• EXTRAIT DU LIVRE  JE REVIENS TE CHERCHER 

    DE GUILLAUME MUSSO 

      

    C'est vrai. Nous avons tous intérêt à chasser nos pensées négatives, à voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide. Pour y arriver, il faut nous débarrasser des préjugés que nous avons sur nous-mêmes et qui nous empêchent de progresser. Éliminons le doute de notre esprit ! Ne pensons plus je voudrais, pensons je veux ! Ne pensons plus je pourrais, pensons je peux  

      

    C'est vrai : la recherche du simple plaisir ne conduit pas à un bonheur durable. 'Le véritable bonheur se construit en étant tourné vers l'autre, en s'investissant dans une relation durable, en s'engageant en amitié et en amour, en s'impliquant dans des actions bénévoles,.... L'individualisme est une illusion. C'est en contribuant au bien-être des autres que l'on aura une chance d'atteindre son propre bien-être. 

      

    Nous devons apprendre à vivre dans le présent. A trop regarder le passé, nous ressassons des remords et des regrets. A trop espérer du futur, nous nous berçons d’illusions. La seule vie qui vaille vraiment la peine est celle du présent. 

      

    « La fêlure par laquelle la tristesse se faufile, c’est celle par laquelle vous aurez laissé entrer le monde des apparences et des futilités. » 

    (Hélène Grimaud) 

      

    Il existe des événements dont on ne peut stopper le cours, continua Curtis. Les choses qui doivent arriver arrivent, quelles que soient les actions que nous entreprenons pour les éviter. 

      

    Les actions vertueuses mènent au bonheur, les actions malveillantes entraînent des souffrances. 

      

    En réalité, nous n'avons pas d'autres choix que d'accueillir ce que le destin nous envoie,  même s'il s'agit de la maladie, du deuil ou de la mort », et c'est : « La seule chose que nous maîtrisons vraiment, c’est la manière dont nous réagissons aux événements qui nous affectent. » 

      

    « Pour l’instant, vivez les questions. Peut-être, un jour lointain, entrerez-vous ainsi peu à  peu, sans l’avoir remarqué, à l’intérieure de la réponse. » (Rainer Maria Rilke) 

      

    « L’avenir n’est jamais que du présent à mettre en ordre. Tu n’as pas à le prévoir, mais à le permettre. (Saint-Exupéry)  

      

    « Tu sais, peu importe ce que tu feras de ta vie. L’important, c’est de ne pas tricher avec toi-même. Tu as forcément des rêves, des ambitions…. 

     

     

     

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  • EPICURE

    CITATIONS D’ÉPICURE

     

     

     

    - Tous nos actes visent à écarter de nous la souffrance et la peur.

    - L'amitié fait le tour du monde et nous convie tous à nous réveiller pour la vie heureuse

     

    - Ce n'est pas tant l'intervention de nos amis qui nous aide mais le fait de savoir que nous pourrons toujours compter sur eux.

     

    - La vraie sagesse, la vraie supériorité ne se gagne pas en luttant mais en laissant les choses se faire d'elles-mêmes. Les plantes qui résistent au vent se cassent, alors que les plantes souples survivent aux ouragans

     

    - Tout plaisir est, de par sa nature même, un bien, mais tout plaisir ne doit pas être recherché ; pareillement toute douleur est un mal, mais toute douleur ne doit pas être évitée à tout prix.

     

    - Une vie heureuse est impossible sans la sagesse, l'honnêteté et la justice, et celles-ci à leur tour sont inséparables d'une vie heureuse

     

    - Parmi les désirs, les uns sont naturels et nécessaires, les autres naturels et non nécessaires, et les autres ni naturels ni nécessaires, mais l'effet d'opinions creuses

     

    - Il est évident que le discours long et le discours bref aboutissent au même

     

    - Toute amitié doit être recherchée pour elle-même, elle a cependant l'utilité pour l'origine

     

    - Il n'y a rien à redouter dans le fait de vivre, pour qui a authentiquement compris qu'il n'y a rien à redouter dans le fait de ne pas vivre


    - Dans la recherche commune des arguments, celui qui est vaincu a gagné davantage, à proportion de ce qu'il vient d'apprendre

     

    - Il ne faut jalouser personne ; car les hommes de bien ne méritent pas d'être jalousés, et les hommes mauvais, plus leur fortune est bonne, plus ils se corrompent eux-mêmes

     

    - Celui qui ne sait pas se contenter de peu ne sera jamais content de rien.

     

    - Il ne faut pas tant regarder ce que l'on mange que celui avec lequel on mange

     

    - Personne, voyant le mal, ne le choisit, mais attiré par l'appât d'un bien par un mal plus grand que celui-ci, l'on est pris au piège

     

    - Ne fais rien dans ta vie, qui te fasse redouter que ton voisin en prenne connaissance

     

    - L'âme vile est enflée d'orgueil dans la prospérité et abattue dans l'adversité

     

    - Il est plus doux de donner que de recevoir

    EPICURE


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  • Mon petit ange

    Je t’ai désirée,

    Je t’ai conçue

    Je t’ai attendue,

    Tu  es venue,

    Je t’ai portée,

    Je t’ai senti bouger

    Je t’ai nourri

    Je t’ai donné

    Tout mon amour,

    Tellement fière

    De ce petit être,

    Qui grandissait en moi.

     

    Le jour est arrivé

    Où tu devais faire

    Ton entrée dans le monde,

    Et quitter la chaleur de mon corps.

    Hélas, mon ange,

    Les messieurs et les dames

    Ne t’ont pas permis,

    De découvrir la vie.

     

     

     

    Alors, tu es repartie, mon ange ;

    Dans le ciel, avec tous les anges,

    Auprès de Dieu,

    Mais si loin de moi.

    Oh grande à été ma douleur !!

     

    Aujourd’hui, je sais que tu es là,

    Là-haut dans le ciel

    Au milieu des anges,

    Et tu resteras à jamais,

    Mon ange à moi,

    Celui que mon cœur

    N’a jamais oublié.

     

    Nicole 18 mai 2008 (écris pour une amie)

    13

     


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  • Une petite lumière

    Qu'est-(ce) qui n(e) va pas ce soir ?
    T'as l'air abandonné ?
    Tu broies encore du noir,
    Pourquoi te chagriner ?

    Cherche dans l' Univers
    Espère et tu verras :
    Une toute petite lumière,
    Qui vient et grandira,
    De sa flamme invisible
    Elle réchauffera ton coeur
    Apportant dans ta vie :
    Un peu de sa chaleur.

    Ignore les gens avides qui vivent dans les nuages
    Et regarde le soleil qui t'invite au voyage
    Pour les yeux d'une biche tu changeras ton destin,
    En voyant le printemps fleurir sur ton chemin...

    Alors encore une fois, tu os(e)ras dire : je t'aime
    Et tu trouv(e)ras la force qui résout les problèmes
    Même si tu as mille raisons de pleurer sur toi-même,
    N'oublie pas que les autres ont aussi de la peine

    Et qu'ils cherchent comme toi :
    Cette petite lumière,
    Qui vient d'un Univers
    Où seul l'amour est LOI !

    Garde bien cette étincelle,
    Au fond de ta mémoire
    Il suffira d'y croire.
    Pour voir la vie plus belle

    Dans la nuit recouverte de brillants solitaires,
    L'infini vous invite dans un monde de lumières
    Garçons et petites filles, perdus sur cette Terre
    Prenez toujours le temps de faire une prière.

    (Jean-Claude Brinette)

     


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  •  

    Vénus

    Un homme était amoureux de la planète Vénus
    ( certains s'arrêtent au mont de Vénus!)
    mais lui était vraiment amoureux, et chaque soir de ciel étoilé, il s'allongeait devant sa maison pour déclarer son amour à la planète inaccessible, du moins....le croyait-il!
    Un soir où il rêvait ainsi, le cœur plein d'amour et le corps plein d'émois, il entendit une voix très douce chuchoter à son oreille:
    - Je suis touchée de ta ferveur, et impatiente de te serrer dans mes bras, viens me rejoindre, viens...
    Il se leva d'un bond, il avait bien reconnu la voix de l'aimée,
    même s'il ne l'avait jamais entendue.
    La planète Vénus enfin avait perçu son amour et répondait à sa flamme.
    - Mais comment puis-je faire pour arriver jusqu'à toi, je ne suis qu'un homme? Elle murmura toute proche:
    - Regarde le rayon de lune qui scintille jusqu'à tes pieds,
    approche-toi, monte dessus et quand tu seras sur la Lune,
    tu trouveras un autre rayon que j'ai déposé pour toi
    et qui te conduira jusqu'à moi...
    L'homme monta sur le rayon et avec facilité s'éleva jusqu'à la Lune.
    Sur cette planète, il découvrit comme promis le rayon de Vénus
    et commença à s'élever vers elle.
    A mi-chemin, il eut soudain cette pensée:
    "Mais ce n'est pas vrai, je rêve, ce n'est pas possible
    qu'un homme puisse ainsi marcher
    sur le rayon d'une planète..."
    Et avec le doute qui naquit ainsi en lui,
    il trébucha, tomba...
    et s'écrasa des milliers de kilomètres plus bas...sur Mars.
    Avant de mourir, il eut le temps d'entendre la voix de son aimée
    qui murmurait tout contre son oreille.
    - Il ne suffisait pas de m'aimer,
    ni de me faire confiance,
    encore fallait-il que tu puisses croire en tes ressources,
    que tu oses te faire confiance à toi-même!
    Ainsi se termine le conte de l'homme qui ne savait pas
    que le possible est juste un petit peu après l'impossible.

    Jacques Salomé
    tiré du livre "contes à guérir, contes à grandir"

     

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