• « On pourrait définir le poète comme celui qui réussit le lien entre le monde visible et le monde invisible, entre la réalité et l'imaginaire, entre l'infiniment petit et l'infiniment grand. Car le monde peut être découvert dans l'un de ses fragments, l'univers se refléter dans une goutte de rosée, l'instant résumer l'éternité, et le sourire de l'être aimé rassembler toute la tendresse du monde. Dès que cette conscience nous effleure, tout prend une importance capitale, puisque chaque menu détail est le reflet du grand Tout ! Alors, nous découvrons, comme la plus précieuse des palpitations, la conscience savourante de vivre... « On n'a que le bonheur qu'on peut comprendre » affirmait Maeterlinck. Tentons de comprendre ces motifs tout simples de bonheur, à commencer par le simple bonheur d'exister ! »

     

     

    « Les parents et les éducateurs le savent bien : mieux vaut convaincre que vaincre, mieux vaut proposer qu'imposer, mieux vaut s'attarder à réconcilier qu'à sanctionner. Ces règles simples constituent des atouts considérables dans le jeu des relations humaines. Nous devrions toujours nous efforcer de transformer nos relations en chemins d'alliance et non en rapports de force. La douceur, bien sûr, ne doit pas consister en une mollesse de comportement, ou à une permissivité un peu couarde : elle doit être bâtie sur l'exigence. Car l'exigence fait partie de l'amour, tout autant que la douceur. Le Christ lui-même a convié à être « prudents comme des serpents et doux comme des colombes ». Et un homme de paix comme Gandhi soutenait avec conviction que « par la douceur, on peut ébranler le monde »... En ces temps où sont tant malmenées les notions de paix, d'unité, de lien communautaire, de solidarité, maintenons ferme cette conviction que la vérité triomphera toujours sur le mensonge, que la lumière l'emportera sur les ténèbres, et que les liens de la paix finiront toujours par être restaurés et renforcés face aux pires menaces. »

     

    « Le bonheur est toujours affaire de perception personnelle. On pourra tenter de convaincre un être que toutes les conditions sont réunies pour qu'il soit heureux, cela ne sera pas suffisant pour qu'il le soit effectivement. C'est pourquoi, il n'est pas faux de remarquer qu'il est des tempéraments heureux (ceux qui se contentent de peu, ou qui sont en joie pour un rien) et des tempéraments ténébreux chez qui même des événements providentiels auront du mal à déclencher la petite musique du bonheur ou de la sérénité. Le bonheur est un don que personne ne peut nous offrir ; c'est à nous de le cultiver comme la plus précieuse des fleurs de notre jardin intérieur, avec la patience et le soin d'un jardinier qui connaît l'importance du rythme et des saisons. »

    (François Garagnon)


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  • « Comment saurait-on être heureux quand il y a tant de malheurs dans le monde ? Voilà bien la coupable logique qui hante nos consciences culpabilisées. Souscrire à cette logique revient à ajouter un peu plus aux malheurs du monde. On le voit : la bonne conscience a peu de choses à voir avec la vraie conscience, de même que la bonne volonté a peu de rapport avec la vraie volonté... On n'aide pas des malheureux en étant malheureux avec eux, mais en leur apportant de la joie. Celui qui est dans une affliction profonde le sait bien : ce qu'il recherche, c'est moins la compassion que le mot qui lui rendra espoir, le geste qui lui redonnera confiance, le sourire qui fera renaître de la lumière dans sa nuit. Aussi bien gagnerions-nous à entretenir comme la plus fructueuse des sagesses, ce que les Anciens appelaient l'équanimité — cette égalité d'âme grâce à laquelle nous sommes portés à ne jamais nous départir de cette confiance tranquille et de cette joie profonde qui reposent sur la conviction que tout a un sens, même les souffrances, même les épreuves. »

     

    « Dans toutes les circonstances de la vie où il nous est demandé un choix majeur, il est moins important de connaître le but que de se mettre en mouvement. C'est ce que voulait signifier Saint-Exupéry lorsqu'il disait : « Je tracerai mon sillon sans d'abord comprendre. Simplement, j'irai... » Toute notre faiblesse vient de notre besoin d'obtenir des garanties avant de nous engager, de vouloir savoir avant d'entreprendre, de nous assurer de recevoir avant de donner. Alors même que l'engagement, le sentiment de mission, et le don doivent naître non pas d'une preuve, mais d'une intime conviction, qui repose à la fois sur un élan intérieur et sur un risque. Nous sommes grands lorsque nous consentons à troquer nos sages vêtements de gestionnaire contre le tissu rustique du pionnier. Oui, lorsque nous sommes capables de remplacer le savant calcul par l'élan, et la prudence par l'enthousiasme ! »

     

    « Pourquoi nous acharner sur ce qui cloche dans le monde ou autour de nous-mêmes ? Insister sur ce qui ne va pas, c'est donner la vedette à toute forme de contrariétés ! Souligner la faute, c'est lui donner l'occasion de distiller son poison une seconde fois. Au contraire, cherchons l'antidote ! Et pour ce faire, persévérons dans la confiance, redoublons d'optimisme, soyons des acharnés de la solution possible quand tous les autres affirment que cela ne marchera pas, que l'on a tout essayé. Apprenons à interdire de séjour dans notre esprit toutes ces inclinations malheureuses qui tendraient à considérer que les mauvaises choses sont de l’ordre de la fatalité, et les bonnes de l'ordre du miracle. À toute blessure existe un baume souverain, à tout problème une solution satisfaisante, à toute faute une chance de salut, à toute erreur une vérité réparatrice. »

    (François Garagnon)


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  • « Le théâtre de notre vie est fréquenté par des couples étranges, très unis malgré leurs différences : la joie et la souffrance, la crainte et l'espérance, le bien et le mal...

    Certaines circonstances nous permettent de mieux saisir le sens de leur paradoxal attachement mutuel : si les abîmes du mal n'existaient pas, l'homme déploierait-il la même vigueur pour conquérir les sommets du bien ? Si la crainte ne tempérait pas l'espérance, n'aurait-on pas la fâcheuse tendance à dégrader cette dernière en la transformant en suffisance ? Et comment pourrait-on apprécier la pleine saveur de la joie, si la tristesse ou la souffrance ne nous en faisaient pas sentir le désir, l'attente, la réalité précieuse, fragmentaire et tellement fragile ? Le sourire né des pleurs, la joie au-delà de la souffrance, c'est l'Himalaya de nos joies sur terre, la plus haute altitude accessible à nos sentiments, l'air le plus pur que nous puissions respirer. Parce qu'il s'agit d'une joie conquise, d'une joie de conversion, d'une trouée de lumière perçue dans les ténèbres profondes et qui annonce une nouvelle clarté dans notre vie. »

    « Et même si nous ne le percevons pas toujours, il y a toujours de la beauté derrière l’apparence des choses. Au soir de notre vie, dit Saint Jean de la Croix, nous serons jugés sur l’amour. Est-ce que l’amour sinon cet élan insistant à ne voir que de la beauté, dans les personnes, les évènements, le monde, la vie-même malgré son apparente dureté ? »

    « Nous avons tendance à considérer que la joie dépend des circonstances extérieures, alors qu'elle est d'abord une inclination du dedans. En doutez-vous ? Comment expliquez-vous alors que ceux dont on dit qu'ils ont "tout pour être heureux" le soient si peu ? Et que pour recueillir les sourires d'enfants les plus radieux, il faille se rendre dans les lieux les plus misérables de la planète, comme à Calcutta dans ce bidonville paradoxalement surnommé « la Cité de la Joie » ? D'où vient que la joie jaillit avec une telle pureté du cœur des miséreux, comme la rosé qui ne saurait mieux s'épanouir que dans le fumier ? La joie ? Tu peux aller la chercher au bout du monde, en des lieux réputés paradisiaques, mais si tu ne la possèdes pas déjà en toi, tu ne la trouveras pas. »


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  • « Rien ni personne ne peut vous apporter

    la paix, le bonheur, la sérénité,

    à part vous-même. »)

    (Emerson)

    « Voilà bien une idée tragique et magnifique : tout ce qui peut nous apporter la paix du cœur transite par notre for intérieur. Les événements favorables ou chargés de promesses peuvent bien sûr y contribuer, mais c'est d'abord dans nos ressources intérieures que nous devons puiser pour parvenir à cet équilibre de l'âme, du corps et de l'esprit. Aucune circonstance, aucune rencontre, aussi positive soit-elle, n'est en mesure de vous plonger dans un ravissement durable si votre cœur est rongé par l'anxiété, la tristesse, la résignation. C'est la qualité du regard que nous portons sur la vie, sur les autres, sur le monde qui peuvent nous conduire à découvrir la beauté de toutes choses, y compris dans des circonstances sombres, difficiles, périlleuses. À nous de nous comporter, par le travail du cœur, en ardents bâtisseurs ou en talentueux restaurateurs... »

     

    « Nous passons beaucoup de moments dans notre vie  à gémir sur le temps présent, à nous plaindre de l'injustice ou de l'incertitude du sort, à critiquer le monde qui nous entoure, à nous alarmer de signes indubitables et fâcheux. Nous appelons cela lucidité, devoir de conscience, sens des responsabilités, esprit critique. Pourtant, ces nobles appellations masquent mal le défaut de notre cuirasse : nous ne grandirons jamais en optant pour le camp des "enténébreurs". L'homme qui possède la richesse du dedans appartient au camp des "réenchanteurs" : il fait prospérer sa vie en semant la joie dans la vie des autres. »

     

    « Le monde appartient aux optimistes.

    Les pessimistes ne sont que des

    Spectateurs. » François Guizot

     

    Le pessimiste assombrit le monde de ses funestes prédictions, en considérant que si le pire n'est jamais sûr, il est en tout cas probable aussi sort-il toujours avec le parapluie de la méfiance, y compris lorsqu'il fait beau. À force d'être sur sa réserve, le pessimiste laisse le monde se faire sans lui : il préfère même s'en faire oublier. L'optimiste, lui, a une vision lumineuse du monde, dont il a décidé de déceler les promesses plus que les menaces, en préférant s'attarder sur l'ouverture des possibles que sur le blocage des situations ou le verrouillage des individualismes. Le pessimisme est repli résigné, l'optimisme est confiance engagée et parfois conquérante. C'est assurément de la douce folie qui berce le cœur des optimistes, mais se priver de cette folie-là, ne serait ce pas péché capital, honteuse capitulation sur le champ de batailles de l'espérance ? Oui, sans cette douce folie, ne serions-nous pas guettés par le racornissement de l'âme ou une déperdition de notre énergie vitale qui nous amèneraient à renoncer à faire de nos rêves des réalités ?

    (François Garagnon)

     

     http://raf-photos.blogspot.com/search/label/Arbres 


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  • «Aimer est assurément la meilleure manière de comprendre. Tant il est vrai que l'on ne comprend véritablement que ce que l'on a appris à aimer. Ainsi de la vie : il s'agit moins de chercher à la comprendre que de chercher à l'aimer. De manière inconditionnelle. C'est ainsi que nous finirons par trouver un sens à toutes choses et à découvrir que toutes les choses sont reliées entre elles, les joies comme les peines, les faveurs comme les disgrâces. Rilke avait ces propos un peu énigmatiques et très véridiques : « Efforcez-vous d’aimer vos questions pour elles-mêmes. Peut-être finirez-vous, insensiblement, par entrer un jour dans les réponses »..

     

    « Le sentiment de la justesse d'un acte se traduit par la paix du cœur qui s'installe en nous. Ce que nous accomplissons dans la contrariété, dans le non-acquiescement, dans la réticence, fait que, même si le résultat est atteint, nous passons à côté de l'essentiel. Nous ne devons pas nous contenter de viser une efficience, nous devons chercher la joie du travail accompli avec cœur. « À quoi bon aller sur la lune si nous sommes incapables de franchir l'abîme qui nous sépare de nous-mêmes ? Voilà le plus important de tous les voyages d'exploration et, sans lui, tous les autres sont non seulement vains mais cause de désastre » (Thomas Merton) »

     

    « Nous nous méfions assez souvent du silence, qui peut être gênant, pesant, source de quiproquos, de malentendus ou d'interprétations déformées. Et naturellement, nous remplissons beaucoup l'espace de nos mots. Au risque d'abîmer le silence, qui reste l'espace de prédilection des révélations intérieures et des approfondissements intimes. Maurice Zundel allait jusqu'à dire que "tout ce qui est grand et créateur est formé par le silence". Nous devrions nous familiariser avec le langage du silence, le langage au-delà des mots. Il ne faut pas gâcher le silence avec de menues paroles. Car bien au-delà de la communication se trouve la communion... Comme l'affirmait saint Cyprien : « Dieu n'écoute pas notre voix, mais notre cœur »...

     (François Garagnon)

     


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  • « Dans un monde où règne la loi du donner et du prendre, la gratuité paraît obsolète, impossible, si ce n'est suspecte. Or, les lois du cœur prennent à peu près l'exact contre-pied de la logique marchande : on s'enrichit à force de se donner, on découvre en soi des gisements de richesse inexplorés à mesure que l'on en fait offrande autour de soi, et l'on finit par s'apercevoir que les seules choses qui comptent... sont précisément celles qui ne se comptent pas. Tant il est vrai que les choses du cœur sont proprement inqualifiables. On découvre aussi cette vérité paradoxale : c'est qu'il faut s'oublier soi-même pour être pleinement soi. Il est étrange que ces lois du cœur, nous les croyions adaptés à la seule sphère privée : si nous osions les mettre en œuvre dans le monde (dans la rue, au travail), nous serions étonnés de leur étrange pouvoir de conversion... Essayez donc, pour voir !

     

    « S'il nous était donné de choisir, nous ne serions pas franchement enclins à opter pour les difficultés, les épreuves et les échecs. Et cependant, ce n'est pas sur une mer d'huile que l'art du navigateur se déploie. Il est même à craindre que notre expérience, si elle est sans histoire, nous laisse tout à fait désemparé quand vient l'heure de l'adversité... « La plus lâche de toutes les tentations est celle du découragement » avertissait François de Sales. Jamais un être ne se prépare de plus grand bonheur que lorsqu'il aborde avec équanimité les grandes épreuves que lui réserve l'existence. »

     

    « Dans notre devoir de conscience, nous n'avons guère le choix qu'entre deux alternatives : lutter pour ou lutter contre. Ainsi, face à quelque situation qui nous révolte, nous avons le choix entre combattre cette situation de manière frontale, ou créer les conditions d'évincer cette situation en faisant prospérer une situation alternative. C'est l'éternel combat de l'ombre et de la lumière. L'ombre est indissociablement liée à la lumière. Le mal est indissociablement lié au bien. C'est François de Sales qui soutenait que la ligne de démarcation entre le bien et le mal se trouve... à l'intérieur de chacun d'entre nous ! Ainsi donc, la seule manière de faire refluer l'ombre, c'est de faire prospérer la lumière, de la propager, de l'étendre. C'est ainsi qu'elle peut gagner, peu à peu, sur les ténèbres. Sans pour autant espérer que cette victoire soit définitive...

    (François Garagnon)

     


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  • « On ne perd jamais son temps à mettre de la joie dans sa manière de vivre, d’agir et s’ouvrir au monde. Comme l’a dit fort justement un humoriste, mieux vaut être un imbécile heureux qu’un imbécile malheureux !.

     

    « Je propose comme règle de bonheur :
    - Toujours se contenter de ce que l'on a
    - Ne jamais se contenter de ce que l'on est.
    Ce qui est une manière d'allier le désir de bonheur et le devoir de conscience. »

     

    « Si nous peinons à trouver l'harmonie dans le rythme trépidant de la vie moderne, c'est que nous sommes distraits par le bruit, l'agitation et le mouvement permanent. Ces soubresauts d'activisme peinent à faire sens, car qui sait ? L’agitation a tendance à nous éloigner de nous-mêmes, le mouvement à nous détourner de la saine quiétude et le bruit de cette nécessité intérieure qu'est le repos conjugué du corps et de l'esprit. Rejoignons cet espace de vacuité où nous demeurons accessibles aux strates supérieures de la vie. Œuvrons pour apaiser toutes choses en nous, et recueillir ce silence qui est nectar pour le cœur, quand le bruit finit par s'immiscer comme un poison et par gagner tout notre être. »

    (François Garagnon)

     


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  • « Dans un monde où règne la loi du donner et du prendre, la gratuité paraît obsolète, impossible, si ce n'est suspecte. Or, les lois du cœur prennent à peu près l'exact contre-pied de la logique marchande : on s'enrichit à force de se donner, on découvre en soi des gisements de richesse inexplorés à mesure que l'on en fait offrande autour de soi, et l'on finit par s'apercevoir que les seules choses qui comptent... sont précisément celles qui ne se comptent pas. Tant il est vrai que les choses du cœur sont proprement inqualifiables. On découvre aussi cette vérité paradoxale : c'est qu'il faut s'oublier soi-même pour être pleinement soi. Il est étrange que ces lois du cœur, nous les croyions adaptés à la seule sphère privée : si nous osions les mettre en œuvre dans le monde (dans la rue, au travail), nous serions étonnés de leur étrange pouvoir de conversion... Essayez donc, pour voir ! »

     

    « S'il nous était donné de choisir, nous ne serions pas franchement enclins à opter pour les difficultés, les épreuves et les échecs. Et cependant, ce n'est pas sur une mer d'huile que l'art du navigateur se déploie. Il est même à craindre que notre expérience, si elle est sans histoire, nous laisse tout à fait désemparé quand vient l'heure de l'adversité... « La plus lâche de toutes les tentations est celle du découragement » avertissait François de Sales. Jamais un être ne se prépare de plus grand bonheur que lorsqu'il aborde avec équanimité les grandes épreuves que lui réserve l'existence. »

     

    « Dans notre devoir de conscience, nous n'avons guère le choix qu'entre deux alternatives : lutter pour ou lutter contre. Ainsi, face à quelque situation qui nous révolte, nous avons le choix entre combattre cette situation de manière frontale, ou créer les conditions d'évincer cette situation en faisant prospérer une situation alternative. C'est l'éternel combat de l'ombre et de la lumière. L'ombre est indissociablement liée à la lumière. Le mal est indissociablement lié au bien. C'est François de Sales qui soutenait que la ligne de démarcation entre le bien et le mal se trouve... à l'intérieur de chacun d'entre nous ! Ainsi donc, la seule manière de faire refluer l'ombre, c'est de faire prospérer la lumière, de la propager, de l'étendre. C'est ainsi qu'elle peut gagner, peu à peu, sur les ténèbres. Sans pour autant espérer que cette victoire soit définitive... »

    (François Garagnon)

     

     

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  • « On ne perd jamais son temps à mettre de la joie dans sa manière de vivre, d’agir et s’ouvrir au monde. Comme l’a dit fort justement un humoriste, mieux vaut être un imbécile heureux qu’un imbécile malheureux !.

     

    « Je propose comme règle de bonheur :
    - Toujours se contenter de ce que l'on a
    - Ne jamais se contenter de ce que l'on est.
    Ce qui est une manière d'allier le désir de bonheur et le devoir de conscience. »>

     

    « Si nous peinons à trouver l'harmonie dans le rythme trépidant de la vie moderne, c'est que nous sommes distraits par le bruit, l'agitation et le mouvement permanent. Ces soubresauts d'activisme peinent à faire sens, car qui sait ? L’agitation a tendance à nous éloigner de nous-mêmes, le mouvement à nous détourner de la saine quiétude et le bruit de cette nécessité intérieure qu'est le repos conjugué du corps et de l'esprit. Rejoignons cet espace de vacuité où nous demeurons accessibles aux strates supérieures de la vie. Œuvrons pour apaiser toutes choses en nous, et recueillir ce silence qui est nectar pour le cœur, quand le bruit finit par s'immiscer comme un poison et par gagner tout notre être. »

    (François Garagnon)

     

     

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  •  « CITATIONS DIVERSES EXTRAIT DU LIVRE DE FRANCOIS GARAGNON

    « Pensées revigorantes »

     

     

     

    «  La seule limite de nos réalisations de demain, ce sont nos doutes d’aujourd’hui. » (F. Roosevelt)

     

    « Le pessimisme est d’humeur,

    L’optimisme est de volonté » (Alain)

     

    « N’oubliez pas que ce qui donne sa valeur et son intérêt à la vie, ce n’est pas tant d’accomplir des choses ordinaires avec la perception de leur immense valeur. » (P. Teilhard de Chardin)

     

    « La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent. » (A. Camus)

     

    « Vivre, c’est choisir.

    Etre heureux, c’est savoir choisir. » (Franc Nohain)

     

    « Le bruit ne fait pas de bien,

    Et le bien ne fait pas de bruit. » (Saint François de Sales)

     

    « Le bien qu’on fait la veille

    Devient le bonheur du lendemain » (Proverbe Hindou)

     

    « Toutes les fleurs de l’avenir,

    Sont dans les semences d’aujourd’hui. » (Proverbe Chinois)

     

     

    « L’amour véritable ne se dépense point.

    Plus tu donnes, plus il te reste » (A. de Saint Exupéry)

     

    « Il ne faut pas se lancer à la légère dans des entreprises qui ne répondent pas à ce que nous sommes. » (Epictète)

     

    « En pleine angoisse, ne perds jamais l’espoir, car la moelle la

    Plus exquise est dans l’os le plus dur. (Hafiz) »

     

    « Les choses ne sont pas difficiles à faire ; ce qui est difficile,

    C’est de nous mettre en état de les faires. »(C Brancusi)

     

    « Mieux vaut allumer une chandelle

    que maudire l’obscurité. » Proverbe chinois »

     

    « Dans le moment confus que nous appelons « temps présent »,

    Nul ne peut savoir ce qui cendre et ce qui est essence, ce

    Qui est poussière et ce qui germe. » (Jean Guitton)

     

    « Avant d'aller chercher le sens de la vie, aime la vie. Si tu aimes la vie, tu deviens un vivant. » (Dostoïevski)

     

    « La sérénité est le but le plus haut que tu puisses fixer à tes propres efforts. » (Suryakanta)

     

    « Retrouver la fraîcheur du regard, oublier ce que l’on croit savoir, se tenir devant les êtres et les choses comme si on les voyait pour la première fois. » (André Frossard)

     

    « Il suffit d’un rien pour détruire ; il faut des années d’effort, de labeur, de patience pour créer. » (Charles Mauras)

     

    « Ne fais pas toi-même ce qui te déplait chez

    Les autres. » (Thales)

     

    « Être vivant, c’est être vu, entrer dans la lumière d’un

    Regard aimant. » (Christian Bobin)

     

    « Ce que l’on ne peut saisir dans l’instant, nulle éternité

    Ne nous le rendra. » (Schiller)

     

    « L’amitié, c’est ce qui vient au cœur quand on fait ensemble des choses belles et difficiles. » (Abbé Pierre)

     

    « La joie n’est pas dans les choses, elle est en nous. »

    (Wagner)

     

     

     

     

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