16 Mars 2012
Le souffle du vent
Nasreddine Hodja n’avait plus rien à manger. En passant près d’un champ, il vit de belles aubergines, à la peau noire et luisante, qui mûrissaient au soleil. Il n’hésita pas. Il pénétra dans le champ et en ramassa quelques unes qu’il mit dans son sac. Survint le propriétaire.
levé et m’a poussé à l’intérieur.
où je pouvais.