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  • Extraits du livre « Pensées positives « 

    présenté par Nicole Masson

     

    La violence est le dernier recours de l’incompétence.

    (Issac asimov)

     

    Attachons-nous à reconnaitre le caractère si précieux de chaque journée. (Tenzin Gyatso) 

    Le bonheur est de connaître ses limites et de les aimer. (Romain Rolland)

     

    Avec tout l’argent du monde, on ne fait pas des hommes, mais avec des hommes et qui aiment, on fait tout. (Abbé Pierre) 

     

    Bannissons de notre terre tout racisme, toute forme d’oppression et travaillons pour l’épanouissement de l’homme et l’enrichissement de l’humanité. (Frantz Fanon) 

     

     

    Il n’existe que deux sortes d’êtres capables de dire la vérité vous concernant : un ennemi en colère et un ami qui aime vraiment. (Antisthène) 

     

    C’est celui qui s’égare qui découvre de nouveaux chemins. (Nils kjaer) 

     

    Extraits du livre « Pensées positives «


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  • LES MERVEILLEUSES MÈRES VEILLEUSES

     

    Elle est le premier visage du monde. Celui que l’on découvre en arrivant au monde. La tendresse y coule à flot comme une source de lumière dont la prodigalité jaillit derrière le rideau des cils. Quand le visage s’approche, on reçoit l’ensoleillement du regard tout rayonnant d’une joie secrètement butinée dans la grande ruche de l’invisible et qui est comme un nectar de vie. Dans ce regard qui s’ouvre telle une clarté d’aurore, la femme se fait haute mère, déesse des larges horizons, de l’amour de la vie, et d’une espérance grande, pure et bien droite comme le silence. Elle est le premier “je t’aime” murmuré à notre oreille, ce serment de l’âme qui est aussi serrement du cœur, tant s’y résume de manière radicale l’universel élan de la condition humaine : aimer et être

    aimé. Toute notre vie est contenue dans cette quête éperdue aux élans parfois perdus. Mais pour une mère, tout est miel. Rien n’est perdu. Et c’est pourquoi jamais elle ne se lasse de répéter ce “je t’aime” à la chair de sa chair, d’abord de la bouche à l’oreille, puis au fil du regard, puis d’âme à âme. La vie, dans son tout début ? Peut-être une manière de remplir le vide, de sculpter le silence, l’art de donner forme à ce qui, sans nous, serait resté dans l’informulé, la matière inanimée, le néant...

    Qui sait ?  

    Dieu seul sait !

    Et les mères veilleuses, qui ont le pouvoir de donner la vie, partagent naturellement ce secret.

     

    François Garagnon,  extrait de « Les merveilleuses mères veilleuses. »

     

    LES MERVEILLEUSES MÈRES VEILLEUSES

    Photo Renal


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