• L'amour est construction

    L'amour ne peut pas se réduire à la rencontre, car il est une construction. [...] Le point le plus intéressant, au fond, ce n'est pas la question de l'extase des commencements. Il y a bien sûr une extase des commencements, mais un amour, c'est avant tout une construction durable. Disons que l'amour est une aventure obstinée. Le côté aventureux est nécessaire, mais ne l'est pas moins l'obstination. Laisser tomber au premier obstacle, à la première divergence sérieuse, aux premiers ennuis, n'est qu'une défiguration de l'amour. Un amour véritable est celui qui triomphe durablement, parfois durement, des obstacles que l'espace, le monde et le temps lui proposent.

    Alain Badiou, Eloge de l'amour, Ed. Flammarion, 2009

     

    Merci à http://www.bonheurpourtous.com

     


    votre commentaire
  • ON

    On le voit figé comme un monarque : il est ardent comme un berger. 

     

    On le croit initiateur de l'Inquisition : il en est la victime. 

     

    On l'incrimine d'être une bouée de sauvetage : il nous apprend à nager. 

     

    On prétend qu'il est "quelque chose au-dessus de nous" : il est quelqu'un au-dedans de nous. 

     

    On le cherche chez les justes : il loge chez les pécheurs. 

     

    On le cherche dans les chaires de théologie ; il est assis dans l'herbe au banquet des amoureux. 

     

    On le cherche tenant dans la main la foudre et le fléau : il joue une sardane avec un "roseau froissé". 

     

    On le cherche dans un cimetière : il accompagne sur le chemin deux voyageurs égarés. 

     

    On veut le cerner dans le filet des mots : il se pose sur le sourire des enfants. » 

     

    Aiguisons notre écoute pour le recevoir en vérité 

     

    Stan Rougier 


    votre commentaire
  • Je m'efforcerai...

    En toute humilité je m'efforcerai
    D'être aimant, véridique, honnête et pur,
    De ne rien posséder dont je n'aie pas besoin,
    De mériter mon salaire par mon travail,
    D'être perpétuellement vigilant
    Sur ce que je bois et je mange,
    De toujours être intrépide,
    De respecter les autres religions autant que la mienne
    Et de chercher à toujours voir le bien chez mon prochain,
    De suivre fidèlement le svadeshi (*)
    Et d'être un frère pour tous mes frères.

    Mahatma K. Gandhi, Lettres à l'Âshram

    http://www.bonheurpourtous.com/botext/jemefforcerai.html

     

     


    votre commentaire
  • Le phare

    Quand le phare projette sa lumière, il ne mesure pas l'intensité de l'orage, ni ne le juge.

    Avant de faire briller sa lumière, il ne se dit pas à lui-même : « Je dois comprendre où va ma lumière et pourquoi ? »

    Tout ce qu'il sait, c'est qu'il a été construit pour supporter l'obscurité, le vent puissant et les vagues qui se briseront sans fin sur sa structure.

    De plus, il n'a pas peur. Il ne sait pas quand l'orage finira, et quel sera son degré d'intensité. Il ne sait pas pour quelle raison cet orage a été créé.

    Tout ce que le phare sait ou connaît, c'est qu'il est en sécurité et qu'il doit faire briller sa lumière dans l'obscurité, afin d'aider les autres à trouver la sécurité du port.

    Il ne cherche pas à comprendre de quelle façon il est devenu une lumière, mais il sait ce qu'il est et ce qu'il doit faire.

    Il sait également que la lumière qu'il diffuse est attendue par ceux qui sont dans l'obscurité et qui la recherchent.

    L'être humain est pareil à ce phare : il lui suffit d'ouvrir pleinement son cœur pour que rayonne sa lumière intérieure, transformant instantanément l'obscurité alentour en une douce et intense lumière d'Amour...

     

    http://www.lapetitedouceur.org/article-le-phare-57062490.html

     


    2 commentaires
  • Le même fleuve de vie qui court à travers mes veines nuit et jour court à travers le monde et danse en pulsations rythmées. C'est cette même vie qui pousse à travers la  poudre de la terre sa joie en innombrables brins d'herbe, et éclate en fougueuses vagues de feuilles et de fleurs. C'est cette même vie que balancent flux et reflux dans l'océan-berceau de la naissance et de la mort.

    Je sens mes membres glorifiés au toucher de cette vie universelle. Et je m'enorgueillis, car le grand battement de la vie des âges, c'est dans mon sang qu'il danse en ce moment.

     

     

    (Rabindranath Tagore (1861-1941), extrait de L’offrande lyrique)

     

     

    DSCN2262

    votre commentaire
  • L'émouvante et incroyable splendeur de la Terre est notre bien commun le plus précieux, que nul ne peut s'approprier ; car nous ne possédons ni la brise délicate du printemps qui enivre de ses caresses les fins matins d'avril, ni le rougeoiement du Soleil lorsqu'il baisse à l'horizon, ni la face hilare de l'astre des nuits qui tantôt offre sa joue droite, tantôt la gauche, et chichement son visage tout entier, ni la douceur d'un soir d'été rythmé par la stridulation des cigales, embaumé de senteurs d'herbes et d'humus, ni l'odeur chaude et parfumée des fenaisons après la pluie. Ce qu'il y a de beau et de plus précieux en ce monde, qui pourtant est le plus commun et le moins rare, ne nous appartient pas ! Il nous appartient en revanche de le conserver jalousement comme un trésor, comme le patrimoine collectif inviolable de l'humanité. Telle est la mission qui nous est confiée. Nous l'avons héritée de nos parents et des parents de nos parents, et il nous revient de nous en acquitter afin de transmettre à nos enfants et aux enfants de nos enfants notre maison commune, la Terre, en bon état : propre, bien soignée, correctement vêtue.

     

    (Jean-Marie Pelt (né en 1933), président de l'Institut européen d'écologie, extrait de la préface de Paroles de nature)

     

     


    votre commentaire
  • Pour obtenir une famille savoureuse 

     

    Une mesure bien tassée d'amour vrai,

    Beaucoup d'écoute et de compréhension,

    Une bonne dose de disponibilité

    Mélangée à quelques grammes de douceur et de calme.

    Ajoutez un rien de fermeté.

    Cherchez un peu de bonne volonté.

    Assaisonnez avec de la droiture et de la sincérité.

    Afin de conserver le bon goût de la vérité.

    Râpez les désirs égoïstes,

    Les brusqueries et les impatiences.

    Faites fondre votre orgueil et votre suffisance.

    Trouvez dans vos réserves quelques grains de foi inébranlable,

    Une espérance sans conditions,

    Saupoudrez de tendresse.

    Faites revenir à la surface

    Des tranches entières d'accueil et de partage.

    Additionnez de dialogue, menus services,

    Mercis bien placés, don de soi sans retour.

    Laissez mijoter longtemps dans la patience.

    Avant de présenter, flambez dans la joie

    Et, si possible, dans un grand élan de prière.

    Complétez par un petit verre d'humour.

     

    (Guy Gilbert)


    votre commentaire
  • J’AI PUISÉ DANS TES YEUX

     

    J’ai puisé dans tes yeux, ce chant, cette lumière,

    Qui ressemblait un peu au feu de ta prière,

    Au rêve merveilleux des amoureux.

     

    1.- Et les plus belles fleurs,

    Les plus beaux paysages

    Le geste du semeur

    Ne sont plus que mirage,

    ON NE VOIT LE BONHEUR,

    QU’AVEC LE CŒUR.

     

    2.- Et les mots prometteurs,

    Le discours, le langage

    Du livre et du penseur

    Ne sont plus que verbiage,

    ON APPREND LE BONHEUR

    QU’AVEC LE CŒUR.

     

    3.- Et Tes mains de chercheur,

    Les traits de ton visage,

    Ton pas de randonneur

    M’ont tracé le sillage,

    M’ONT OUVERT LE BONHEUR

    DE TOUT TON CŒUR.

     

    Jean-Claude GIANADDA

     


    votre commentaire
  • CAP SUR LA VIE

     

    1.- À coups de cœur,

    Brisons nos peurs,

    Soyons semeurs,

    Du vrai bonheur.

     

    Cap sur la vie,

    Cœurs réunis

    Pleins d’énergie

    Signe d’aujourd’hui.

     

    2.- Pour le chercher,

    Pour l’écouter,

    S’apprivoiser,

    Le rencontrer.

     

    3.- Il faut partir,

    Il faut agir,

    Il faut ouvrir,

    Un avenir.

     

    4.- Un goût de miel,

    Un goût de ciel,

    Vers le soleil,

    Vers l’essentiel.

     

     

     Jean-Claude GIANADDA

     


    votre commentaire
  • ALLUMONS NOS BOUGIES

     

    1.-Au milieu des conflits,

    Des “ Ras-le-bol ”, des mal-être ”,

    Une étoile est à naître,

    Un regard me l’a dit,

    Et ton sourire aussi !

     

    Allumons nos bougies

    Pour éclairer nos rêves,

    Pour oser une trêve

    Et réchauffer la nuit !

    Allumons nos bougies…

     

    2.-Quand il n’y a plus d’espoir,

    Il reste l’Espérance,

    Une flamme en silence,

    Au fond d’un grand trou noir,

    Elle attend le grand soir.

     

    3.-Cette lampe qui luit,

    Pour désarmer l’histoire,

    Un devoir de mémoire,

    Un droit à la survie,

    Un désir d’infini.

     

    4.-Je t’offre ma bougie,

    En signe de confiance,

    Un peu de ma présence,

    Au plus fort de la nuit,

    Garde-la, je t’en prie.

     

    Jean-Claude GIANADDA

     


    votre commentaire
  • « Souvent, au coucher du soleil, des torrents de feu se répandaient dans le ciel; peu à peu ils s'éteignaient et une cendre rouge pleuvait sur la verdure veloutée du jardin. Puis tout s'assombrissait rapidement, s'élargissait, se gonflait, noyé par la nuit chaude.  Rassasiées de soleil, les feuilles s'abaissaient, les herbes s'inclinaient vers la terre. Tout devenait plus doux, plus somptueux ; mille parfums s'exhalaient doucement, caressant comme de la musique; des sons flottaient venus de la campagne lointaine : on sonnait la retraite dans les camps. La nuit tombait et, avec elle, quelque chose de fort, de rafraîchissant comme la tendre caresse  d'une mère, se déversait dans la poitrine; le silence vous effleurait le cœur de sa main chaude et Veloutée et tous les mauvais souvenirs, toute la poussière brûlante et fine de la journée s'effaçaient de la mémoire.» 

    Homme du matin autant que du soir, comment ne dirais-je pas cette respiration, au réveil du jour, du silence où le merle semble puiser les perles liquides qui roulent de sa gorge dans l'air vierge qui a germé sous le voile de la nuit ? Et aussitôt les moineaux commencent à tisser avec leurs petits becs cette tapisserie pépiant où ma prière s'adosse pour écouter la Voix à nulle autre pareille qui dit tout sans paroles 

    Ils ne savent tout ce qu'ils perdent ceux qui ne savent pas écouter le silence ponctué par tous chants de la vie qui s'éveille en répandant sur nous la rosée de sa joie.


     

    (Maurice Zundel extrait de Hymne à la joie)

     


    votre commentaire
  •  

     

    Le Mal existe-t-il

    Un professeur universitaire a défié ses étudiants avec cette question :
    «Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe? »
    Un étudiant a bravement répondu : « Oui, Il l'a fait ! »
    Le professeur a dit : Dieu a tout créé ?
    « Oui, monsieur », a répliqué l'étudiant.

    Le professeur a répondu :
    « Si Dieu a tout créé, Il a donc créé le mal
    puisque le mal existe et selon le principe de nos travaux qui
    définissent ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais.»

    L'étudiant était silencieux devant une telle réponse.
    Le professeur était tout à fait fier de lui-même
    et il se vantait aux étudiants
    qu'il avait prouvé encore une fois que la foi chrétienne était un mythe.

    Alors un autre étudiant a levé sa main et a dit :
    « Puis-je vous poser une question, professeur ?»

    « Bien sûr » , a répondu le professeur.
    L'étudiant a répliqué : « Professeur, le froid existe-t-il ? »

    « Quel genre de question est-ce cela ? Bien sur qu'il existe.
    Vous n'avez jamais eu froid ? » a répliqué le professeur.

    Le jeune homme a répondu : « En fait, monsieur, le froid n'existe pas.
    Selon la loi de physique, ce que nous considérons le froid,
    est en réalité l'absence de chaleur.
    Tout individu ou tout objet est sujet a l'étude
    quand il possède ou transmet de l'énergie.
    La chaleur est produite par un corps ou une matière
    qui transmet de l'énergie.
    Le zéro absolu (-273°C) est l'absence totale de chaleur;
    toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette température.
    Le froid n'existe pas.
    Nous avons créé ce mot pour décrire la façon
    dont nous ressentons que nous n'avons aucune chaleur ».

    L'étudiant continue: « Professeur, l'obscurité existe-t-elle? »
    Le professeur répond : « Bien sûr qu'elle existe ! »
    L'étudiant a répondu : « Vous avez encore tort, monsieur.
    L'obscurité n'existe pas non plus.
    L'obscurité est en réalité l'absence de lumière.
    Nous pouvons étudier la lumière, mais pas l'obscurité.
    En fait, nous pouvons utiliser le prisme de Newton
    pour fragmenter la lumière blanche en plusieurs couleurs
    et étudier les diverses longueurs d'onde de chaque couleur.
    Vous ne pouvez pas mesurer l'obscurité.
    Un simple rayon de lumière fait irruption dans un monde d'obscurité et l'illumine.
    Comment pouvez-vous savoir l'espace qu'occupe l'obscurité?
    Vous mesurez la quantité de lumière présente.
    N'est-ce pas vrai ? L'obscurité est un terme de lumière ».

    Finalement, le jeune homme demande au professeur :
    « Monsieur, le mal existe-t-il ? ».

    Maintenant incertain, le professeur a répondu :
    « Bien sûr comme je l'ai déjà dit.
    Nous le voyons chaque jour.
    C'est dans les exemples quotidiens de l'inhumanité de l'homme envers l'homme.
    C'est dans la multitude des crimes et des violences partout dans le monde.
    Ces manifestations ne sont rien d'autre que le mal ! »

    L'étudiant a répondu :
    « La Mal n'existe pas Monsieur,
    ou au moins il n'existe pas de lui-même.
    Le mal est simplement l'absence de Dieu.
    Il est comme l'obscurité et le froid,
    un mot que l'homme a créé pour décrire l'absence de Dieu.
    Dieu n'a pas créé le Mal.
    Le Mal n'est pas comme la foi, ou l'amour
    qui existe tout comme la lumière et la chaleur.
    Le mal est le résultat de ce qui arrive
    quand l'homme n'a pas l'amour de Dieu dans son coeur.
    Il est comme le froid qui vient
    quand il n'y a aucune chaleur
    ou l'obscurité quand il n'y a aucune lumière ».

    Le professeur s'est assis.
    Le nom du jeune homme: ALBERT EINSTEIN

    Un peu de science éloigne de Dieu, mais beaucoup y ramène


    (Louis Pasteur)

     

    Source: ALBERT EINSTEIN ...www.lespasseurs.com 

     

     


    1 commentaire
  • Aujourd'hui je t'offre la clé du bonheur.

      

    C'est une clé que tu avais peut-être perdue ou oubliée ?

    Quoi qu'il en soit, j'aimerais que tu l'acceptes.

    Je te la donne en toute sincérité, avec tout mon cœur.

     

    Il y a peut-être longtemps

    que tu t'empêches de faire des choses qui feraient ton bonheur.

     

    Tu as peut-être mis de coté cette idée de partir en voyage,

    de prendre un cours quelconque,

    de t'acheter de nouveaux vêtements,

    de changer de voiture, etc. Enfin, de te faire plaisir.

     

    Je sais que plusieurs raisons

    ont pu t'empêcher de passer à l'action

    pour obtenir ou faire ce que tu désires.

    Cela peut être la peur de ne pas être à la hauteur,

    la peur qu'il t'arrive quelque chose de désagréable,

    la peur de manquer d'argent, la peur d'être jugé, etc.

     

    Quelles que soient tes peurs, savais-tu qu'elles existent pour t'aider?

    Les peurs existent pour être dépassées, pour te faire grandir.

     

    A chaque fois que tu te laisse contrôler par une peur,

    tu n'es plus en contact avec ton pouvoir.

    En faisant confiance davantage à la vie (en passant à l'action)

    en te rappelant que tout ce qui t'arrive

    n'est qu'expériences pour apprendre,

    tu deviendras de plus en plus conscient

    que tu as ce grand pouvoir de t'apporter

    tout ce que tu as besoin pour être heureux.

     

    Personne n'est responsable de ton bonheur, sauf toi.

    Commences par de petits bonheurs et dis-toi que tu y as droit.

    Tout le monde doit dépasser ses peurs.

    Réalise qu'au fond, tu n'as rien à perdre

    et que cette expérience te mènera vers de plus grandes réalisations.

     

    Commences dès maintenant en accomplissant des petites actions.

    Tôt ou tard, selon la loi de la manifestation,

    tu atteindras ton but. Sois patient.

    Savais-tu que :

    que tu fasses ce que tu aimes pour ton propre plaisir

    ou que tu fasses ce que tu n'aimes pas par peur de déplaire,

    il y aura toujours quelqu'un qui te critiquera quelque part.

     

    Alors, pourquoi ne pas faire ce que tu aimes dès maintenant?

    Aussi, ne place jamais quelqu'un sur un piédestal.

    Cette personne a le même pouvoir que toi.

    N'envies personne.

    Ce qui la rend heureuse n'est pas nécessairement ce qui te rendrait heureux.

     

    La clé est d'aller chercher toi même ce que toi tu as vraiment envie.

     

    Chaque jour est un jour nouveau.

    Pourquoi ne pas faire de ce jour, celui où tu as commencé à te rendre heureux?

     

    Ouvre tes ailes et dirige-toi vers ce qui te tient à cœur.

    Ceci est la clé du bonheur. Ne la garde pas pour toi.

    Plusieurs personnes que tu connais, aimeraient aussi obtenir cette clé.

    Offre la leur en toute sincérité

    et commences à semer le bonheur autour de toi.

    En la donnant aux autres, il ne faut pas être inquiet,

    il nous en reste une copie.

    Il ne faut pas être égoïste,

    le bonheur, il faut le partager avec les autres.

    Je te souhaite sincèrement tout le bonheur que tu veux!

    Un petit conseil, il faut avoir des désirs réalisables.

    Passe une belle et douce journée.

    Quoique tu rêves d'entreprendre, commences-le.

    L'audace a du génie, du pouvoir, de la magie.

     

    (Inconnu)  offert par mon amie Nini

     

     


    votre commentaire
  •    

    Si vous mettez en terre


    Si vous mettez en terre une semence d’amour et de compréhension,  

    ne perdez pas de temps à la regarder pousser,  

    car vous ne trouverez alors pas suffisamment de temps  

    pour en semer d’autres.  


    Si la graine se met à germer et à besoin d’être arrosée, soyez disponible ;  

    mais attendez qu’on vous fasse signe.  

    Si vous l’arrosez trop, elle risque de se noyer !  

    Ne vous sentez d’ailleurs jamais responsable  

    de la manière dont pousse cette graine.  

    Ce n’est plus de votre ressort.  

    Une fois que vous l’avez plantée,  

    que le soleil et l’eau lui ont donné vie,  

    son développement ne vous appartient plus.  


    N’oubliez pas que ce n’est pas vous qui lui avez donné vie ;  

    vous n’avez été qu’un simple outil.  

    Semez donc avec amour et désintéressement,  

    en laissant la vie suivre son cours.  

     

    A. Harvey  

     

     (http://sesouvenirdesbelleschoses.over-blog.com/) 

     

    Si vous mettez en terre


     


    votre commentaire
  • Se laisser couler doucement 

      

    Se laisser couler doucement dans le courant de la vie
    comme l'eau d'une rivière pour rejoindre et se fondre dans l'océan
    sans s'accrocher aux roches et à ce qui semble des obstacles
    et qui se trouvent sur notre passage... 

    C'est vivre le moment présent, naître à chaque seconde
    et respirer la joie de la synchronicité de tous les éléments !!!
    Hier et demain n'existent pas... Ils ne sont que pensées !!! 

    La lourdeur de nos pensées et de notre besoin d'avoir raison
    ou tort est une nappe de mélasse
    qui recouvre la fenêtre de la lumière et de la joie d'être, 

    de l'Être !!! 

    Que mon cerveau dorme quelques instants et que mon coeur m'éveille... 

    Que je sente le courant qui me traverse et
    qui traverse tout ce qui est, et cela toujours dans l'instant ! 

    Que je sache la grandeur qui m'habite,
    que par mille prouesses je tente de camoufler pour pouvoir dire que j'existe,
    que j'ai une personnalité !
    Personne alitée.. 

    Que je sache que je ne suis personne en réalité puisque je suis tout ! 

    Source: France Légaré, St-Faustin, 6 mars 2003...www.lespasseurs.com 

     


    votre commentaire
  • CONNAIS TON DÉSIR 

     

    Viens, viens 

    Ne meurs pas de soif 

    Au bord des Eaux vives. 

    Creuse  en la terre de ton cœur 

    Le lieu de ta soif, 

    Creuse et creuse encore, 

    Fore profond, 

    Fore profond,

     

    Ne t’arrête pas aux scories, 

    À l’épaisseur du non-désir, 

    Ne cède pas au désenchantement, 

    Aux impatiences de la route. 

     

    Imprime à ta vie un rythme de silence. 

    C’est au-dedans qu’il faut aller, 

    N’entends-tu pas bruire les eaux 

    De ton baptême ? 

    Déjà elles sont grosses 

    Et montent pour irriguer tes rives. 

    Ne sens-tu pas venir cette crue de printemps 

    Qui te fera ruisselant de fraîcheur ? 

     

    Ranime ton âme, ô vivant, 

    Pour qu’elle n’entre pas dans la tombe. 

    Parle à ton cœur 

    Et dis-lui : viens. 

     

    Sœur Myriam (revue Prier avril 2010) 


    votre commentaire
  • Accroche-toi


    Accroche-toi à tes rêves,  
    Sans jamais les abandonner. 
     Montre aux autres ta vraie nature,
    Car je la connais bien :
    Tu es un être formidable.
    Reconnais ta chance et accorde ta confiance à ceux qui t'entourent.
    Fais un vœu à la bonne étoile qui illumine ton ciel!

    Prends un problème à la fois et résous-le.
    Nourris-toi de toute ta force intérieure.
    Libère cet esprit que tu tentes parfois d'étouffer.
    Reste proche des êtres qui te couvent d'amour.
    Adopte un regard positif,
    Et ne laisse pas l'adversité prendre le dessus.
    Reste toi-même car tu possèdes ces qualités uniques
    Qui t'ont permis de devenir la personne que tu es aujourd'hui,
    Et qui toujours te guideront.
    Garde le moral.
    Fais chanter ton cœur et respire la joie !

    (Auteur inconnu)

     

     trouvé sur le blog de mon amie Kryshttp://sesouvenirdesbelleschoses.over-blog.com/


    votre commentaire
  • Écoute!

     

    Ferme les yeux et imagine.
    Si un jour la terre faisait silence
    Et que toutes les portes et fenêtres s'ouvraient,
    et que tu entendes tous ceux qui rient.

    Que serait cette musique?
    Imagine des gens heureux, enfin pour un soir...
    Des enfants que l'on chatouille et qui rient de bon coeur,
    Des jeunes qui jouent, des gens à des shows comiques,
    Enfin tous les gens qui ont du plaisir. Et ils rient, ils rient.
    Pourrais-tu supporter cette musique étrange?
    Tu rirais à l'unisson, tu rirais jusqu'à t'étrangler
    Et cette musique te ferait mal car tu te crois si triste.
    Tu ne savais pas qu'il y avait tant de joie sur la terre!
    Et dans un souffle tu crierais:
    Assez! Je n'en peux plus!

    Si un jour la terre faisait silence
    Et que toutes les portes et fenêtres s'ouvraient,
    et que tu entendes tous ceux qui pleurent.

    Que serait cette musique?
    Des enfants abandonnés qui pleurent à fendre l'âme.
    Des jeunes qui ne voient pas d'avenir et qui pensent au suicide.
    Des femmes battues qui n'ont que leurs pleurs pour refuge.
    Des hommes qui ont tout perdu!
    Emploi, foyer et qui noient leurs larmes dans l'alcool.
    Dis! Que serait cette musique?
    Ce serait un déchirement de tout ton être,
    une envie furieuse de fuir, de te cacher
    et tu pleurerais toi aussi, tu pleurerais sur leurs souffrances.
    Et cette musique te ferait mal, toi qui te crois si malheureux (se)
    Tu ne savais pas qu'il y avait tant de souffrance sur la terre!
    Et entre deux sanglots, tu crierais:
    " Assez! Je n'en peux plus! "

    Si un jour la terre faisait silence
    Et que toutes les portes et fenêtres s'ouvraient,
    et que tu entendes tous ceux qui parlent de toi.

    Que serait cette musique?
    Hé oui, des gens qui parlent de toi
    En bien ou en mal, ça n'a pas d'importance,
    Ils parlent de toi, écoute, écoute-les bien
    Tes parents, tes amis(es), tes collègues de travail,
    des centaines de personnes, ils parlent tous de toi!
    Que serait cette musique?
    Tu serais figé(e), troublé(e), tu écoutes et tu n'en reviens pas!
    Et cette musique te ferait mal,
    toi qui te crois seul(e) et abandonné(e) de tous!
    Tu n'avais pas conscience que tu intéressais tant de gens.
    En bien ou en mal, on parle de toi!
    Cette musique est insupportable et dans un souffle, tu crierais:
    " Assez! Je n'en peux plus! "

    Heureusement que la terre n'est pas silencieuse.
    Allez... maintenant, remets tout en place.
    Referme les fenêtres et les portes
    et redonne à la terre son bourdonnement!

    Continue de vivre avec tes joies, tes peines, ta solitude.
    Et si un jour, tu te crois triste, seul(e) ou abandonné(e),
    et que vraiment tu n'en peux plus! Fais taire la terre... et...

    ÉCOUTE!

     

    Source: Gwen ...www.lespasseurs.com 

     

     


    votre commentaire
  • C'est quoi l'Espoir ?

     


    La petite lumière vacillante au fond du tunnel de nos âmes quand il y fait noir, tout noir.

    Edmond Rostand, nous donne un conseil fulgurant : "C’est la nuit qu’il est beau de croire à la lumière !". Dans la guerre, dans le deuil, dans la souffrance, dans la solitude et la tristesse, c’est parce que l’on sait garder espoir que l’on réussit à sortir du trou.

    C’est parce que des hommes, des femmes, des enfants ne perdent pas espoir dans leurs heures les plus noires que l’humanité évolue, comme guidée par ce flambeau invisible qui est au fond de nos cœurs.

    Seulement l’espoir est comme une plante, il se cultive, il a besoin de soins : c’est la petite fleur sur son astre désert qu’arrose sans cesse le Petit Prince afin qu’elle vive et qu’elle soit un témoin d’amour. Par l’attention qu’on porte aux choses, aux êtres, aux situations et à soi-même, l’évolution se féconde, le progrès germe graduellement et la création finit par refleurir.

    Mais l’espoir d’une vie meilleure ne suffit pas : il faut forger cette existence qu’on souhaite et cesser de la rêver ; il faut se former soi-même.

    Garder espoir, c’est toujours faire un pas de plus, quelle que soit la détresse, quel que soit l’obstacle. L’espoir c’est aussi la confiance que l’on a dans la vie.

    La puissance de cet espoir intérieur transforme les imperfections en énergie positive. On s’aperçoit alors qu’en cela espoir rime bien avec voir et... se voir.

    Enfin l’espérance se partage : il est des trésors en chaque être, il faut savoir les découvrir. Car avoir l’espoir c’est aussi savoir sourire.
    (Marc de Smedt)

     

     

    Trouvé sur le site de mon ami Krys avec milles mercis

    http://sesouvenirdesbelleschoses.over-blog.com/

     


    votre commentaire
  • Seigneur, pourquoi m’avez-vous dit d’aimer tous mes frères les hommes ?

    J’ai essayé, mais vers vous je reviens effrayé…

     

    Seigneur, j’étais si tranquille chez moi, je m’étais organisé, je m’étais installé.

    Seul, j’étais d’accord avec moi-même, à l’abri du vent, de la pluie, de la boue…

    Je serai resté pur, enfermé dans ma tour.

     

    Mais vous m’avez forcé à entrouvrir la porte.

    Comme une rafale de pluie en pleine face, le cri des hommes m’a réveillé.

    Comme une bourrasque, une amitié m’a ébranlé.

    Et j’ai laissé une porte entr’ouverte…

     

    Les premiers sont entrés chez moi, Seigneur ; il y avait tout de même un peu de place en mon cœur. Jusque-là c’était raisonnable.

    Mais les suivants, Seigneur, les autres hommes, je ne les avais pas vus derrière les autres.

    Ils étaient nombreux, ils étaient misérables ; ils m’ont envahi sans crier gare, il a fallu faire de la place chez moi.

    Plus ils poussent la porte et plus la porte s’ouvre.

    Ah Seigneur, je suis perdu, je ne suis plus à moi.

    Il n’y a plus de place pour moi chez moi.

    « Ne crains rien, dit Dieu, tu as tout gagné. Car tandis que ces hommes entraient chez toi, Moi, ton Père, moi, ton Dieu, je me suis glissé parmi eux. »

     

    Michel Quoist

    Prière


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique