Extraits du livre

« La vérité sort toujours de la bouche des enfants.. »

De François Garagnon

Vue du Ciel (le paradis et les choses de là-haut)

 

« Quand Jésus-Marie-Joseph, c’étaient tous des bébés, comment le monde tournait ?  Et quand Dieu (tu sais le créateur de l’univers), il était tout bébé, comment ça pouvait se passer ? »

 

« Il y en a qui font juste que Louer Dieu,

Mais il y e a qui veulent être carrément propriétaires ! »

« Papa, quand on va au ciel, on arrive tout nus, ou bien on a le droit d’apporter quelques vêtements ?

Et quand on arrive là-haut, est-ce que c’est Jésus personnellement qui nous accueille, ou bien c’est les anges et tous les saints ? »

« Ça doit pas être un métier facile, d’être bon Dieu. Parce que le diable, pour tout chambouler, il est sacrément malin. »

« Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir,

Mais si tu viens chez moi ce soir, je veux bien te donner mon éclair au chocolat !! »

« Dieu, c’est pas grave si tu le laisses tomber :

Il est incassable ! »

« L’âme, c’est notre reflet dans le ciel. »

« Jésus, il est vraiment ressuscité, ou bien il a encore les clous ? »

« Je crois que si je rencontrais Dieu les yeux dans les yeux, je tomberais dans les pommes ! »

« Pourquoi Jésus, il fait tout le temps des mystères et qu’il ne les dit pas ? »

« Jésus, ça lui est jamais venu à l’idée de se marier ?

Il avait peur d’avoir des enfants désobéissants,

Hein, c’est ça ? »

« Seigneur on est comme des brebis égarées, alors s’il te plaît aide maman à trouver une place de parking tout de suite, sinon je vais être en retard à mon cours de solfège… ».

 

Tenez vous au courant des derniers articles parus en me suivant sur Facebook  

Cliquez ici

 

 BONJOUR

 Quand plusieurs routes s’offriront à toi et que tu ne sauras pas laquelle choisir, n’en prends pas une au hasard, mais assieds-toi et attends, respire profondément avec confiance, sans te laisser distraire par rien, attends encore et encore, ne bouge pas, tais-toi et écoute ton cœur, puis quand il te parle, lève toi et va où il te porte (Susana Tamaro)

 

Martinique,  aout 2018

 

Martinique aout 2018

 

« Être philosophe, ce n’est pas seulement avoir des pensées subtiles, ni même fonder une école, c’est aimer la sagesse à tel point que l’on vit selon ses exigences : une vie de simplicité, d’indépendance, de générosité, de confiance. C’est résoudre quelques-uns des problèmes de la vie, non seulement en théorie, mais aussi en pratique.(Thoreau)

 

« Rien ne doit troubler le rythme de ton pas. Si ton pas est sûr, qu’elle que soit la nature du sol, ta progression sera irrésistible. La chose est vraie dans toute action. De même dans toute pensée ; si tu sais dompter tes émotions et unifier tes tendances contraires pour les ramener au juste sentiment, la souffrance et la joie se rejoindront dans l’imperturbable sérénité ».

(François Garagnon)

 

 

Herbier de souvenirs

 

Entre dans les poèmes,

Lis doucement,

Accueille les phrases

Et les mots.

 

Furtivement,

Avec ton crayon,

Copie tes mots préférés.

 

Choisis celui que tu aimes,

Ecris ce que tu ressens

Et à ton tour, deviens poète.

 

Écris tes impressions,

Tes émotions,

Compose ton poème.

 

Rolande Causse 

 

Merci à tous, de vos passages, de vos commentaires, de votre présence. Vous êtes  nombreux à venir chercher un peu de douceur, de paix, et d’amour dans cet espace créé pour  vous.

Alors encore merci,

 

 

Février

Les petits matins froids du mois de février
Se lèvent dans des tons de rouge orangé,
Et les nuages lentement s'étirent,
Laissant au soleil le temps de se vêtir.
De sa douce chaleur, il fait fondre la glace
Que la nuit dépose comme une carapace,
Sur une nature, encore engourdie
Qui ne demande qu'à reprendre vie.
Février à mauvaise réputation.
A la lecture des vieux dictons
On le dit, froid, pluvieux, venteux
Et pourtant il est bien besogneux
Puisqu'il prépare le Printemps
Tirant la nature de son engourdissement
Un petit peu plus, chaque jour
Sans rien attendre en retour
Que de mourir, pour laisser sa place
A ce coquin de mois de Mars.
Mardi-gras et la chandeleur
Amènent à ce petit mois travailleur
Un air de fête, apprécié des petits
Qui le couvrent des couleurs des confettis.

Dominique Sagne