• La chaîne de roses

    La chaîne de roses 

     

    Je la surpris à l’ombre du printemps

    et l’enchaînai de guirlandes de roses.

    Elle dormait et n’en put rien sentir.

     

    Elle était là, devant moi. Ce regard

    vouait ma vie tout entière à sa vie.

    Je le sentis au cœur et n’en sus rien.

     

    Je souriais vers elle sans mot dire

    et laissai murmurer les guirlandes de roses

    Elle surgit alors du songe et s’éveilla.

     

    J’étais là, devant elle.

    Ce regard trouait sa vie tout entière à ma vie

    ce fut tout autour de nous le paradis.

     

    Friedrich Gottlieb Klopstock

     


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :