• Pensées d’Anselm Grün (fin)

    Pensées d’Anselm Grün

     

    Pensées d’Anselm Grün

    Goûter le temps qui passe, c’est un cadeau qui n’appartient qu’à Dieu et à moi.

     

    Ce qui est important, c’est l’instant présent. C’est une grande grâce de pouvoir l’accepter.

     

    T’aimer toi-même signifie t’estimer tel que tu es devenu dans l’histoire de ta vie.

     

    Toute expérience  profonde de joie et de beauté, de peur et de culpabilité, de désir et d’espérance, de paix et de sérénité, permet de rencontrer Dieu qui est à la base de ces expériences.

     

    Le bonheur est comme un oiseau discret. Comme le sommeil ou comme le rêve, il ne vient pas sans qu’on ne l’appelle. Étends la main et il peut se faire qu’il s’y dépose.

     

    Avant d’avoir fait quoi que ce soit, nous sommes précieux aux yeux de Dieu : précieux par le simple fait d’être.

     

    Quand dans la solitude, on présente à Dieu sa faiblesse, on reçoit de lui la possibilité d’agir de façon correcte. Alors les directives ne sont pas mesquines, mais ouvrent le ciel aux hommes.

     

    Dieu est le Tout-Autre qui se cache dans l’obscurité. Il s’y cache par amour pour nous, pour que nous puissions accoutumer nos yeux à l’éclat de sa lumière.

     

    Nous n’avons pas à commencer par créer cet espace de paix intérieure. Il est déjà en nous. Là, nous sommes dans un état de plénitude et de bonheur. (Fin)

     

    Pensées d’Anselm Grün

    Pyrénées Orientales aout 2016


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