• Citations extraites de :

    Le pouvoir de la Pensée positive de Louis Ferdinand

     

    La première règle avant d’agir consiste à se mettre à la place de l’autre. Nulle vraie recherche du bien commun ne sera possible hors là. (Abbé Pierre) 

     

    Un état d’esprit positif t’aide non seulement à imaginer ce que tu veux être, mais t’aide aussi à le devenir. (Amos wally) 

     

    Chaque jour ne peux être bon, mais il y a du bon dans chaque jour. (Anonyme) 

     

    Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts ni par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais.

    (Anonyme)

     

    Commencez par faire le nécessaire, puis faites ce qu’il est possible de faire, et vos réaliserez l’impossible sans vous en apercevoir. (François d’Assise)

     

    La reconnaissance donne un sens à ton passé, apporte la paix pour aujourd’hui et crée une vision pour demain. (Melody Beattie) 

     

    Le pouvoir de la Pensée positive (1)

    Pleyel novembre 2017

     


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  • Bonjour monsieur l'Hiver

     

    - Hé ! Bonjour monsieur l'Hiver !

    Ça faisait longtemps...

    Bienvenue sur notre terre,

    Magicien tout blanc.

    - Les montagnes t'espéraient ;

    Les sapins pleuraient ;

    Les marmottes s'indignaient ;

    Reviendra-t-il jamais ?

    - Mes patins s'ennuyaient ;

    Mes petits skis aussi ;

    On était tous inquiets ;

    Reviendra-t-il jamais ?

    - Hé ! Bonjour monsieur l'Hiver !

    Ça faisait longtemps ...

    Bienvenue sur notre terre,

    Magicien tout blanc.

     

    Patrick  Bousquet

     

    Bonjour monsieur l'Hiver

    Mont du Chat, Savoie, 2016


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  • Les deux chats

     

    Deux chats qui descendaient du fameux Rodilard,

    Et dignes tous les deux de leur noble origine,

    Différaient d'embonpoint : l'un était gras à lard,

    C'était l'aîné ; sous son hermine

    D'un chanoine il avait la mine,

    Tant il était dodu, potelé, frais et beau :

    Le cadet n'avait que la peau

    Collée à sa tranchante échine.

    Cependant ce cadet, du matin jusqu'au soir,

    De la cave à la gouttière

    Trottait, courait, il fallait voir,

    Sans en faire meilleure chère.

    Enfin, un jour, au désespoir,

    Il tint ce discours à son frère :

    Explique-moi par quel moyen,

    Passant ta vie à ne rien faire,

    Moi travaillant toujours, on te nourrit si bien,

    Et moi si mal. La chose est claire,

    Lui répondit l'aîné : tu cours tout le logis

    Pour manger rarement quelque maigre souris...

    - N'est-ce pas mon devoir ? - D'accord, cela peut être :

    Mais moi je reste auprès du maître ;

    Je sais l'amuser par mes tours.

    Admis à ses repas sans qu'il me réprimande,

    Je prends de bons morceaux, et puis je les demande

    En faisant patte de velours,

    Tandis que toi, pauvre imbécile,

    Tu ne sais rien que le servir,

    Va, le secret de réussir,

    C'est d'être adroit, non d'être utile.

     

    Jean-Pierre Claris de Florian. Source : www.poesie-francaise.fr 

     

    Limassol


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