21 Mars 2012
Pas sot à ce point
Nasreddine Hodja se rendit au moulin pour faire moudre son blé. Mais son sac n’était qu’à moitié plein. Pendant que le meunier avait le dos tourné, il prit du grain dans les sacs des autres et remplit le sien.
Le meunier sourit et Nasreddine Hodja s’en fut.
(Corse Porto)