• Il n’y pas de plus grand amour

     

    EXTRAIT DU LIVRE DE MÈRE THÉRÉSA

    Il n’y pas de plus grand amour

    Petite Biographie de Mère Theresa

    Née dans l’Europe balkanique en 1910, décédée à Caculta, au cœur du continent indien en 1997, Agnès Gonxha Bojaxhiu, plus connue sous on nom de moniale, Mère Theresa, aura incarné la figure de la charité chrétienne au cours du XXe siècle par son travail incessant auprès des déshérités. Une œuvre  qui lui aura valu l’estime de l’opinion mondiale, de nombreuses distinctions internationales, dont le prix Nobel de la Paix, ainsi qu’une vraie familiarité avec les grands de ce monde, papes, présidents ou rois. Mère Theresa n’en continua pas moins cependant à accomplir, au sein de son ordre, les tâches les plus ordinaires dans le droit fil de son insistance sur la nécessité de redécouvrir l’humilité. Femme à l’immense notoriété et popularité, elle restera avant tout comme la fondatrice d’un ordre, Les Missionnaires de la Charité, qui compte aujourd’hui plus de 4000 frères et Sœurs, répartis en 107maisons.

     

    C’est dans le silence du cœur que Dieu parle. Si tu te places face à Dieu dans le silence et la prière, Dieu te parlera. Et ut sauras alors que tu n’es rien. Ce n’est que lorsque tu connais ton néant, ta vacuité que Dieu peut te remplir de Lui-même. Les âmes des grands orateurs sont des âmes de grand silence

    « Que chacun soit aimable pour l’autre : vaut mieux commettre des fautes avec gentillesse que de réaliser des miracles sans gentillesse. »

    Ce dont nous avons besoin est d’aimer sans nous épuiser. Comment une lampe brûle-t-elle ? Par consomption perpétuelle d’infimes gouttes d’huile. Et que sont ces gouttes d’huile dans nos propres lampes ? Ce sont les petites choses de la vie quotidienne : la fidélité, un mot de gentillesse, une pensée pour les autres, notre façon de demeurer silencieux, de regarder, de parler, d’agir. Ne cherche pas Jésus loin de toi. Il n’est pas là au dehors ; il est en toi. Garde ta lampe allumée, et tu le reconnaîtras.

    Tâchons de comprendre combien est tendre l’amour de Dieu. Car Lui-même dit dans l’écriture : « Même si une mère pouvait oublier son enfant, je ne t’oublierais pas. Je t’ai gravé sur la paume de ma main. » Quand tu te sens seul, quand tu te sens rejeté, quand tu te sens malade et oublié, souviens-toi que tu Lui es précieux. Il t’aime. Montre à ton tour cet amour pour les autres, car c’est là tout ce que Jésus est venu nous enseigner.

    Il est facile d’aimer ceux qui sont à l’autre bout du monde. Il n’est pas toujours facile d’aimer ceux qui vivent près de nous. Il est plus facile d’offrir un plat de riz pour calmer l’affamé, que de consoler, en recevant chez soi, le malheureux ou l’exclu.

    Sois toujours fidèle dans les petites choses, car en elles réside notre force. Pour Dieu rien n’est petit. Ne recherche pas des actions spectaculaires. Nous devons délibérément renoncer à tout désir de contempler le fruit de notre labeur, et accomplir seulement ce que nous pouvons, du mieux que nous le pouvons, et laisser le reste entre les mains de Dieu. Ce qui importe c’est le don de toi-même, le degré d’amour que tu mets dans chacune de tes actions. Ne t’autorise pas le découragement face à un échec, dès lors que tu as fais de ton mieux. Refuse aussi la gloire lorsque tu réussis. Rétrocède tout à Dieu avec la plus profonde gratitude.

    Pour chaque maladie, il existe un nombre infini de médicaments et de traitements. Mais tant qu’une main douce prompte à servir, un cœur généreux prompt à chérir ne s’offrent pas, je ne crois pas que l’on puisse jamais guérir de cette terrible affection qu’est le manque d’amour.

    Soyons sincère dans nos relations les uns avec les autres. Ayons le courage l’un et l’autre de nous accepter comme nous sommes. Ne soyons pas étonnés, soucieux de nos échecs respectifs ; voyons plutôt le bien qui est en chacun de nous, trouvons-le car chacun de nous a été créer à l’image de Dieu. N’oublions pas que nous ne sommes pas encore des Saints mais que nous nous efforçons de le devenir. Soyons donc extrêmement  patients quand à nos fautes et à nos chutes. Ne te sers de ta langue que pour le bien des autres, car de l’abondance du cœur parle la bouche. Il nous faut avoir avant de pouvoir donner. Ceux dont la mission est de donner, doivent d’abord grandir dans la connaissance de Dieu.

    Il est si simple de parler ou de se préoccuper des pauvres qui sont loin. Il est plus difficile, et peut être moins raisonnable, de prêter attention et de se soucier du pauvre qui vit à deux pas de chez nous.

    Le riz, le pain que je donne à l’affamé ramassé dans la rue, apaiseront sa faim. Mais celui qui vit dans l’horreur d’avoir été banni par la société, combiens difficile il sera de combler son manque

    Il y a quelques semaines de cela, je suis tombée nez à nez sur une enfant dans la rue. Je pouvais lire sa faim sur son visage, mais je ne pouvais deviner depuis combiens de jours elle n’avait pas mangé. Je lui donnai alors un morceau de pain qu’elle commença à grignoter en en détachant miette après miette. «Mange ! Allez mange ! Tu as faim », lui dis-je. Et la petite, levant ses yeux sur moi, me répondit : « J’ai peur. Quand le pain sera fini, j’aurais encore faim »..

    Ce que pauvreté signifie ? Tout d’abord avoir faim de pain, être dans le besoin d’un vêtement, ne pas avoir de maison. Mais par-delà ? Il est encore une plus grande forme de pauvreté, celle d’être rejeté, négligé, de n’avoir personne que tu peux qualifier de tien.

    Les pauvres n’ont pas besoin de notre compassion ou de notre pitié ; ils ont besoin de notre aide. Ce qu’ils nous donnent dépassent ce que nous leur donnons.

    J’ai une conviction que j’entends partager avec toi. L’amour commence dans chaque foyer. Et chacun devrait s’assurer qu’un profond amour familial anime sa maisonnée. Ce n’est que lorsque l’amour familial anime sa maison que nous pouvons le partager avec nos voisins. Alors il émanera de lui-même et tu seras à même de dire à d’autres : « Oui l’amour est ici. » Et ainsi pourras-tu le partager avec quiconque alentour

    Je considère que le monde d’aujourd’hui est sens dessus-dessous, et qu’on y voit tant de souffrance parce qu’il y a peu d’amour dans chaque foyer. Nous ne consacrons pas de temps à nos enfants. Nous ne consacrons pas de temps l’un à l’autre. Il n’y a pas une minute pour que tous se réjouissent d’être ensemble. C’est ce manque d’amour qui provoque le sentiment de malheur qui domine le monde.

    Un enfant représente le plus grand des dons que Dieu puisse faire à une famille, car un enfant est le fruit de l amour entre ses parents.

    Il n’y pas de plus grand amour


  • Commentaires

    1
    acorriger
    Dimanche 16 Novembre 2014 à 22:32
    Bonjour, Je viens de commencer à lire votre biographie sur mère thérésa et je viens de voir une belle erreur. Merci de la corriger : 1997 et non 1977 pour le décès de la soeur, car sinon cela lui enlève 20 ans de bienfaits dans sa vie sur terre. Merci
      • renal Profil de renal
        Lundi 17 Novembre 2014 à 09:18
        Bonjour accoriger. Merci pour la remarque, c'est corriger !!! merci de votre visite.
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