• Toi qui...

    Toi qui ne me vois pas,
    je suis là. 

    Toi qui a du mépris pour moi,
    je suis semblable à toi. 

    Toi qui me considère inférieur,
    connais-tu mon coeur ? 

    Toi qui pense que l'apparence extérieure est le reflet de l'âme,
    tu te trompes car souvent l'infâme agit en faussaire, avec grande douceur. 

    Toi qui me crois stupide, inhabile parce que je parle peu, par pudeur
    sache qu'il vaut mieux rester muet et paraître imbécile
    que de parler et de prouver que l'on est imbécile et bêcheur ! 

    Toi qui...


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  • L'amour change tout

    Le devoir sans amour nous rend acharné
    La responsabilité sans amour nous rend impitoyable
    La justice sans amour nous rend dur
    La vérité sans amour nous rend critique
    L'intelligence sans amour nous rend rusé
    La gentillesse sans amour nous rend hypocrite
    L'ordre sans amour donne un esprit étroit
    L'honneur sans amour nous rend orgueilleux
    La possession sans amour nous rend avare
    La foi sans amour nous rend fanatique
    La vie sans amour est sans valeur

    Anonyme

    chat 11

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  • Il est temps

    Il est temps de faire la paix.
    Autour de soi et sans délai.
    Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
    Ils sont au seuil de votre coeur.

    J'écoute quelquefois le soir
    Des nouvelles à la télévision.
    On y voit haine et désespoir,
    Détruire notre monde sans raison.

    On nous annonce au fil des jours
                  Que femmes et enfants sont agressés
    Et qu'aussi certains vautours,
    Vont jusqu
    à tuer pour dominer

    On a beau se parler d'amour,
    De partager son amitié.
    Qu'aussitôt dans le détour,
    La rose sort ses épines acérées.

    Pourquoi sommes-nous si violents ?
    Pourquoi sommes-nous insouciants ?
    Pourquoi sommes-nous si impatients ?
    Pourquoi sommes-nous intolérants ?

    Il est temps de faire la paix.
    Autour de soi et sans délai.
    Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur,
    Ils sont au seuil de votre coeur.

    Roger Kemp

    scan277

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  •  

    Mon fardeau

    Je n'arrive pas à trouver de place en ce bas monde
    Le fardeau que je traîne est bien encombrant
    j'ai trop mal à mes cicatrices, elles sont vraiment trop profondes
    je me demande pourquoi ci, pourquoi ça, c'est comment ?

    Pourquoi moi et pas les autres, pourquoi les autres et pas moi
    J'ai du mal à m'accepter alors je me révolte, verve furibonde
    un mot contrariant et j'agresse sans réfléchir, quel désarroi
    je ne sais que faire, je n'aime pas ma vie, elle est nauséabonde

    Pourquoi toujours chercher à plaire pour pouvoir exister
    Pourquoi ne pas croire que l'on peut m'aimer sans conditions
    J'ai beau dire que je m'en fous de ce que les autres peuvent penser
    En vérité j'attends toujours en secret des approbations

    Si je prends quelques instants de réflexion
    je m'aperçois que la vie est comme un lycée technique
    seule différence, on a la pratique suivie d'une leçon
    au lieu d'une leçon suivie d'une pratique

    Si je prends encore quelques instants pour réfléchir
    je me rends compte que nous sommes tous égaux
    seulement nous portons un masque pour ne pas trahir
    l'être fragile que nous sommes et qui croit que l'autre est costaud

    Avec mes pourquoi et comment, je réfléchis davantage
    Et me dit que nul n'a son BEP, apprentis nous sommes encore
    que je devrais être indulgent avec mon voisin, s'il n'est pas un sage
    que l'on peut tomber puis se relever, c'est notre leçon de sport

    C'est pas carnaval, laissons tomber nos déguisements
    soyons nous mêmes, arrêtons les faux-semblants
    commençons par dire que l'on s'aime, que l'on s'aime vraiment
    que nous méritons l'amour que nous avons gagné en naissant

    Marie M.@(*_-)@ --- > pour LAURA

     

    scan286

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  • Être et non paraître

    Être et non Paraître...
    savoir rester humble face à l'immensité de l'univers
    que l'on est infiniment petits il faut le reconnaître
    qu'il y a toujours plus grand que nous sur cette terre

    Aux riches bien vêtus on fait des courbettes
    Aux pauvres en haillons on fait des grimaces
    peut-être que l'âme du pauvre est bien plus honnête
    que celle de ce seigneur de la haute classe

    L'habit ne fait pas le moine, dit l'adage
    on ferait bien d'y prendre de la graine
    Ce n'est pas le plus beau qui est le plus sage
    la vraie grandeur est dans l'âme humaine

    scan327

     


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  • Si la note disait:
    "Ce n'est pas une note qui fait une musique" ...
    il n'y aurait pas de symphonie !

    Si le mot disait:
    "Ce n'est pas un mot qui peut faire une page" ...
    il n'y aurait pas de livre !

    Si la pierre disait:
    "Ce n'est pas une pierre qui peut monter un mur" ...
    il n'y aurait pas de maison !

    Si la goutte d'eau disait:
    "Ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière" ...
    il n'y aurait pas d'océan !

    Si le grain de blé disait:
    "Ce n'est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ" ...
    il n'y aurait pas de moisson !

    Si l' homme disait:
    "Ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité" ...
    il n'y aurait jamais de justice et de paix, de dignité et de bonheur
    sur la terre des hommes !

    Comme la symphonie a besoin de chaque note,
    Comme le livre a besoin de chaque mot,
    Comme la maison a besoin de chaque pierre,
    Comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau,
    Comme la moisson a besoin de chaque grain de blé,

    L'humanité toute entière a besoin de TOI,
    Là où tu es, UNIQUE

    (Michel Quoist 1921 - 1996)

    DSC_5775

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  • Vivre

    Je suis mort

    Parce que

    je n’ai  pas de désir.

     

    Je n'ai pas de désir

    parce que

    je crois posséder.

     

    Je crois posséder

    parce que

    je n'essaie pas de donner.

     

    Essayant de donner,

    on voit qu'on a rien.

    Voyant qu'on a rien,

    on essaie de se donner.

     

    Essayant de se donner,

    on voit qu'on est rien.

    Voyant qu'on est rien,

    on désire devenir.

    Désirant devenir, on vit. 

    IMG_20140721_150415

     


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  • Une vie remplie

     

    La terre d'argile

    Est employée pour tourner, pour façonner le vase,

    Mais c'est de son vide que dépend son usage.

     

    Des murs élevés et cimentés, un toit

    Ont fait la maison, la chambre,

    Mais c'est leur vide qui permet de les habiter.

     

    La fenêtre est forte et solide

    Pour empêcher le froid d'entrer,

    Mais c'est le vide du verre

    Qui permet à la lumière d'éclairer.

     

    Des bois fins, secs et choisis

    Ont participé à la construction du violon, du violoncelle

    Mais c'est leur vide qui permet à la musique

    De résonner, de s'envoler

    Entre soupirs, pauses et silences.

     

    Cherche au fond de toi

    Les espaces de vide,

    Les espaces de silence,

    Les espaces d'envie

    Qui te permettront de remplir ta vie. 

     

    IMG_20140721_150415

     


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  • La jeunesse

     

    La jeunesse n'est pas une période de la vie,

    Elle est un état d'esprit,

    Un effet de la volonté,

    Une qualité de l'imagination,

    Une intensité émotive,

    Une victoire du courage sur la timidité,

    Du goût de l'aventure sur l'amour du confort.

     

    On ne devient pas vieux

    Pour avoir vécu un certain nombre d'années.

    On devient vieux

    Parce qu'on a déserte son idéal.

    Les années rident la peau,

    Renoncer à son idéal ride l'âme.

    Les préoccupations, les doutes,

    Les craintes et les désespoirs

    Sont les ennemis qui, lentement,

    Nous font pencher vers la terre

    Et devenir poussière avant la mort.

     

    Jeune est celui qui s'étonne et s'émerveille.

    Il demande, comme l’enfant insatiable : et après ? 

    Il défie les événements

    Et trouve de la joie au jeu de la vie.

     

    Vous êtes aussi jeune que votre foi.

    Vous êtes aussi vieux que votre doute.

    Aussi jeune que votre confiance en vous-même.

    Aussi vieux que votre abattement,

    Vous resterez jeune

    Tant que vous resterez réceptif aux messages

    De la nature,

    De l’homme. 

    Et de l’infini. 

     

     

    Un jour,

    Votre coeur allait être mordu 

    Par le pessimisme

    Et  rongé par le cynisme puisse Dieu avoir pitié

    De votre âme de vieillard.

    DSC_9994

     


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  • Depuis que je t’ai rencontré

     

    Écoute, mon Dieu!

    Ils m'ont dit que tu n'existais pas

    et comme un sot. je l'ai cru.

    L'autre soir, du fond d'un trou d'obus, j'ai vu ton ciel...

    Du même coup, j'ai vu qu'ils m'avaient dit un mensonge.

    Si j'avais pris le temps de regarder

    les choses que tu as faites,

    j'aurais bien vu que ces gens

    refusaient d'appeler un chat un chat.

    Je me demande, Dieu, si tu consentirais

    A me serrer la main...

    Et pourtant, je sens que tu vas comprendre.

    C'est curieux qu'il m’ait fallu venir à cette place infernale

    avant de pouvoir contempler ton visage.

    Je t'aime terriblement, et ça, je veux que tu le saches.

    Il va y avoir un horrible combat.

    Qui sait ?

    Il se peut que j'arrive près de toi dès ce soir même.,,

    Nous n'avons pas été des camarades jusqu'à ce jour

    et je me demande, si tu m'attendras à la porte.

    Tiens ! voilà que je pleure..

    Moi, verser des larmes !

    Ah ! si je t'avais connu plus tôt...

    Allons, il me faut partir!

    C'est drôle, depuis que je t'ai rencontré,

    je n'ai plus peur de mourir.

     

    sam_0154

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  • De passage

     

    Un vieil homme sage,

    Très vénéré par ceux qui l'approchaient

    Et par ceux qui l'écoutaient, vivait très simplement

    Dans une maison des plus rudimentaires.

    Un certain jour, il reçut la visite

    D’un homme très riche de la ville voisine.

    Celui-ci fut très étonné de voir le sage logé

    Dans une pièce meublée seulement

    D’un tapis, d'une table basse et d'une paillasse.

    L’homme riche s'exclama :

    Mais où sont vos meubles !

    L’homme sage répondit :

    Mais où sont les vôtres ?

    Voyons, maître... je suis en visite...

    Je suis simplement de passage !

    Moi aussi, voyez-vous !

    Répondit le vieil homme en souriant.

    De passage


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  • Chanter les couleurs de la terre

     

    Je viens pour te chanter

    les couleurs de la terre.

    Soleils rouges.

    Boutons d'or.

    Hommes de paix.

    Rivières d'argent.

    Enfants heureux

    au bout d'un champ.

    Lilas du printemps.

    Vertes prairies,

    marais, bruyères.

    Chemin de craies.

    Papillons citrons.

    Hommes tendres.

    Hommes de mystères.

    Bleu profond

    du fond des mers.

    Un clin d'œil

    et valsez les saisons !

    Trois petits tours

    et puis s'en vont ! 

    Chanter les couleurs de la terre


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  •  

    Avancer tout doucement

    Avancer tout doucement

     

    Avancer

    tout doux, tout doux, tout doucement

    et compter lentement sur le bout de ses doigts

    sans crier, sans parler, sans murmurer...

     

    Un!

    S'approcher du papillon,

    du tout petit oiseau

    que la moindre brise l'ait trembler.

     

    Deux !

    Délacer ses chaussures,

    Les enlever sans le moindre bruit.

    Ce serait dommage de les voir s'envoler.

     

    Trois!

    S'arrêter.

    Reculer.

    Déjà bien trop près, ils sont inquiets.

     

    Quatre !

    S'asseoir sur la mousse, ne pas les effrayer.

     

    Cinq!

    S'en aller et revenir demain,

    pour s'approcher un peu plus près.

     


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  • J'appartiens

    J'appartiens

     

    J’appartiens

    aux tourbillons des vents,

    aux souffles des grands larges.

     

    J'appartiens

    aux rayons du soleil,

    aux lueurs des étoiles.

     

    J'appartiens

    aux raideurs des rochers,

    à l'infini du sable.

     

    J'appartiens

    aux flammes du couchant,

    aux bleus froids des glaciers.

     

    J'appartiens

    aux profondeurs marines,

    au vertige des pics.

     

    J'appartiens

    à la chaleur des flammes,

    aux givres des hivers.

     

    J'appartiens

    à la puissance du ciel,

     

    à l'espérance humaine.


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  • La connaissance

     

    Ce qu'on sait le mieux

    c'est d'abord, ce que l'on a deviné

    par la seule intuition. ,

     

    C'est ensuite, ce que l'on a appris

    par l'expérience

    des hommes

    et des choses.

     

    Puis,

    ce que l'on a appris,

    non dans les livres,

    mais par les livres :

    c'est-à-dire par les réflexions

    qu'ils font naître en nous.

     

    C'est enfin,

    ce que l'on a appris

    dans les livres

     

    ou avec des maîtres.

    DSC_7757

     


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  • LA VIE ET PLUS ENCORE

     

    Mon Dieu,

    Tu m’as donné avec la vie,

    Le goût d’entendre et d’écouter,

    Le goût des mots et des histoires,

    Le gout de regarder,

    Le goût de la lumière et des couleurs,

    Le goût de dire et de chanter

    Le goût d’écrire.

     

    Tu permets chaque jour à mes oreilles

    De se pencher vers chaque son qui passe,

    Vers chaque chant d’oiseau,

    Vers chaque souffle du vent,

    Vers chaque cri des hommes.

     

    Tu permets chaque jour,

    A ma bouche et à ma voix

    De chanter les merveilles du monde,

    Tes merveilles,

    De se casser, de se tordre et de s’érailler

    Pour crier les douleurs et les désespérances.

    fleur403

     


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  •  

    A CONTRE TEMPS

     

    Violette,

    Colchiques …

    Un petit morceau de temps

    Volé au jour,

    A la pendule,

    Entre deux sonneries de cloches,

    Au printemps ou à l’automne.

    Arrêter, le vent qui courait d’arbre en arbre,

    De feuille en feuille,

    D’herbe en herbe.

    Arrêter, l’eau de la source

    Et celle de la fontaine.

    Figés les rayons du soleil

    Entre les nuages.

    Silence en dehors,

    Même pour les oiseaux,

    Même pour les abeilles.

    Silence en dedans,

    Même pour mes pensées.

    Tout arrêter.

    Voler deux, trois secondes.

    Plonger dans lunivers

    Pour un petit moment.

    A contre temps.

     

    (Inconnu)

    </o:p>

    <o:p> </o:p>

    sam_0135

     


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  •  

    DIS LA VIE !

     

    Dis, la vie !

    Il est grand temps de te réveiller.

    Dis, la vie !

    Il est grand temps de te lever.

    Ne vois-tu pas que craque un petit peu partout ?

    Ne vois-tu pas que les hommes deviennent fous ?

    Même le vent narrive plus à souffler normalement.

    Et tous ces enfants qui nont même plus le temps dêtre des enfants.

    Dépêche-toi, jai du mal à respirer !

    Dépêche-toi je commence à étouffer !

    Dépêche-toi, dépêche-toi !

    On a tout mis sens dessus dessous.

    On a fait nimporte quoi, nimporte où.

    Même le ciel ne nous donne plus le même soleil.

    Même lamour a bien du mal à nous parler damour.

    Quand lenvers se retrouve à lendroit,

    On ne sait plus très bien où lon va.

    Si ça continue,

    Même mes yeux auront du mal à plonger dans tes yeux.

    Et mes mots auront du mal à être des mots.

    Dis, la vie !

    Il est grand temps de te réveiller.

    Dis, la vie !

    Il est grand temps de te lever.

    (ce "poème" est une paraphrase d'une chansons de Jean Humenry.)

    Merci a Mimi pour l'info

     

    maison chacra.jpg

     


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  • PETITES BEATITUDES

     

    Heureux ceux qui savent rire d’eux-mêmes :

    Ils n’ont pas fini de s’amuser.

    Heureux ceux qui savent distinguer une montagne d’une taupinière :

    Il leur sera épargné bien des tracas.

    Heureux  ceux qui sont capables de se reposer, et de dormir sans chercher d’excuses :

    Ils deviendront sages.

    Heureux ceux qui savent se taire et écouter :

    Ils en apprendront des choses nouvelles !

    Heureux ceux qui sont assez intelligents pour ne pas se prendre au sérieux :

    Ils seront appréciés de leur entourage.

    Heureux êtes-vous si vous savez regarder sérieusement les petites choses et paisiblement les choses sérieuses :

    Vous irez loin dans la vie.

    Heureux êtes-vous si vous savez admirer un sourire et oublier une grimace :

    Votre route sera ensoleillée.

    Heureux êtes-vous si vous savez vous taire et sourire même lorsqu’on vous coupe la parole, lorsqu’on vous contredit ou qu’on vous marche sur les pieds :

    L’Evangile commence à pénétrer votre cœur.

    Heureux surtout vous qui savez reconnaître le Seigneur en tous ceux que vous rencontrerez :

    Vous avez trouvé la vraie lumière,

    Vous avez trouvé la véritable sagesse.

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  •  

    Seigneur,

    Pardonne si je te dérange, mais je viens de penser que tu pouvais avoir besoin d’un nouveau saint à tes côtés pour te louer.

    Je suis venu te proposer de prendre cette place ; je pense que je pourrais très bien faire l’affaire.

    Quoi qu’on pense, quoi qu’on dise,

    Le monde déborde de gens parfaits.

    Ceux qui t’offrent tant de sacrifices en les notant d’une petite croix sur un carnet.

    Ceux qui se corrigent d’un défaut par semaine et qui atteignent  la perfection au bout de quelques mois.

    Ceux qui toute leur vie ne pensent qu’à faire le bien et qui cherchent la souffrance pour te montrer qu’ils sont courageux.

     

    Moi, tu sais que j’ai horreur des sacrifices ; tout ce que je sais faire, c’est de corriger au mieux mon sale caractère.

    Alors j’aime autant garder mes défauts ne m’en servant le moins possible.

    D’ailleurs je pense que ceux qui sont parfaits ont tellement de qualités qu’ils n’ont plus de place dans leur cœur.

    Je doute qu’ils parviennent un jour à être des saints et je ne suis même pas sûr qu’ils le souhaitent, de peur de porter atteinte à leur humilité.

    Un saint, C’est un vase vide que tu remplis de ta grâce.

    Si tu ne veux pas de moi comme vase, prend moi comme cruche.

    Le jour où tu descendras dans ta cave pour y puiser le vin de ton amour, souviens-toi que, quelque part sur la terre une cruche est à ta disposition.

     

    IMG_20141002_145217

     


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