle. On aurait dit qu’il transportait tous ses livres et son matériel scolaire ! Je me suis dit :
    « Pourquoi quelqu’un apporterait-il tous ses livres un vendredi soir ? Il doit vraiment être un intello ! »

    De mon côté, j’avais tout un week-end de planifié : sorties et parties de football avec mes amis. Comme je passais près de Kyle, un groupe de jeunes a commencé à se moquer de lui. Ils l’ont pincé, ont fait tomber ses livres et l’ont même poussé dans la boue. Quand il est tombé, ses lunettes ont atterri quelques pieds plus loin, dans le gazon. Kyle a levé la tête et j’ai vu combien il était triste et désorienté. J’ai vraiment ressenti un élan de pitié pour lui.

    Alors, j’ai couru jusqu’à lui et j’ai ramassé ses lunettes. Lorsqu’il a levé la tête vers moi, j’ai vu quelques larmes dans ses yeux.
    « Ces gars-là étaient vraiment des imbéciles », lui ai-je dit.

    Il m’a regardé et m’a remercié. Il avait un énorme sourire dans lequel on pouvait voir toute la gratitude du monde ! En l’aidant à ramasser ses livres, je lui ai demandé où il habitait. J’ai été surpris de voir qu’il habitait tout près de chez moi. Il m’a alors expliqué qu’il allait auparavant dans une école privée. Je ne pensais jamais un jour être copain avec un petit « bourgeois ». Nous avons parlé tout au long du chemin. Il s’est révélé être un très bon gars. Je lui ai alors demandé s’il voulait venir jouer au football avec mes copains et moi le lendemain. Il s’est empressé d’accepter.

    Nous avons donc passé le week-end ensemble et, plus le temps avançait, plus je me rendais compte que Kyle était vraiment quelqu’un de bien. D’ailleurs, mes amis aussi pensaient la même chose.

    Le lundi matin, j’ai encore aperçu Kyle qui retournait à l’école avec sa pile de livres. Je l’ai rejoinds encore une fois et lui ai dit :
    « Waw ! Tu finiras par avoir des muscles d’acier à trimbaler tes livres comme ça !!! »

    Il a bien ri et m’a passé la moitié de ses livres. Durant les années qui ont suivi, nous sommes devenus les meilleurs copains du monde. Kyle était vraiment un élève intelligent, il voulait faire médecine tandis que moi, j’allais finalement à l’université grâce à une bourse ! Je l’agaçais tout le temps en lui disant qu’il n’était qu’un « intello » !

    Pour notre graduation, Kyle devait préparer un discours. J’étais bien content que ce ne soit pas moi ! Kyle était devenu un jeune homme bien dans sa peau, qui plaisait beaucoup aux filles. D’ailleurs, il faisait beaucoup plus de conquêtes que moi !

    La journée de la graduation, je voyais bien que Kyle était nerveux. Pour le rassurer, je lui ai donné une bonne tape dans la dos en lui disant :
    « Ne t’inquiète pas, tu vas être génial ! »

    Il m’a encore regardé avec un regard plein de gratitude, et m’a remercié. Lorsqu’il est arrivé devant le micro, il s’est éclairci la gorge et a commencé son discours :
    « Une graduation, c’est le moment idéal pour remercier tous ceux qui nous ont aidé durant toutes nos années du secondaire. Nos parents, nos professeurs, nos entraîneurs … mais surtout nos amis. Je suis ici pour vous dire qu’être l’ami de quelqu’un, c’est le plus beau cadeau qu’on peut lui donner. Je vais vous raconter une histoire … »

    J’étais vraiment très surpris lorsqu’il a commencé à raconter notre première rencontre. Mais j’ai été encore plus estomaqué lorsqu’il a raconté que cette fameuse fin de semaine-là, il avait prévu de se suicider. C’est pourquoi il avait rapporté tous ses livres : pour que sa mère ne soit pas obligée de faire le ménage de son casier. Il m’a regardé et m’a fait un sourire :
    « Heureusement, j’ai été sauvé. Mon ami m’a empêché de commettre l’irréparable. »

    J’ai entendu le silence provoqué par son discours dans la salle : le discours d’un jeune homme distingué, beau, intelligent et populaire. Je me suis retourné et j’ai vu ses parents qui m’ont souri avec le même regard plein de gratitude que Kyle avait eu à mon égard. Je n’avais jamais réalisé à quel point cette journée avait été bienfaitrice pour lui. 

     

    Ne sous-estimez jamais le pouvoir de vos actions. Avec un simple petit geste, on peut changer la vie d’une personne … pour le meilleur ou pour le pire. Nous avons tous un impact dans la vie de tous les gens que nous rencontrons. 

    Les amis sont des anges qui nous remettent sur nos pieds quand nos ailes ne savent plus comment voler.

     


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  • Lettre de Jésus 


     

    Salut! 

    Je voulais absolument t'écrire 

    Pour te dire combien je t'aime et que je t'ai à cœur. 

    Hier, je t'ai vu marcher avec des amis 

    Et je t'ai fait un coucher de soleil pour terminer ta journée 

    Je t'ai soufflé une fraîche brise pour te rafraîchir, 

    Je t'ai attendu, mais tu n'as jamais répondu... 

    J'ai simplement continué de t'aimer. 

     

    Pendant ton sommeil, j'ai fait paraître 

    La lumière de la lune sur ton visage 

    Pour te toucher les joues, 

    Comme tellement de larmes les ont touchées. 

    Pourquoi n'as-tu pas pensé que c'était moi ? 

     

    Tôt le matin, j'ai fait exploser un lever de soleil brillant pour toi 

    Mais tu t'es réveillé tard 

    Et tu t'es dépêché pour aller travailler. 

    Et tu n'as rien remarqué... 

     

    J'ai essayé de te montrer mon existence 

    Au travers de la verdure et du ciel bleu, 

    J'ai soufflé mon amour au travers des grands arbres 

    Au travers des couleurs de toutes les fleurs. 

    Je désire te parler au travers des grandes chutes d'eau 

    Et je t'envoie des chants d'amour 

    Par les oiseaux qui chantent pour toi. 

     

    Je te réchauffe avec le vêtement de mon soleil 

    Et le parfum de l'air qui vient du doux encens de la nature. 

    Mon amour pour toi est plus profond que l'océan 

    Et plus grand que le besoin de ton cœur. 

    Si seulement, tu pouvais réaliser 

    combien je m'intéresse à toi.. 

     

    Dieu, Mon Père, t'envoie cet amour 

    J'aimerais tellement que tu le rencontres. 

    Alors, s'il te plaît, appelle-moi bientôt 

    Peu importe le temps que cela prendra, 

    J'attendrai parce que je t'aime... 

     

    Jésus 

     

     


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  • Une voix simple et claire

     

     

    Chacun sait qu’il a en lui une voix qui parle,

    Une voix simple et claire

    Qu’il étouffe trop souvent

    Parce qu’elle est exigeante, nette comme une ligne droite.

     

    Cette voix, cette source qu’on obstrue,

    C’est elle qui dit le juste,

    Elle qui nous donne les moyens

    D’atteindre l’équilibre et la libération de soi ;

    Mais nous avons peur d’être nous-mêmes.

     

    Quand l’homme s’est révélé à lui-même,

    Quand l’homme a écouté une fois la source qui est en lui,

    Qui peut dire jusqu’où il s’élèvera ?

     

    Il faut se donner des projets qui vous grandissent.

    Des projets qui tendent la vie vers le haut,

    Qui obligent à choisir la cime plutôt que le fossé.

    Des projets généreux qui font la vie généreuse

    Et qui permettent à la vie de l’homme

    De se déployer, de s’élever.

     

     Martin Gray

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  • Chers amis,

     

                Comme vous le savez tous, la date de mon anniversaire approche. Tous les ans il y a des grandes célébrations en mon honneur et je pense que cette année encore, ces célébrations auront lieu.

                Pendant cette période, tout le monde fait du shopping, achète des cadeaux, il y a plein de publicité à la radio et dans les magasins, et tout cela augmente au fur et à mesure que mon anniversaire se rapproche.

                C’est vraiment bien de savoir, qu’au moins une fois par an, certaines personnes pensent à moi. Pourtant je remarque que si, au début les gens paraissaient comprendre et semblaient reconnaissants de tout ce que j’ai fait pour eux, plus le temps passe, et moins ils semblent se rappeler la raison de cette célébration. Les familles et les amis se rassemblent pour s’amuser, mais ils ne connaissent pas toujours le sens de la fête.

                Je me souviens que l’année dernière il y avait un grand banquet en mon honneur. La table de la salle à manger était remplie de mets délicieux, de gâteaux, de fruits et de chocolats. La décoration était superbe et il y avait beaucoup de magnifiques cadeaux emballés de manière spéciale. Mais vous savez quoi ? Je n’étais pas invité … J’étais en théorie l’invité d’honneur, mais personne ne s’est rappelé de moi et ils ne m’ont pas envoyé d’invitation. La fête était en mon honneur, mais quand ce grand jour est arrivé, on m’a laissé dehors, et ils m’ont fermé la porte à la figure…

                En réalité, je n’étais pas surpris de cela car depuis quelques années, toutes les portes se referment devant moi.

                Comme je n’étais pas invité, j’ai décidé de me joindre à la fête sans faire de bruit, sans me faire remarquer. Je me suis mis dans un coin, et j’ai observé. Tout le monde buvait, ils faisaient des farces, riaient à propos de tout. Ils passaient un bon moment.

                Soudain ils se sont tous mis à échanger des cadeaux, ils les ont ouvert un par un, en grande excitation. Quand tout a été déballé, j’ai regardé pour voir si, peut être, un cadeau était resté pour moi. Qu’auriez-vous ressenti si, le jour de votre anniversaire, tout le monde s’échangeait des cadeaux et que vous n’en receviez aucun ? J’ai enfin compris que je n’étais pas désiré à cette soirée et je suis parti silencieusement…

                J’ai erré dans la ville… je ne savais pas où aller… quand soudain je me suis retrouvé à la porte de l’hôpital … il y avait beaucoup de monde à l’intérieur : il devait y avoir certainement une raison pour qu’ils soient tous là ! Alors moi aussi je suis rentré… O surprise, tous se sont retournés vers moi : c’était moi qu’ils voulaient fêter car c’était mon anniversaire ! ils me dirent plein de bonnes choses : ils se souvenaient qu’il y a 2000 ans j’étais au monde dans le but de donner ma vie pour eux, pour les sauver de leur égoïsme, de leur désirs de se venger, de faire la guerre, de chercher à tout prix le pouvoir… et surtout, surtout, ils m’ont dit qu’au cœur de leurs souffrances, de leurs solitudes aussi, ils me sentaient proches d’eux et qu’alors leur cœur était  dans la confiance, dans l’espérance, dans la paix.

                Je leur ai dit  que je continuerais à tenir mes promesses, à rester proches d’eux, je leur ai dit que je les aimais très fort.

     

                                                                                     Et c’est signé : Jésus

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  •  

    Si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien
     
    Quand je parlerai les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas l'amour, je ne suis qu’un airain qui raisonne ou une cymbale qui retentit.
    Et quand j'aurai le don des prophéties, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurai même toute la foi jusqu'à transporter les montagnes,
    Si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien.

    L'amour est patient,
    " Il est plein de bonté.
    L'amour n'est point envieux
    L'amour ne se vante point,
    Il ne s'enfle pas d’orgueil.
    Il ne fait rien de malhonnête,
    Il ne cherche point son intérêt,
    Il ne s'irrite point,
    Il ne soupçonne point le mal.
    Il ne se réjouit point de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité.
    Il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.

    L’amour ne périt jamais.
    Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra.
    Car nous connaissons en partie et nous prophétisons en partie, mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra.
    Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant. Lorsque je suis devenu adulte, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant.
    Aujourd'hui nous voyons au moyen d'un miroir, d'une manière obscure, mais alors nous verrons face à face; aujourd'hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j'ai été connu.
    Maintenant ces trois choses demeures : la foi, l'espérance et l'amour.

    Mais la plus grande de ces choses c'est "l'amour".

    Saint Paul (Epître aux Corinthiens)
     

      


    2 commentaires
  •  

    QUI SERIONS-NOUS SANS NOS BLESSURES ?
     
    Quoi qu'on en dise, il est plus difficile de croire en soi que de croire en Dieu.
    Et peut-on prétendre croire en Dieu,
    sans croire en soi
    - si peu que ce soit !
    - Là est le vrai débat :
    s'accepter, s'aimer humblement et fermement soi-même...
    il est si courant de se mal supporter, voire même de se détester.
     
    Si nous étions des frères...
     
    Nous saurions respecter la difficulté des autres à s'aimer eux-mêmes ;
    nous serions sans dureté et sans arrière-pensée devant des échecs
    qui ont aussi le visage d'un inviolable et douloureux secret.
    Nous saurions respecter davantage distance et différence
    comme les chemins obligés d'une possible rencontre. 
     
    Quant aux désespoirs,
    si souvent pris pour des lâchetés, qu'en savons-nous ?
    Seuls ceux qui y sont passés
    ont le droit d'en parler.
    Et ceux-ci se taisent, car leur soif est sans remède et leur appel sans écho :
    la vie, trop étroite, ne saurait contenir - et encore moins combler l'ampleur d'un désir que rien n'a jamais su tromper.
    Peut-on aimer la Vie
    - aimer tout court-
    sans en être « BLESSÉ »
    Blessures peut-être nécessaires pour pratiquer en nous
    la brèche indispensable
    à une irruption totale de la vie.
     
    Oui, je sais, il faut y croire...
     
    Mais je me dis : même sans croire à une « autre vie »,
    qui serais-je,
    qui serions-nous - en celle-ci –
    sans nos « blessures » ?
     
    Ce sont elles qui nous empêchent de mourir de solitude et d'ennui
    dans le « palais de cristal » des âges atomiques.
    C'est en elles, et en elles seules,
    qu'on ose s'approcher de ceux qui souffrent sans risquer de s'entendre dire :
    « vous ne savez pas ce que c'est »
    Leur braise ardente empêche à jamais que se refroidisse l'amour
    et que d'autres soient condamnés à mourir de froid.
    Elles font que les victimes seront pour toujours plus humaines que leurs bourreaux.
    Et nous ne cesserons plus de nous recevoir d'elles
    « capables de pardon ».
    J'entends, plus certain que tous mes désespoirs,
    le dernier murmure de leur confidence :
    les êtres disgraciés sont ceux qui n'ont jamais souffert.
    Et c'est sous l'empreinte de mes propres blessures que j'ai la ferme assurance
    de pouvoir dire :
    personne n'est jamais un être « fini »
    Car c'est aussi du côté du terme que sont les vrais commencements.
    Paul Baudiquey


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