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    Le bonheur de l'innocence : histoire vraie.

     

    Comme ils se préparent à dîner dans un restaurant, un petit garçon de six ans demande à sa maman s'il peut prier le Seigneur et offrir les grâces.

    Comme ils penchent leurs têtes, il dit : " Dieu est bon. Dieu est grand. Merci pour le manger, ... et je te remercierais même plus si maman commandait de la crème glacée pour dessert. Et liberté et justice pour tous ! Amen ! "

    À travers les rires des autres clients, Kim perçoit la remarque d'une dame : " C'est ce qui n'est pas correct dans ce pays. Les enfants aujourd'hui ne savent pas comment prier. Demander à Dieu de la crème glacée ! Pourquoi, je me le demande ! "

    Kim fond en larmes, et demande à sa mère : " Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal ? Est-ce que Dieu est choqué après moi ? " Pendant que la maman le prend contre elle et le rassure, elle lui dit qu'il a fait une prière fantastique et que Dieu n'est certainement pas choqué contre lui.

    Un monsieur plus âgé s'approche alors de leur table, fait un clin d'œil au petit garçon et lui dit : - Je crois savoir que Dieu pense que ce fut une très belle prière.

    - Réellement ? demande Kim.

    - Croix sur mon cœur, reprend le monsieur. Et dans un murmure il ajoute (indiquant la dame qui était intervenue) : - C'est malheureux qu'elle n'aie jamais demandé à Dieu de la crème glacée. Car un peu de crème glacée est bon pour l'âme quelquefois.

    Naturellement, à la fin du repas, la maman commanda de la crème glacée pour son petit garçon.

    Mais ce qui arriva ensuite fut une complète surprise.

    " Mon fils réfléchit un moment et il fit quelque chose dont je me souviendrai le reste de ma vie " explique la maman. " Il prit son sundae et sans un mot, marcha vers la dame et le plaça devant elle.

    Avec un grand sourire, il lui dit " : - Ceci est pour vous. La crème glacée est bonne pour l'âme quelquefois, et mon âme à moi est déjà bonne. 


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    LE JOUR OU JE ME SUIS AIME POUR VRAI - CHARLY CHAPLIN

     

     Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances, J'étais à la bonne place, au bon moment.
    Et, alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui je sais que ça s'appelle...
    Estime de soi.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n'était rien d'autre qu'un signal quand je vais contre mes convictions.
    Aujourd'hui je sais que ça s'appelle...
    Authenticité.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive, contribue à ma croissance personnelle.
    Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle...
    Maturité.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d'obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment...
    Aujourd'hui je sais que ça s'appelle...
    Respect.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire ... Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l'égoïsme.
    Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle...
    Amour Propre.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grand plans, j'ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime, quand ça me plait et à mon rythme.
    Aujourd'hui je sais que ça s'appelle
    Simplicité.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
    Aujourd'hui j'ai découvert l'...
    Humilité.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
    Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.
    Et ça s'appelle...
    Plénitude.

    Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux.
    Tout ceci est....
    SAVOIR VIVRE !

    “ Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter...<


    ...Du chaos naissent les étoiles.

    (offert par MT http://sunyat.free.fr/web_acappella

     


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  • L’histoire de Kyle.

    Un jour, durant mes premières années de secondaire, j’ai aperçu un gars de ma classe qui retournait à la maison après l’école. Il s’appelait Kyle. On aurait dit qu’il transportait tous ses livres et son matériel scolaire ! Je me suis dit :
    « Pourquoi quelqu’un apporterait-il tous ses livres un vendredi soir ? Il doit vraiment être un intello ! »

    De mon côté, j’avais tout un week-end de planifié : sorties et parties de football avec mes amis. Comme je passais près de Kyle, un groupe de jeunes a commencé à se moquer de lui. Ils l’ont pincé, ont fait tomber ses livres et l’ont même poussé dans la boue. Quand il est tombé, ses lunettes ont atterri quelques pieds plus loin, dans le gazon. Kyle a levé la tête et j’ai vu combien il était triste et désorienté. J’ai vraiment ressenti un élan de pitié pour lui.

    Alors, j’ai couru jusqu’à lui et j’ai ramassé ses lunettes. Lorsqu’il a levé la tête vers moi, j’ai vu quelques larmes dans ses yeux.
    « Ces gars-là étaient vraiment des imbéciles », lui ai-je dit.

    Il m’a regardé et m’a remercié. Il avait un énorme sourire dans lequel on pouvait voir toute la gratitude du monde ! En l’aidant à ramasser ses livres, je lui ai demandé où il habitait. J’ai été surpris de voir qu’il habitait tout près de chez moi. Il m’a alors expliqué qu’il allait auparavant dans une école privée. Je ne pensais jamais un jour être copain avec un petit « bourgeois ». Nous avons parlé tout au long du chemin. Il s’est révélé être un très bon gars. Je lui ai alors demandé s’il voulait venir jouer au football avec mes copains et moi le lendemain. Il s’est empressé d’accepter.

    Nous avons donc passé le week-end ensemble et, plus le temps avançait, plus je me rendais compte que Kyle était vraiment quelqu’un de bien. D’ailleurs, mes amis aussi pensaient la même chose.

    Le lundi matin, j’ai encore aperçu Kyle qui retournait à l’école avec sa pile de livres. Je l’ai rejoinds encore une fois et lui ai dit :
    « Waw ! Tu finiras par avoir des muscles d’acier à trimbaler tes livres comme ça !!! »

    Il a bien ri et m’a passé la moitié de ses livres. Durant les années qui ont suivi, nous sommes devenus les meilleurs copains du monde. Kyle était vraiment un élève intelligent, il voulait faire médecine tandis que moi, j’allais finalement à l’université grâce à une bourse ! Je l’agaçais tout le temps en lui disant qu’il n’était qu’un « intello » !

    Pour notre graduation, Kyle devait préparer un discours. J’étais bien content que ce ne soit pas moi ! Kyle était devenu un jeune homme bien dans sa peau, qui plaisait beaucoup aux filles. D’ailleurs, il faisait beaucoup plus de conquêtes que moi !

    La journée de la graduation, je voyais bien que Kyle était nerveux. Pour le rassurer, je lui ai donné une bonne tape dans la dos en lui disant :
    « Ne t’inquiète pas, tu vas être génial ! »

    Il m’a encore regardé avec un regard plein de gratitude, et m’a remercié. Lorsqu’il est arrivé devant le micro, il s’est éclairci la gorge et a commencé son discours :
    « Une graduation, c’est le moment idéal pour remercier tous ceux qui nous ont aidé durant toutes nos années du secondaire. Nos parents, nos professeurs, nos entraîneurs … mais surtout nos amis. Je suis ici pour vous dire qu’être l’ami de quelqu’un, c’est le plus beau cadeau qu’on peut lui donner. Je vais vous raconter une histoire … »

    J’étais vraiment très surpris lorsqu’il a commencé à raconter notre première rencontre. Mais j’ai été encore plus estomaqué lorsqu’il a raconté que cette fameuse fin de semaine-là, il avait prévu de se suicider. C’est pourquoi il avait rapporté tous ses livres : pour que sa mère ne soit pas obligée de faire le ménage de son casier. Il m’a regardé et m’a fait un sourire :
    « Heureusement, j’ai été sauvé. Mon ami m’a empêché de commettre l’irréparable. »

    J’ai entendu le silence provoqué par son discours dans la salle : le discours d’un jeune homme distingué, beau, intelligent et populaire. Je me suis retourné et j’ai vu ses parents qui m’ont souri avec le même regard plein de gratitude que Kyle avait eu à mon égard. Je n’avais jamais réalisé à quel point cette journée avait été bienfaitrice pour lui. 

     

    Ne sous-estimez jamais le pouvoir de vos actions. Avec un simple petit geste, on peut changer la vie d’une personne … pour le meilleur ou pour le pire. Nous avons tous un impact dans la vie de tous les gens que nous rencontrons. 

    Les amis sont des anges qui nous remettent sur nos pieds quand nos ailes ne savent plus comment voler.

     


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  • " Cherchez et vous trouverez " !

    Un brahmane très pieux, tous les jours à son réveil, prenait son bain rituel et partait aussitôt vers le temple, son panier d'offrandes à la main. Il allait assister à la prière du matin. De même le midi et le soir, il retournait au temple. Ainsi, trois fois par jour, il rendait un culte à Dieu. Avec ferveur il priait : " Seigneur, je viens te rendre visite chez toi, sans que j'aie manqué un seul jour. Matin et soir, je te fais des offrandes. Ne peux-tu pas venir chez moi ? " Attentif à cette prière quotidienne, Dieu lui répondit enfin : " Demain, je viendrai. "

    Tout heureux il se met à laver à grande eau sa maison. Il fait tracer devant le seuil des dessins en pâte de riz. À l'aube, il attache une guirlande de feuilles de manguier à l'entrée de sa maison. Dans la salle de réception, des plateaux de fruits, de galettes sucrées et de fleurs s'étalent à profusion. Tout est prêt pour recevoir Dieu. Il se tient debout pour l'accueillir.
    L'heure de la prière matinale approche. Un petit garçon qui passe par là aperçoit, par la fenêtre ouverte, les plateaux de galettes. Il s'approche : " Grand-père, tu as beaucoup de galettes, là-dedans, ne peux-tu m'en donner une ? " Furieux de l'audace du gamin, il réplique : " Veux-tu filer, moucheron. Comment oses-tu demander ce qui est préparé pour Dieu ? " Et le petit garçon effrayé s'enfuit.
    La cloche du temple a sonné. La prière est terminée. " Dieu viendra après le culte de midi, attendons-le. " Fatigué, il s'assoit sur le banc. Un mendiant arrive et lui demande l'aumône. Le brahmane le chasse vertement. Puis il lave soigneusement la place souillée par les pieds du mendiant. .. Et midi passe . . . Dieu n'est toujours pas au rendez-vous.

    Le soir vient. Tout triste, il attend toujours la visite promise. Un pèlerin se présente à l'heure de la prière. " Permettez-moi de me reposer sur le banc et d'y dormir cette nuit... " " Jamais de la vie ! C'est le siège réservé à Dieu ! " La nuit est tombée. Dieu n'a pas tenu sa promesse, pense-t-il tout triste.
    Le lendemain, revenu au temple pour la prière, il renouvelle ses offrandes et fond en larmes : " Seigneur, tu n'es pas venu chez moi comme tu me l'avais promis ! Pourquoi ? " Une voix lui dit alors : " Je suis venu trois fois et chaque fois tu m'as chassé. "


    Légende indienne.

     

    arbres réduiyd

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  • CITATIONS SUR LE CŒUR

     

    « Il y a un atome humain qui est le critère de tout acte, de toute pensée, de tout art, de toute science, de toute relation, de tout langage, etc. c'est un mot qui en dit plus que Amour, c'est cœur. Et c'est la clef de l'Univers. » (André Bouguenec)

    « Pour mettre de l’ordre dans le monde, nous devons d’abord mettre de l’ordre dans la nation ; pour mettre de l’ordre dans la nation, nous devons mettre de l’ordre dans la famille ; pour mettre de l’ordre dans la famille, nous devons cultiver notre vie personnelle ; et pour cultiver notre vie personnelle, nous devons d’abord réparer nos cœurs ». (Confucius)

     

     « L'amour, c'est l'espace et le temps rendus sensibles au cœur. »

    (Marcel Proust)

     

    « Mieux vaut y mettre tout son cœur et ne pas trouver les mots pour le dire, que trouver les mots pour le dire et ne pas y mettre tout son cœur »

    (Gandhi)

     

    « Ce n'est ni la puissance du monde ni son affliction qui viendront à bout de sa démence, mais seulement la communions des cœurs ».

    (Sri Chinmoy)

     

    « Tout comme une mère protègerait son unique enfant au péril de sa propre vie, cultive un cœur sans limite envers tous les êtres. Laisse tes pensées d'amour illimité se répandre dans le monde entier. »

    (Bouddha)

     

     « La joie fait venir le bonheur, le mécontentement et l'insatisfaction le font fuir. Un cœur joyeux permet de créer autour de soi toujours plus de lumière et de renouveau. »

    (Matsumoto Jitsudo)

     

    « Notre cœur peut devenir fort à l'endroit de la cassure ».

    (Jack Kornfield)

     

    « Ce n'est pas l'esprit qui fait les opinions, c'est le cœur. »

    (Montesquieu)

     

    « La connaissance seule ne suffit pas ; elle n'a pas de cœur. »

    (Dan Millman)

     

    « Le cœur perçoit ce que l'œil ne voit pas. »

    (Al-Gazal)

     

    « L'oreille est le chemin du cœur ».

    (Voltaire)

     

    « Nos blessures sont nos plus grandes richesses :
    elles maintiennent ouvert le chemin du cœur. »

    (Pierre Lévy)

     

    « L'esprit cherche et c'est le cœur qui trouve » (George Sand)

     

    « C'est dans la rosée des petites choses que le cœur trouve son matin et se rafraîchit »

    (Khalil Gibran)

     

    « Pourquoi, mon cœur, erres-tu en vain ?
    Repose-toi donc quelque part.
    Ce qui doit arriver arrive.
    Ne songe pas à ce qui fut ni à ce qui sera :
    Réjouis-toi des joies qui viennent et passent sans que tu ne t'y attendes. » 

    (Bhartrhari)

     

    « L'apparence n'est rien ; c'est au fond du cœur qu'est la plaie »

    (Euripide)

     


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