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Vers la fin de l’année
2011 est passée à une vitesse folle
Dès maintenant préparons nous à l’année 2012 !
Vous pouvez rencontrer des difficultés…
Vous pouvez vous retrouver
devant l’impossible…
Soyez toujours sur vos gardes…
Sautez les obstacles…
Mais faites-le en toute sécurité…
Et avec prudence…
Ne tournez pas en rond
Osez les défis…
Ayez du temps pour vos amis…Et n'oubliez pas de rire…
Travaillez ensemble…
Découvrez…
Faites de nouveaux amis…
Soyez toujours prêts pour l’aventure…
Soutenez-vous l’un l’autre…
Et soyez prêts à aller loin…
Très loin…
Prenez le temps de sentir les fleurs…
N’oubliez pas de profiter de la vie
et de vous détendre à temps…
Et n’oubliez pas d’aimer vos proches !
Texte extrait d'un montage trouvé sur le netMerci Krys
(http://sesouvenirdesbelleschoses.over-blog.com/article-vers-la-fin-de-l-annee-95804082.html)
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Pour finir l’année 2011, et commencer l’année 2012, je publie à nouveau ce poème, que vous retrouverez dans poème perso, pour vous dire que même si parfois la vie est dure, le chemin difficile, il faut garder espoir, et donner de soi du mieux que l’on peut pour avancer. Alors bon courage à tous.
Renal
TOI
Toi qui traverse la peur !
La peur fait partie de chacun d’entres nous,
Accepte-la sans devenir son esclave,
Admets-la sans lui obéir
Si tu arrives à la comprendre,
Tu diminueras son pouvoir.
Toi qui ressens la douleur !
La douleur, si tu ne peux l’éviter,
Regarde-la en face,
Et essaie d’en tirer
Une force pour avancer,
Apprivoise-la.
Toi qui ne sais pas où aller !
Quand tu ne sais plus où aller, assieds-toi et attends,
Respire profondément avec confiance,
Sans te laisser distraire,
Ecoute ton cœur, il connaît ton chemin.
Toi qui n’arrives pas à aimer !
Si tu n’arrives pas à aimer,
Laisse-toi aimer, ouvre ton cœur,
Seul l’amour que tu recevras t’aidera à aimer,
Si tu acceptes que l’on t’aime,
Alors à ton tour tu pourras aimer.
Toi qui refuses d’avancer !
Ne baisse pas les bras tant que tu as encore quelque chose à donner
Rien n’est jamais perdu, tant que tu continues à lutter
Toi qui n’arrives pas à pleurer !
Les larmes qu’on retient se déposent sur le cœur,
Avec le temps elle forme une croûte et le paralysent.
Laisse aller tes larmes,
Elles lavent ton cœur de ses douleurs.
Toi qui trouves que la vie est trop dure !
La vie n’est pas programmée, ni mécanique,
Ni décidée d’avance,
Elle est, surprise, bondissement, rire, pleurs,
Echec, réussite, et brûlure au cœur.
La vie t’est donnée gratuitement,
A toi de la vivre à fond, et quand elle te
Paraît trop dur, cherche ce qui peut la rendre plus douce,
Toi seul à le pouvoir d’améliorer ou pas la vie
Toi qui as lu toutes ses lignes,
J’espère que tu trouveras
La force de continuer,
La force d’avancer.
Nicole Novembre 2007
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Le soir d’une journée où l’on a été semeur de paix, on s’endort heureux. (André Sève)
Songez qu’en vous levant le matin, vous avez le pouvoir d’inventer votre journée. Malgré les obligations, le programme, les impératifs de la vie quotidienne qui semblent restreindre votre liberté à la portion congrue, vous disposez malgré tout d’espaces de générosité, de gratuité, de spontanéité, de joies à partager ou à transmettre qui, dans le bilan de votre journée, compteront peut-être davantage que l’exercice de responsabilités importantes. D’une même journée, vous pouvez faire maintes choses : gagner beaucoup d’argent, donner beaucoup de temps, rencontrer beaucoup de gens. Cependant, les actes qui feront notre sérénité le soir venu, ce sont les actes qui relient les êtres entre eux, qui font grandir la compréhension, l’amitié et la paix. Emile de Girardin disait joliment qu’on n’a jamais perdu sa journée quand on a contribué pour sa part à faire pénétrer dans une âme humaine un peu de gaieté et de lumière.
(François Garagnon) http://www.montecristo-editions.com)
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L’écoute
Écouter l'autre, c'est le plus beau cadeau que nous puissions lui faire.
Écouter, c’est d’abord arrêter son cinéma intérieur, s’obliger à se taire. Couter, c’est reformuler : « Vous voulez dire ceci ? », « Vous sentez-vous angoissé ? », « Ressentez-vous de la colère ? » Ainsi, la personne peut préciser, affirmer sa réflexion, son analyse en disant : « oui c’est tout à fait cela » ou bien « Non pas exactement. » Nous avons tous des tendances qui nous empêchent d’écouter :
- Tendance à porter un jugement, à approuver ou à sanctionner, « Tu devrais », « Tu n'aurais pas dû »...
- Tendance à trouver des explications : « S'il vous arrive cela, c’est que … » On intellectualise.
- Tendance à soutenir : « Ce n'est pas grave », « Je te plains », je suis. passé par là » ou « Je te comprends. »
- Tendance à trouver des solutions : « II faudrait que tu fasses ceci ou cela. »
Il faut vraiment mettre de côté toutes ces tendances pour écouter l’autre, aller à son rythme, marcher avec lui pas à pas. C’est vraiment un cœur à cœur qui permet l’écouté de se sentir exister, de se sentir reconnu. »
« Une visiteuse de l'aumônerie de l'hôpital venait d'écouter pendant plus d'une heure une personne malade. Elle n'avait pas dit un seul mot, sauf pour reformuler, poser la petite question pour éclaircir. Au moment où elle quitte la chambre pour continuer ses visites, la personne malade lui dit : « Merci pour tout ce que vous m'avez dit. » Notre écoute en dit plus long que nos discours. »
(Pierre Trevet)
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Le diamant rayé
Le Père Bernard Bro raconte cette parabole : « Un Prince possédait une pierre précieuse magnifique dont il était fier à l'extrême. Un jour, par accident, ce joyau fut profondément rayé. Le Prince convoque alors les spécialistes les plus habiles pour remettre en état la pierre précieuse. Malgré tous leurs efforts, ils ne peuvent pas effacer la rayure (et l'on sait combien on peut être attaché à une pierre précieuse). Mais un jour, arrive dans le pays un tailleur de pierres précieuses d'un génie inégalé. Avec douceur, ténacité, art et patience, il prend la pierre et taille le diamant en forme de rosé. Il est assez habile pour utiliser la rayure, l'égratignure, afin d'en faire la tige même de la rosé de telle sorte que la pierre précieuse apparut, après la reprise, infiniment plus belle, plus magnifique qu'elle ne l'était auparavant.»
Dans la pierre précieuse, nous pouvons nous reconnaître nous, blessés par un événement, cabossés par des choses très difficiles à vivre. Le tailleur de pierres, c'est Jésus. Le Prince, c'est le Père. La cassure, la rayure, l'égratignure qui normalement dévalorisait tout, ce sont nos faiblesses, nos blessures, nos péchés, notre passé - celui dont on n'est pas très fier, qui est lourd à porter. La rose, c'est l'existence nouvelle, infiniment plus belle après la Rencontre avec Jésus qu'avant. C'est la manière dont désormais Dieu nous voit, nous recrée, nous porte, nous aime.
À nos yeux, une rayure est une rayure, une blessure est une blessure, une égratignure est une égratignure. Cela fait mal et c'est tout. Il y faut autre chose : une main de tendresse, de respect, de bonté. Il y faut la main, le regard de Jésus, un amour venu d'ailleurs, le regard du Tailleur de pierres précieuses. (Pierre Trevet)
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