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  • Citations extraites de :

    Le pouvoir de la Pensée positive de Louis Ferdinand

     

     

    La joie panique, il est impossible de la garder pour soi-même ; celui qui l’a, s’il ne la partage, ne fait que la toucher et la perdre. (Jean Giono)

     

     

    Le bonheur ne se cherche pas ; on le rencontre. Il n’est que de savoir le reconnaître et de pouvoir l’accueillir. (Françoise Giroud)

     

     

    L’expérience nous apprend qu’il faut donner priorité aux rares personnes capables de nous apprécier tels que nous sommes. (Gail Godwin).

     

    Si vous avez confiance en vous-même, vous inspirerez confiance aux autres. (Goethe)

     

    On ne peut bâtir quelque chose de beau avec des les pierres qui entravent le chemin. (Goethe)

     

    Nul ne s’est jamais perdu dans le droit chemin. (Goethe)

     

    Celui qui reconnaît consciemment  ses limites est le plus proche de la perfection. (Goethe)

     

    Le pouvoir de la Pensée positive de Louis Ferdinand (9)

    Janvier 2018 Bords de Seine


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  • L'ange

     

    Il est, au pied du Christ, à côté de sa mère,
    Un ange, le plus beau des habitants du ciel,
    Un frère adolescent de ceux que Raphaël
    Entre ses bras divins apporta sur la terre.

    Un léger trouble effleure à demi sa paupière,
    Sa voix ne s'unit pas au cantique éternel,
    Mais son regard plus tendre et presque maternel
    Suit l'homme qui s'égare au vallon de misère.

    De clémence et d'amour esprit consolateur,
    Dans une coupe d'or, sous les yeux du Seigneur,
    Par lui du repentir les larmes sont comptées,

    Car de la pitié sainte il a reçu le don ;
    C'est lui qui mène à Dieu les âmes rachetées
    Et ce doux séraphin se nomme : le pardon !

     

    Antoine de Latour. 

     

    Photo pixabay


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  • Cantate de Bettine

     

    Nina, ton sourire,
    Ta voix qui soupire,
    Tes yeux qui font dire
    Qu'on croit au bonheur,

    Ces belles années,
    Ces douces journées,
    Ces roses fanées,
    Mortes sur ton coeur...

    Nina, ma charmante,
    Pendant la tourmente,
    La mer écumante
    Grondait à nos yeux ;

    Riante et fertile,
    La plage tranquille
    Nous montrait l'asile
    Qu'appelaient nos voeux !

    Aimable Italie,
    Sagesse ou folie,
    Jamais, jamais ne t'oublie
    Qui t'a vue un jour !

    Toujours plus chérie,
    Ta rive fleurie
    Toujours sera la patrie
    Que cherche l'amour.

     

    Alfred de Musset.

     


     


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